Pour le moment le résultat n'est pas définitif mais sur 25 % des bulletins dépouillés le "non" remporte 60,49 % des suffrages
19h15. Le gouvernement a annoncé l'"intensification des initiatives à partir de ce soir pour arriver à un accord". Le porte-parole du gouvernement grec Gabriel Sakellaridis a assuré dimanche que "les initiatives pour arriver à un accord" entre Athènes et ses créanciers UE et FMI "allaient s'intensifier à partir de ce soir", à l'issue du référendum qui placerait le non en tête selon des sondages. "Un grand travail de préparation a été fait pour arriver à un accord (...) la Banque de Grèce va envoyer une demande ce soir à la BCE, nous pensons qu'il y a des arguments solides pour faire remonter (le plafond de) l'ELA", l'aide d'urgence aux banques grecques qui sont fermées depuis une semaine et risquent de manquer rapidement de fonds.
19h30. Les directeurs du Trésor des pays de la zone euro ont prévu de se réunir lundi, selon une source européenne.
19h35. La Banque de Grèce "va demander dimanche soir à la BCE" de remonter le plafond des aides d'urgence, a annoncé le gouvernement.
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http://www.lepoint.fr/economie/referend ... 479_28.php
18h05: Pour Martin Schulz, une victoire du «Non» obligerait la Grèce à adopter une nouvelle monnaie
Une victoire du non au référendum en Grèce forcerait le pays à introduire rapidement une nouvelle monnaie, a prévenu dimanche le président du Parlement européen Martin Schulz, assurant par ailleurs que les Européens ne «laisseraient pas tomber» les Grecs.
Si les Grecs votent non, «ils devront introduire une autre monnaie, puisqu'ils n'auront plus d'euros à disposition comme moyen de paiement», a prévenu dans une interview à la radio publique allemande Deutschlandfunk le président du Parlement. «Comment sont-ils censés payer les salaires? Et les retraites? Mais du moment où quelqu'un introduit une nouvelle monnaie, il sort de l'euro», a-t-il poursuivi. «Ce sont les éléments qui m'amènent à espérer que les gens ne votent pas non aujourd'hui», a conclu Martin Schulz, «j'espère que les gens diront oui».
Mais quelle que soit l'issue du scrutin, «nous ne laisserons pas tomber les gens en Grèce», a assuré Martin Schulz dans les colonnes du journal allemand Welt am Sonntag. «Peut-être que nous devrons accorder des crédits d'urgence à Athènes pour que les services publics continuent de fonctionner et que les gens dans le besoin reçoivent l'argent nécessaire pour survivre», a-t-il ajouté. «Il y aurait des fonds mobilisables à Bruxelles pour cela», selon lui. En tout cas si Athènes devait avoir recours à des aides d'urgence des Européens, cela «ne constitue pas une solution sur la durée», a prévenu Martin Schulz.
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http://www.20minutes.fr/monde/1645879-2 ... irpas-tete
Qu'en pensez vous ? Les négociations peuvent-elles reprendre ? Se dirige t-on vers un Grexit ?