Le "vrai"CV de F. Hollande

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Vincendix
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Le "vrai"CV de F. Hollande

Message non lu par Vincendix » 17 avr. 2012, 08:59:11

François, Gérard, Georges Hollande est né à Rouen le 12 août 1954 et, dès sa naissance, il a déjà une attirance pour la gauche, refusant de téter le sein droit de sa mère, au grand désespoir de son père qui penche à droite et même plus. Après sa scolarité dans une pension catholique, il a 14 ans quand ses parents quittent la banlieue huppée de Rouen pour celle de Paris, plus précisément pour Neuilly-sur-Seine dont on ne vante plus l’opulence, c’est sa première promotion (Il peut se vanter d’être un pur produit de banlieue). Lycée, puis faculté de droit, ensuite HEC et l’Institut Politique de Paris où, fidèle à son passé, il milite au sein de l’UNEF, un syndicat de gauche. Exempté du service militaire en raison de sa myopie, il demande et obtient l’annulation de cette exemption et fait ses classes à l’école des officiers de Coëtquidan. J’ai entendu dire, mais les gens sont méchants, que son parcours du combattant avait été truqué, une échelle dans la fosse, une autre pour la table irlandaise et contre le mur d’assaut, un tapis pour le ramper… Puis, sans raison, ce bon républicain change d’opinion, il devient royaliste, on le voit souvent rôder au Palais Royal, il ne jure que par le kir royal, le couscous royal et Ségolène Royal. C’est François Mitterrand qui le remet dans le droit chemin de la gauche (paradoxe) et il devient l’un de ses fidèles lieutenants, justifiant son passage à Coëtquidan. Il découvre la Corrèze, un département connu pour ses grands hommes, Patrick Sébastien et Bernadette Chirac (je dois en oublier ?) et devient député dans ce département, ensuite maire de Tulle où il dévoile ses intentions de briguer la présidence de la République. Mais il se retrouve dans de « beaux draps », son ex l’a devancé et il doit attendre 2011 pour renouveler sa candidature, profitant de la défaillance de son rival, un gros chat amateur de souris, pris lui-même dans une souricière. Et le voici sur l’échelle de la gloire, peut-être celle qui l’avait sorti de la fosse, doucement il gravit les échelons. Seul problème, il a le vertige et ses ami(e)s craignent qu’il ne parvienne au sommet (enfin pas tous, certains aimeraient le voir échouer).
Comme un collier de joyaux rares dont le fil rompu laisse lentement tomber des gouttes de lumière, la vie égrène nos jours.Georges Clemenceau

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