Airbnb victime de son succès : des municipalités lui déclarent la guerre

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Ramdams
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Airbnb victime de son succès : des municipalités lui déclarent la guerre

Message non lu par Ramdams » 09 oct. 2014, 12:09:07

Quelle stratégie adopter face à Airbnb? C'est le casse-tête des mairies depuis que le site leader dans la locations de meublés touristiques est venu concurrencer sérieusement le secteur hôtelier et créer un appel d'air auprès des multipropriétaires. Présent dans 40.000 villes à travers 190 pays et ayant fait voyager plus de 17 millions de personnes depuis sa création en 2008, Airbnb voit de plus en plus de lois encadrant spécifiquement cette activité être adoptées pour éviter les abus.

Même s'il se refuse à avancer des chiffres, le site préférant rester discret sur le sujet, ces restrictions juridiques menacent la croissance d'Airbnb avec de lourdes amendes lorsqu'elles ne sont pas respectées. "Je suis désolé mais nous n'avons pas le choix. Ce n'est plus possible de vous louer l'appartement sans enfreindre la loi. Les amendes sont très élevées et les contrôles ont été renforcés ces derniers temps", a ainsi expliqué début septembre le propriétaire d'un appartement à Madrid à un internaute français qui avait réservé son 3-pièces plusieurs mois à l'avance sur Airbnb.

Depuis juillet un décret encadre la location de meublés touristiques dans la capitale madrilène. Désormais, un propriétaire n'a le droit de louer son bien que s'il ne s'agit pas de sa résidence principale et pour une période qui ne doit pas être inférieure à cinq jours. Les hôtes ont également l'obligation d'inscrire leur appartement sur un registre regroupant les hébergements touristiques et doivent clairement afficher les prix sur leurs portes. De quoi les inciter fortement à bien déclarer les revenus générés. Ils n'ont pas non plus le droit de louer seulement une chambre. Madrid comptait jusqu'alors près de 8.000 annonces, mais ce durcissement va inévitablement en réduire le nombre.

Airbnb touché directement au portefeuille
Toujours en Espagne, Barcelone est entrée en guerre avec Airbnb. La cité catalane a même été la première à infliger, en juillet, 30.000 euros d'amende au site pour refus de retirer des annonces jugées illégales car non inscrites dans leur registre touristique. Si Airbnb a payé cette amende, elle n'en a pas moins continué à diffuser les annonces, ce qui lui a valu une nouvelle amende de 1.500 euros en septembre de la part du gouvernement régional. Airbnb, qui juge cette loi obsolète, a fait appel de cette décision.

Sa ligne de défense? La plateforme ne fait que mettre en relation des voyageurs et des personnes qui veulent les accueillir dans leurs logements et c'est à chacun de se mettre en conformité avec la loi en vigueur dans chaque ville. En attendant, le site fait du lobbying auprès de responsables locaux pour "développer des règles adaptées permettant aux habitants de louer occasionnellement leurs logements". L'enjeu est important: Barcelone se situe dans le top 4 des villes qui accueillent le plus de touristes avec Londres, Paris et New York. (...)

A New York, la ville qui a vu débuter Airbnb, le site fait ainsi du surplace depuis trois ans et l'application d'une loi sur les "hôtels illégaux". Les particuliers ne peuvent tirer un revenu d’une location de moins de 29 jours s’ils ne se déclarent pas hôteliers ou s’ils ne sont pas présents dans le logement durant la location. Autrement il s'agit d'une concurrence aux hôtels. Et la pression ne fait qu'augmenter car selon une récente étude 2/3 des 20.000 annonces seraient toujours illégales dans Big apple. (...)

En Europe, Berlin a adopté en mai dernier une loi qui oblige ceux qui sont déjà sur Airbnb (près de 10.000 annonces) à s'enregistrer. Ils obtiennent un délai de grâce de deux ans leur permettant de constituer les pièces pour une demande de permis de louer définitive. (...)

Dans l'Hexagone, en principe, il n'y a pas d'autorisation préalable à obtenir pour louer tout ou partie de sa habitation dans la limite de quatre mois par an. Selon les derniers chiffres, 100.000 Français louent ainsi un logement, dont 83% leur résidence principale. Mais s'il s'agit d'une résidence secondaire, la règle change. A Paris (30.000 annonces), dans les Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne et, hors Ile-de-France, dans les villes de plus de 50.000 habitants, il faut obtenir l'accord de la mairie car il s'agit d'un changement d'usage du lieu. (...)

Amsterdam, un modèle?
La stratégie d'Airbnb est d'arriver dans une ville, même s'il faut placer ses hôtes dans l'illégalité, pour ensuite faire changer la législation en vigueur une fois que le service est devenu incontournable. C'est ce qui s'est passé encore dernièrement à Amsterdam. Une loi de février 2014 permet désormais de louer sa maison à quatre personnes à la fois jusqu'à deux mois à condition de payer impôts et taxes de séjour. Les locataires peuvent également le faire. C'est la première loi Airbnb-friendly à créer la catégorie de "location de vacances privée". Airbnb aimerait bien que beaucoup de municipalités s'en inspirent.

Challenges
Ici, on peut réellement parler d'un lobby hôtelier. Les hôtels sont onéreux et offrent même, la plupart du temps, moins de services que les particuliers. Pour être passé à deux reprises par Airbnb, que j'ai connu grâce à un lien d'El Fredo, je recommande vivement de passer par ce service pour trouver une location de vacances. Même si tout dépend de l'hôte chez qui on est accueilli, j'ai été très satisfait de mon séjour : on a pu cuisiner à notre guise (les hôtels premiers prix ne mettant pas à disposition de frigo pour les produits frais et encore moins de plaque de cuisson).

Mes séjours se sont déroulés aux Pays-Bas, qui ont bien accueilli l'arrivée d'Airbnb. Pour le reste, les municipalités qui la refusent ont des œillères : ils sous-estiment les rentrées d'argent grâce au tourisme (moins d'argent dépensé pour les hôtels = plus d'argent pour les attractions touristiques). Ça ne m'étonne pas du tout de Madrid, administré par le parti de Rajoy... Certains qui font l'amalgame entre libéralisme et capitalisme ont ainsi un parfait exemple : le libéralisme vise à rendre l'offre plus large et à laisser les hôtels s'adapter à cette concurrence ; le capitalisme vise pour le lobby hôtelier à garder sa suprématie.

Quant à la France, elle aurait tout intérêt à laisser Airbnb agir.

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Narbonne
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Re: Airbnb victime de son succès : des municipalités lui déclarent la guerre

Message non lu par Narbonne » 09 oct. 2014, 12:18:50

Les particuliers sont inscrits officiellement quelque part ? les revenus sont ils déclarés ?
Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait.

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Ramdams
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Re: Airbnb victime de son succès : des municipalités lui déclarent la guerre

Message non lu par Ramdams » 09 oct. 2014, 12:30:15

A priori, les particuliers ne sont inscrits nulle part, c'est pour cela que les municipalités exigent leur inscription. Quant aux revenus, mieux vaut les déclarer puisque les transactions sont faites par carte bancaire. Après, le visiteur et l'hôte peuvent faire le choix, à leurs risques et périls respectifs cependant, de louer sans l'intermédiaire d'Airbnb. Airbnb joue alors le rôle de site de rencontres.

Bref, la loi ne pourra heureusement jamais tout encadrer.

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Re: Airbnb victime de son succès : des municipalités lui déclarent la guerre

Message non lu par johanono » 09 oct. 2014, 12:46:28

Je ne comprends pas. Quel est le problème avec ce site ?

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Re: Airbnb victime de son succès : des municipalités lui déclarent la guerre

Message non lu par Narbonne » 09 oct. 2014, 13:13:35

Normes de sécurité des biens ? En cas d'incendie ou autre que se passe t'il ?
Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait.

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Re: Airbnb victime de son succès : des municipalités lui déclarent la guerre

Message non lu par El Fredo » 09 oct. 2014, 14:16:58

Si on est locataire c'est carrément illégal sauf accord explicite du propriétaire. Si c'est fait de façon occasionnelle c'est tout à fait légal à partir du moment où l'on déclare ces revenus. Si c'est régulier alors on peut à un moment rentrer dans le cadre réglementaire de la location saisonnière voire de l’hôtellerie.

Je serais pour que l'Etat fixe des valeurs seuils claires et transparentes, un peu comme pour les autoentrepreneurs, afin d'éviter la concurrence déloyale. Du genre pas plus de 2-3 semaines par an. Ces services s'adressent en priorité aux particuliers qui veulent louer leur logement principal inoccupé pendant leurs congés, et certainement pas à ceux qui s'en servent pour contourner la réglementation ou le fisc. On doit donc à la fois protéger les industries dont c'est le métier, les particuliers qui veulent arrondir leurs fins de mois, les nouvelles pratiques communautaires, et les usagers de tous ces services.
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Re: Airbnb victime de son succès : des municipalités lui déclarent la guerre

Message non lu par Narbonne » 09 oct. 2014, 14:27:48

Actuellement sur Paris, des immeubles entiers sont rachetés pour faire cela.
Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait.

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Re: Airbnb victime de son succès : des municipalités lui déclarent la guerre

Message non lu par Nico37 » 09 oct. 2014, 18:00:07

Oui c'est dénoncé par le FdG depuis environ 2 ans...

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Re: Airbnb victime de son succès : des municipalités lui déclarent la guerre

Message non lu par politicien » 02 nov. 2014, 12:57:51

Bonjour,
Le nouveau barème de la taxe de séjour sera voté cette semaine. Les sites d’hébergements devront la collecter auprès de leurs clients.

Pas de taxe sur le chiffre d’affaires, mais une obligation de collecter la taxe de séjour. Les sites Internet de location de courte durée, type Airbnb ou Abritel s’en sortent plutôt bien. Le ministre des affaires étrangères Laurent Fabius en a fait l’annonce vendredi. Un amendement, examiné la semaine prochaine, a été déposé.

Si les particuliers qui louent une résidence via un site Internet sont déjà censés prélever la taxe de séjour auprès de leurs locataires, peu s’en acquittent dans les faits. Le gouvernement a donc décidé de soumettre les sites qui mettent en relation les particuliers à une obligation de collecte de cette taxe auprès de leurs clients. Les touristes paieront ainsi un supplément lors de leur réservation sur le site Internet.

Pour les hôtels aussi, le cadre va évoluer. L’amendement va relever le plafond de la taxe de séjour, mais la hausse reste pour l’essentiel limitée aux hôtels trois étoiles et plus . Alors qu’aujourd’hui, le plafond varie entre 20 centimes et 1,50 euro selon la catégorie d’hôtel, il sera relevé à 4 euros pour les palaces, à 3 euros pour les hôtels 5 étoiles, à 2,25 euros pour les 4 étoiles, et à 1,50 euro pour les 3 étoiles. Le plafond est maintenu à 90 centimes pour les 2 étoiles et à 75 centimes pour les hôtels une étoile.


(...)

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Re: Airbnb victime de son succès : des municipalités lui déclarent la guerre

Message non lu par Ramdams » 02 nov. 2014, 13:04:12

On a donc échappé au pire. Cela dit, il sera toujours plus préférable de voyager dans un pays où ces taxes n'existent pas.

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Re: Airbnb victime de son succès : des municipalités lui déclarent la guerre

Message non lu par Nico37 » 02 nov. 2014, 13:07:16

Effectivement, le luxe en sort indemne...

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Re: Airbnb victime de son succès : des municipalités lui déclarent la guerre

Message non lu par politicien » 26 févr. 2015, 18:24:36

Bonjour,
Louer son logement quelques jours pour s’en sortir financièrement est devenu pratique courante grâce aux plates-formes de locations entre particuliers. Quitte à dormir chez les autres.

Qui débarque le matin dans l’open space en traînant sa fatigue et une valise à roulettes ne part pas forcément en week-end. Surtout un mardi. Le mystère du collègue nomade peut s’expliquer d’une tout autre façon. Dans les grandes villes touristiques, Paris en tête, il faut désormais parfois quitter son domicile pour pouvoir le conserver. Louer ponctuellement à des particuliers, par l’intermédiaire des plates-formes Internet de réservation comme Airbnb, permet d’engranger les quelques centaines d’euros qui paient le loyer, la traite du crédit, ou mettent du beurre dans les épinards.

La crise durablement installée, ce n’est plus seulement la chambre d’amis qui est sous-louée au touriste de passage mais l’appartement entièrement dégagé, y compris de ses occupants, pour des bénéfices supérieurs et précieux… L’américain Airbnb, avec son million de logements proposés à travers le monde – 100 000 en France –, a même chiffré l’importance, depuis deux ou trois ans, de ce « revenu complémentaire ». Pour près d’une moitié des hôtes français, il serait impossible de rester dans son logement sans les 300 euros mensuels (en moyenne) de ce petit business rarement déclaré.

(...)

L'intégralité de cet article à lire sur Le Monde.fr
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Re: Airbnb victime de son succès : des municipalités lui déclarent la guerre

Message non lu par les orteils » 26 févr. 2015, 18:57:12

Le problème avec ces sites coopératifs ce sont les dérives, et il y en a beaucoup sur Paris. Il y a aussi des dérives dans le covoiturage. Il n'en est pas moins vrai que les concepts sont intéressants. Celui d'airn'b n'est d'ailleurs pas nouveau. Internet favorise ce type d'économie.
C'est toujours hier que commence le futur, mais la France continue de penser que tout commence demain. (Boualem SANSAL)

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Re: Airbnb victime de son succès : des municipalités lui déclarent la guerre

Message non lu par Narbonne » 26 févr. 2015, 19:04:02

Il y a des entreprises qui s'engagent à verser, chaque mois, 2000 ou 3000€ au propriétaire et elles s'occupent de tout faire (trouver les touristes, menus travaux ...). Le montant versé est fixe, peu importe le nombre de nuitées que l'entreprise a facturé.
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Re: Airbnb victime de son succès : des municipalités lui déclarent la guerre

Message non lu par politicien » 10 mai 2015, 17:06:40

Bonjour,
Ils s’appellent Airbnb, Wimdu, Sejourning, BedyCasa ou encore Housetrip. Ces sites web ont bouleversé la location meublée saisonnière entre particuliers. Au point de s’attirer les foudres des autorités locales et des hôteliers. “Le but d’Airbnb, c’est de mettre à disposition des touristes des capacités de logement inutilisées”, se défend Nicolas Ferrary, directeur France d'Airbnb. Loin de ce débat, les Français sont nombreux à s’engouffrer dans la brèche. Paris est ainsi devenue la ville au monde qui compte le plus de logements présents sur Airbnb. Le site héberge aujourd’hui près de 40.000 annonces de biens à louer dans la capitale.

Il faut dire que le rendement théorique est alléchant. Un appartement de 45 m2 situé dans les arrondissements centraux peut rapporter jusqu’à 3.000 euros s’il est loué à la semaine à des touristes, contre deux fois moins pour une location classique ! Cependant, trop peu de propriétaires se soucient encore de la législation. Attention car la mairie de Paris, l’une des seules villes où il existe un marché toute l’année pour du meublé touristique, est partie en guerre contre les loueurs en infraction. Pour éviter les dénonciations, de plus en plus d'investisseurs se rabattent donc sur la petite couronne ou les grandes villes de province.

(...)

Passé l’aspect réglementaire du sujet, attention à ne pas sous-estimer le temps à consacrer à ce type de projet. « Louer à la nuitée implique un sacré boulot de gestion », rappelle Benjamin Nicaise, président de la plateforme d’investissement immobilier Cerenicimo. En plus de trouver et de sélectionner les locataires, il faut gérer le planning du bien (entrées et sorties, ménage, remplacement des meubles, entretien). « Il faut compter de dix à quinze heures par bien et par semaine », estime Maud Velter, directrice associée de Lodgis. Certaines agences proposent de s’occuper de l’ensemble de ces tâches. Le coût n’est pas négligeable : comptez de 25 à 30 % du loyer perçu en gestion à la nuitée.

(...)

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