ceci dit il a le mérite de soulever un vrai problème par rapport aux responsabilités que l'on a face à la societé ou l'on n'a pas que des droits mais aussi le devoir de ne pas faire ch.. les autres par son incompétence et son incurie.
mais de là a passer un permis comme pour les voitures il va falloir trouver autre chose.!
Un permis pour faire des mômes ?
http://compte-a-rebours-francois-hollande.fr/
Le défaut du capitalisme c'est qu'il répartit inégalement la richesse; la qualité du socialisme c'est qu'il répartit la misère équitablement.
Le défaut du capitalisme c'est qu'il répartit inégalement la richesse; la qualité du socialisme c'est qu'il répartit la misère équitablement.
J'ai abordé le topic par l'angle de la responsabilité des parents face à la société mais la responsabilité la plus conséquente (et évidente) est plutôt en rapport à l'enfant lui-même. Il y a des millions de parents qui débordent d'amour pour leurs gosses mais qui sont quand même complètement irresponsables car ils sont incapables d'imaginer les conséquences de leurs actes et incapables d'appréhender l'intérêt des gamins.
Ce n'est pas une question de méchanceté ou de mépris, cela serait trop caricatural. Il y a par exemple une tripotée de gamins a moitié attardés à cause de parents, fort aimants au demeurant, qui ont substitué l'éducation parentale par de longues séances quotidiennes de télévision et de console de jeu.
Pourquoi est-ce qu'on fait des enfants ? Si la réponse peut paraitre simple à l'échelle de l'humanité - se reproduire afin d'assurer la survie de l'espèce, le plus généralement inconsciemment (guidés par le gêne égoïste ?) -, elle devient plus subjective lorsqu'elle est posée individuellement. Il y a ceux qui font comme tout le monde ; d'autres qui croient au compte de fées, mariage en blanc, le tralala et l'enfant désiré qui arrive dans l'année ; ceux qui sentent qu'ils en ont envie, ou besoin, sans pouvoir dire pourquoi exactement, c'est "dans leurs tripes" ; ceux qui font un enfant pour ressouder un couple qui part à la dérive, ceux qui procréent pour pouvoir violer et séquestrer leur progéniture, etc. Autant de bonnes et de mauvaises raisons que nous ne devrions pas juger puisque le droit de se reproduire semble être considéré comme inaliénable dans notre société.
Personnellement je n'ai pas de théorie ni d'idées de permis à point ou autre procédé du genre. Je constate qu'il y a parfois une grosse contradiction entre la liberté de faire ce qu'on veut de son corps - et d'avoir des enfants - et les responsabilités qui découlent directement de cette liberté.
Ce n'est pas une question de méchanceté ou de mépris, cela serait trop caricatural. Il y a par exemple une tripotée de gamins a moitié attardés à cause de parents, fort aimants au demeurant, qui ont substitué l'éducation parentale par de longues séances quotidiennes de télévision et de console de jeu.
Pourquoi est-ce qu'on fait des enfants ? Si la réponse peut paraitre simple à l'échelle de l'humanité - se reproduire afin d'assurer la survie de l'espèce, le plus généralement inconsciemment (guidés par le gêne égoïste ?) -, elle devient plus subjective lorsqu'elle est posée individuellement. Il y a ceux qui font comme tout le monde ; d'autres qui croient au compte de fées, mariage en blanc, le tralala et l'enfant désiré qui arrive dans l'année ; ceux qui sentent qu'ils en ont envie, ou besoin, sans pouvoir dire pourquoi exactement, c'est "dans leurs tripes" ; ceux qui font un enfant pour ressouder un couple qui part à la dérive, ceux qui procréent pour pouvoir violer et séquestrer leur progéniture, etc. Autant de bonnes et de mauvaises raisons que nous ne devrions pas juger puisque le droit de se reproduire semble être considéré comme inaliénable dans notre société.
Personnellement je n'ai pas de théorie ni d'idées de permis à point ou autre procédé du genre. Je constate qu'il y a parfois une grosse contradiction entre la liberté de faire ce qu'on veut de son corps - et d'avoir des enfants - et les responsabilités qui découlent directement de cette liberté.
Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial. K M
Tout à fait d'accord, au moins avec ton premier § !
Chez nous, si un enfant semble avoir des difficultés intellectuelles, comportementales ou autre, le centre psycho-médico-social va immédiatement voir dans la famille, responsable à 90 % au moins de ces problèmes.
Il leur est alors proposé (voire imposé par leJuge dans les cas rebelles) une "école des parents", aimable mais instructive.
Il est tout de même extraordinaire que, pour avoir un chien en Suisse, son maître dispose de 3 mois pour le présenter à un centre spécialisé, qui vérifie labonne santé et l'équilibre de l'animal, et le contrôle que sonmaître a sur lui. Mesure qui a diminué les morsures de 70 %. Mais qu'on réchigne à offrir le même service aux familles ...
Chez nous, si un enfant semble avoir des difficultés intellectuelles, comportementales ou autre, le centre psycho-médico-social va immédiatement voir dans la famille, responsable à 90 % au moins de ces problèmes.
Il leur est alors proposé (voire imposé par leJuge dans les cas rebelles) une "école des parents", aimable mais instructive.
Il est tout de même extraordinaire que, pour avoir un chien en Suisse, son maître dispose de 3 mois pour le présenter à un centre spécialisé, qui vérifie labonne santé et l'équilibre de l'animal, et le contrôle que sonmaître a sur lui. Mesure qui a diminué les morsures de 70 %. Mais qu'on réchigne à offrir le même service aux familles ...
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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Tout réside dans la méthode et l'idée qu'on veut faire passer. Evidemment si je devais appuyer l'idée d'une école des parents, ça ne serait pas pour qu'on y prêche une quelconque morale officielle. J'en ai déjà ras le bol de toutes ces histoires de "fabrique de bons français" et autres conneries du genre. Comme je n'y connais pas grand chose à l'enseignement je ne peux pas parler de la méthode mais pour le contenu il faudrait en rester à quelque chose de très ouvert, plus axée sur le conseil que sur le mot d'ordre, par le partage d'expérience entre différents couples (sur le modèle des groupes d'addicts ?), tournant autour du conséquentialisme et du bon sens. Il ne faudrait surtout pas que l'accent soit mis sur la culpabilisation ou que les parents se sentent comme en cours de rattrapage, qu'il s'agisse d'une punition.
Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial. K M
il y a une autre façon de voir les choses,tu fais des gosses comme tu veux ,tu les éduques comme tu peux ,mais en face il y a les règles de la société qui sont les mêmes pour tous et a respecter.
si on commençait par ça ,ce serait déjà bien.
j'ai lu je ne sais ou que la suppression des allocs avait ramené pas mal de gamins a l’école...comme quoi les parents ont une "perméabilité sociale" a géométrie variable.
si on commençait par ça ,ce serait déjà bien.
j'ai lu je ne sais ou que la suppression des allocs avait ramené pas mal de gamins a l’école...comme quoi les parents ont une "perméabilité sociale" a géométrie variable.
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