Le collectif «la droite forte» demande des journalistes de droite

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merlin
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Re: Le collectif «la droite forte» demande des journalistes de droite

Message non lu par merlin » 03 oct. 2012, 20:15:01

Nombrilist a écrit :Merlin, et tes nouveaux syndicats, ils émergent comment sans financement ? Et que reproches-tu aux syndicats existants, exactement ?
Je leur reproche un tas de choses :
- ne pas défendre (ou peu, ou mal, ou pas du tout) leurs adhérents. C'est pourtant leur première mission.
- accorder des mandats / investitures dans les entreprises, afin d’assurer leur représentativité sans vérifier que les investis sont fiables et capables de négocier et de remplir leur devoir d'élu ou de DS.
- se préoccuper davantage de leur pseudo audience que de leurs adhérents
- chercher à affaiblir les autres plutôt que de séduire.
- trouver des compromissions (voire scandale IUMM) plutôt que des compromis dans les négociations de branche.
- négocier des accords dans des boites ou ils ne sont pas présents, mais juste mandatés pour la circonstance, et permettre ainsi à des entreprises de déroger au code du travail. (pas de salaire fixe, par exemple .... conséquence : 0 clients = 0 euros)
- se revendiquer de la base et ne pas l'inviter à participer aux votes lors des réunions exécutives.
- faire pression sur les élus locaux (pas de mouvements sociaux chez les territoriaux) en échanges de subventions.
- se constituer des cagnottes jamais redistribuées.
- brailler avant d'avoir mal
- réclamer de nouveaux textes alors qu'ils ne sont pas foutus de défendre l'existant ....
(je pourrais trouver d'autres griefs, mais cela pourrait paraitre excessif, donc je m'arrête la ...)

Sur l'émergence de nouveaux syndicats :

C'est complexe, car il n'y a pas 5 centrales mais des milliers de syndicats fédérés, puis des fédérations confédérées. On a d'ailleurs déjà vu des fédérations changer (ou menacer de changer ) de paroisse.

Ce système est le seul qui puisse être mis en œuvre, car pour obtenir une couverture nationale, il est évident que la fédération, voire la confédération, sont seules susceptibles de permettre à une telle entité de se payer un organe central, interlocuteur des pouvoirs publics.

Perso, je suis pas pour les grandes confédérations, ni pour le corporatisme, car on peut fédérer autour d'une valeur commune ou d'une localisation dans un secteur de l'économie. (c'est le cas en allemagne ou IG Metal est roi chez wolkswagen mais inexistant à la lufthansa.)

Je suis davantage pour un développement local, sans corporatisme, autour des valeurs qui sont celle du contre pouvoir des syndicats grâce à sa faculté légale d'ester en justice.
Ensuite , il est évident qu'il faut se fédérer pour désigner des délégués régionaux ou nationaux, capables de conduire le dialogue social dans le cadre légal.
Je pense sincèrement que ce fédéralisme doit se faire sur la base de l'examen du monde du travail et être découplé de la politique et du corporatisme. L'objectif premier d'un syndicat est de réunir des personnes et de créer par ce regroupement une personne morale dotée légalement de contre pouvoirs qu'elle doit mettre en œuvre dans l'intérêt de ses adhérents.

Hélas, les français ne veulent pas s'emmerder avec cela. Ils préfèrent soutenir (moralement) des entités qui se trouvent ainsi dépourvu de base réelle mais dotées de pouvoirs de représentativité immenses.

C'est une erreur monumentale. Les permanents des syndicats (-les 5 grands nationaux, plus 2/3 autres) sont des personnels détachés et les dirigeants de fédérations / confédérations sont des élus au même statut. Ils en ont finalement rien à faire de leurs adhérents. Même si ils n'en ont pratiquement plus, ils seront toujours représentatifs .... dont acte. Les places sont bonnes et on navigue dans les hautes sphères dans un fauteuil doré. Tout va bien.

Je suis pour une autre solution :

Des syndicats avec des syndiqués, des élus dans les boites et un fédéralisme pour peser dans les négociations nationales obligatoires. (négociations de l'évolution des CCN, de l'assurance chomage, des retraites, de la sécu, etc ...)

Cela suppose un changement des mentalités.

Quand une association de défense se monte, elle a un objet : exemple : L'aéroport de notre dame des landes, en bretagne. La on trouve du monde, car ce sont des gens concernés au premier chef.

un syndicat, cela devrait être la même chose et les français devraient avoir ce réflexe. C'est le cas dans les pays du nord ou en allemagne, et l'on voit que les lois de merkel sont combattues par les syndicats avec succès (-le cout du travail est plus important dans l'industrie automobile allemande qu'en france, car les salaires sont plus élevés, malgré l'absence de smic outre rhin)

hélas ils ne l'ont pas.

C'est très dur de changer les mentalités et c'est pourquoi je suis pour l'arrêt des financements automatiques, car c'est le seul moyen de dire aux français :

PRENEZ VOUS EN CHARGE.

Les patrons le font très bien ... pourquoi les salariés ne le feraient ils pas ? Sont ils plus bêtes ?

Nico37
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Re: Le collectif «la droite forte» demande des journalistes de droite

Message non lu par Nico37 » 08 oct. 2012, 19:31:04

Radios garanties avec conservateurs 07/10 TANIA KAHN

Ondes . Avec le retour de la gauche au pouvoir, les stations généralistes ont fait le plein de chroniqueurs et polémistes de droite depuis la rentrée.

Ils promènent leurs incorrigibles langues sur les radios et libèrent une parole décomplexée, flirtant sans ambages avec l’extrême-droite : les chroniqueurs et polémistes de droite ont envahi les ondes, en cette rentrée. Pour eux, l’avènement d’un gouvernement de gauche est une aubaine, une occasion de plus de diffuser leur pensée réac. Cette année, Natacha Polony, Nicolas Beytout et Alexis Brézet viennent grossir les rangs d’une tribu déjà nombreuse.

(...)

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Nombrilist
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Re: Le collectif «la droite forte» demande des journalistes de droite

Message non lu par Nombrilist » 08 oct. 2012, 20:53:45

Merci pour ces explications Merlin. En fait, je suis plutôt d'accord avec toi. Y a qu'à voir comment les mecs de la CGT de Continental n'ont jamais été soutenus par Thibault le vendu.

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merlin
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Re: Le collectif «la droite forte» demande des journalistes de droite

Message non lu par merlin » 08 oct. 2012, 21:22:36

Sans doute parce que le syndicat local CGT (continental) ne pesait pas assez lourd au plan de la confédération. C'est un constat, pas un jugement, mais ... bon, tu connais mon point de vue la dessus. (exposé précédemment)

poésietoute
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Re: Le collectif «la droite forte» demande des journalistes de droite

Message non lu par poésietoute » 09 oct. 2012, 05:18:15

merlin a écrit :Au risque de vous choquer, je suis pour l'arrêt des financements publics pour les syndicats.

WHY ???? icon_cry

Tout simplement pour permettre l'émergence de nouveaux syndicats qui pourront se débarrasser de leurs carcans centenaires et des ronds de cuir qui vont avec.
De nouveaux syndicats tels que l'UNSA, SUD, ou autres ont réussi à faire leur trou, certes grâce au financements, mais il me semblerait plus juste de demander aux salariés, si ils veulent être défendus, de cotiser et surtout de participer à la création de syndicats nouveaux et plus représentatifs de l'air du temps.

Le piège du financement public d'état est réel. une institution telle que la GGT est elle au service des adhérents lorsque l'on peut constater qu'une union locale sur deux, en cas de conflit dans votre entreprise et de possibilité de faire appel aux tribunaux vous envoie sur un avocat à 3000€ la procédure (sans l'appel) dès lors qu'elle vous pompe 1% de vos revenus pour soi disant vous défendre.

Pour moi, non.

En revanche, dès lors qu'un syndicat est représentatif (voir loi de sarko 2008) je suis d'accord pour rémunérer le travail du syndicat lors de l'exercice de ses mandats liés à l'exercice de sa représentativité. (conseil économique et social, négociations de branche)
Je suis assez d'accord; les syndicats confédérés ont souvent à pérenniser leur historique, et cela convient d'ailleurs à beaucoup de mandatés.Et beaucoup de dérives, dysfonctionnements sont constatés.
Là où je diffère un peu, c'est sur la défense des salariés lors de conflits dans l'entreprise: hors ( et epndant )les revendications, et luttes assumées par les représentants internes du personnel, la direction n'hésite pas à faire tonner l'arsenal juridictionnel: huissiers, référés, TGI,..
Et là,entre autres, il ne s'agit pas de se planter: soit l'UL ou l'UD possède en ses rangs des ( souvent un ) militants capables ou connaissant suffisamment le Code du Travail, et son maniement, pour faire échouer l'attaque adverse ( et je connais un certain nombre de bagarres gagnées par des militants externes à l'entreprise, sur le plan juridique et social), soit c'est un avocat sensible aux intérêts des salariés, qui est sollicité.
De même, les salariés ont la possibilité de se faire écouter et défendre, lors de conflits individuels avec leur employeur;là aussi, des dossiers sont pris en charge jusqu'au CPH ( Prud'hommes ), par des militans syndicaux.
Mais lorsque tu considères la charge de travail ( émotionnelle comprise )que cela représente ( en amont, pendant la procédure, et en aval ), le nombre très réduit de militants qui s'y collent, et surtout le grossissement quantitatif de dossiers, toutes les pistes de défense sont abordées avant de conseiller un avocat ( aide juridictionnelle gratuite, clause d'assurance privée ouvrant droit aux services d'un avocat ,..).
Et beaucoup de salariés sont suivis dans le temps, par ces militants ( quel que soit d'ailleurs le type de souci..), même si leur dossier est suivi par un avocat.

Je ne suis pas partisan de subventions publiques dse syndicats, mais en contrepartie, cela signifierait un réinvestissement ( dans tous les sens du terme ) de ceux-ci par les intéressés, à l'inverse d'une relation de service, assurantielle, trop souvent constatée .

Concernant l'émergence de nouveaux syndicats, souvent plus radicaux comme SUD, des nuances sont aussi évoquées :des demandes de subventions sont demandées aux pouvoirs publics ( Conseil Général,..) et accordées. Egalement, des déraillements bureaucratiques( SUD-Rail ) sont relatés par des militants désabusés.

Concernant IG Métall, leur conception du syndicalisme recouvre d'autres pans, proches de la couverture sociale:
http://www.igmetall.de/cps/rde/xbcr/SID ... 181019.pdf

Extrait :"Seuls les membres de l’IG Metall peuvent toutefois pré-
tendre obligatoirement aux prestations de la convention
collective"

Ceci laisse aussi, assez dubitatif:

http://books.google.fr/books?id=trz3jVC ... ll&f=false

pierre30
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Re: Le collectif «la droite forte» demande des journalistes de droite

Message non lu par pierre30 » 09 oct. 2012, 07:49:53

merlin a écrit :
Nombrilist a écrit :Merlin, et tes nouveaux syndicats, ils émergent comment sans financement ? Et que reproches-tu aux syndicats existants, exactement ?
Je leur reproche un tas de choses :
- ne pas défendre (ou peu, ou mal, ou pas du tout) leurs adhérents. C'est pourtant leur première mission.
- accorder des mandats / investitures dans les entreprises, afin d’assurer leur représentativité sans vérifier que les investis sont fiables et capables de négocier et de remplir leur devoir d'élu ou de DS.
- se préoccuper davantage de leur pseudo audience que de leurs adhérents
- chercher à affaiblir les autres plutôt que de séduire.
- trouver des compromissions (voire scandale IUMM) plutôt que des compromis dans les négociations de branche.
- négocier des accords dans des boites ou ils ne sont pas présents, mais juste mandatés pour la circonstance, et permettre ainsi à des entreprises de déroger au code du travail. (pas de salaire fixe, par exemple .... conséquence : 0 clients = 0 euros)
- se revendiquer de la base et ne pas l'inviter à participer aux votes lors des réunions exécutives.
- faire pression sur les élus locaux (pas de mouvements sociaux chez les territoriaux) en échanges de subventions.
- se constituer des cagnottes jamais redistribuées.
- brailler avant d'avoir mal
- réclamer de nouveaux textes alors qu'ils ne sont pas foutus de défendre l'existant ....
(je pourrais trouver d'autres griefs, mais cela pourrait paraitre excessif, donc je m'arrête la ...)

Sur l'émergence de nouveaux syndicats :

C'est complexe, car il n'y a pas 5 centrales mais des milliers de syndicats fédérés, puis des fédérations confédérées. On a d'ailleurs déjà vu des fédérations changer (ou menacer de changer ) de paroisse.

Ce système est le seul qui puisse être mis en œuvre, car pour obtenir une couverture nationale, il est évident que la fédération, voire la confédération, sont seules susceptibles de permettre à une telle entité de se payer un organe central, interlocuteur des pouvoirs publics.

Perso, je suis pas pour les grandes confédérations, ni pour le corporatisme, car on peut fédérer autour d'une valeur commune ou d'une localisation dans un secteur de l'économie. (c'est le cas en allemagne ou IG Metal est roi chez wolkswagen mais inexistant à la lufthansa.)

Je suis davantage pour un développement local, sans corporatisme, autour des valeurs qui sont celle du contre pouvoir des syndicats grâce à sa faculté légale d'ester en justice.
Ensuite , il est évident qu'il faut se fédérer pour désigner des délégués régionaux ou nationaux, capables de conduire le dialogue social dans le cadre légal.
Je pense sincèrement que ce fédéralisme doit se faire sur la base de l'examen du monde du travail et être découplé de la politique et du corporatisme. L'objectif premier d'un syndicat est de réunir des personnes et de créer par ce regroupement une personne morale dotée légalement de contre pouvoirs qu'elle doit mettre en œuvre dans l'intérêt de ses adhérents.

Hélas, les français ne veulent pas s'emmerder avec cela. Ils préfèrent soutenir (moralement) des entités qui se trouvent ainsi dépourvu de base réelle mais dotées de pouvoirs de représentativité immenses.

C'est une erreur monumentale. Les permanents des syndicats (-les 5 grands nationaux, plus 2/3 autres) sont des personnels détachés et les dirigeants de fédérations / confédérations sont des élus au même statut. Ils en ont finalement rien à faire de leurs adhérents. Même si ils n'en ont pratiquement plus, ils seront toujours représentatifs .... dont acte. Les places sont bonnes et on navigue dans les hautes sphères dans un fauteuil doré. Tout va bien.

Je suis pour une autre solution :

Des syndicats avec des syndiqués, des élus dans les boites et un fédéralisme pour peser dans les négociations nationales obligatoires. (négociations de l'évolution des CCN, de l'assurance chomage, des retraites, de la sécu, etc ...)

Cela suppose un changement des mentalités.

Quand une association de défense se monte, elle a un objet : exemple : L'aéroport de notre dame des landes, en bretagne. La on trouve du monde, car ce sont des gens concernés au premier chef.

un syndicat, cela devrait être la même chose et les français devraient avoir ce réflexe. C'est le cas dans les pays du nord ou en allemagne, et l'on voit que les lois de merkel sont combattues par les syndicats avec succès (-le cout du travail est plus important dans l'industrie automobile allemande qu'en france, car les salaires sont plus élevés, malgré l'absence de smic outre rhin)

hélas ils ne l'ont pas.

C'est très dur de changer les mentalités et c'est pourquoi je suis pour l'arrêt des financements automatiques, car c'est le seul moyen de dire aux français :

PRENEZ VOUS EN CHARGE.

Les patrons le font très bien ... pourquoi les salariés ne le feraient ils pas ? Sont ils plus bêtes ?
Ce n'est pas le sujet, mais je suis totalement d'accord. Les syndicats font d'une part un vrai travail dans chaque boite sans en avoir la légitimité, ce qui en limite la portée, et d'autre part font de la politique politicienne pour occuper les médias, tout simplement pour faire croire qu'ils ont une légitimité. Je me suis déjà exprimé là-dessus et je suis très largement d'accord avec ce que dit merlin.

pierre30
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Re: Le collectif «la droite forte» demande des journalistes de droite

Message non lu par pierre30 » 09 oct. 2012, 08:07:10

Pour en revenir au sujet (les journalistes de droite et de gauche), la crise, en occupant l'actualité, a promu des journalistes spécialistes de l'économie. Ce sujet étant largement technique, il a permis à des gens de droite d’apparaître dans les médias audiovisuels alors qu'ils étaient bien rares auparavant. Quand je dis de droite, je situe leurs idées par rapport au clivage PS/UMP, car on voit peu de journalistes situés très à droite ou très à gauche.

C'est à mon avis beaucoup plus intéressant car, sur des sujets économiques, il est toujours frustrant d'entendre un son de cloche monotone.

Cela a aussi permis de voir le niveau remonter avec des gens plus pertinents (droite et gauche) ou meilleurs pour animer les débats. Beaucoup de gens détestent David Pujadas. Moi, je trouve qu'il est certainement le meilleur animateur de débats télé depuis longtemps en ce qui concerne la politique économique. Il n'est certes pas spécialiste du sujet, mais il relève les questions restées éludées par les invités et sait changer de sujet lorsque la discussion s'enlise dans les détails. Dans ce rôle, il est très supérieur, à mon avis, à Arlette Chabot.

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johanono
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Re: Le collectif «la droite forte» demande des journalistes de droite

Message non lu par johanono » 09 oct. 2012, 08:08:49

politicien a écrit :Bonjour,
Ce mouvement interne à l'UMP préconise de «démocratiser les chaînes du service public» mais aussi de supprimer le financement public des syndicats.

La Droite forte, l’un des mouvements de l’UMP qui soumettront une motion au congrès du 18 novembre, a proposé mardi de «démocratiser les chaînes du service public» et «libérer l’information en garantissant l’embauche de journalistes de droite».

«Les penseurs et journalistes de droite comme Eric Brunet, Eric Zemmour et Elisabeth Lévy sont très peu représentés dans l’audiovisuel français. Il s’agirait de rééquilibrer l’information et le commentaire politique, à l’instar de ce que fit François Mitterrand en 1981, au lendemain de son arrivée au pouvoir lorsqu’il obtint l’embauche d’une cinquantaine de journalistes de gauche, tout particulièrement communistes, à la télévision, tels Roland Passevant ou Michel Cardoze», affirment dans un communiqué les responsables de la Droite forte, parmi lesquels figurent les jeunes sarkozystes Camille Bedin, Geoffroy Didier et Guillaume Peltier.

(...)

L'intégralité de cet article sur Liberation.fr
Qu'en pensez vous ?

A plus tard,
Donc si je comprends bien, ils demandent eux aussi des quotas que par ailleurs ils prétendent combattre...

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