Finalement, la vie, c'est beaucoup moins compliquée qu'il n'y paraît !Après avoir conçu trois étiquettes pour les Français, Benoît Hamon les a donc réparti en trois groupes, ce lundi, en direct sur BFMTV. D'abord, les pauvres: «des gens qui ne travaillent pas et aimeraient travailler, avoir un emploi, pouvoir être utiles, et être reconnus parce qu'ils ont un emploi et un salaire». Ensuite, les travailleurs «surmenés», un groupe composé «des gens qui ont un travail, sont contents d'en avoir un parce qu'ils en tirent un salaire mais qui ne sont pas heureux au travail d'où l'explosion des burn out, des pathologies psychiques». Benoît Hamon y inclut le personnel hospitalier qui «sera une de mes priorités». Enfin, la troisième catégorie regroupe «ceux qui sont plutôt contents d'aller travailler le matin, qui ont un bon salaire, il y en a beaucoup, mais ce sont aussi ceux-là qui font les lois travail pour tous les autres»
3 p'tites catégories et emballé, c'est pesé !