Ehrgeiz » 05 Mar 2017, 03:06:44 a écrit :
Aucun pays africain ne peut imposer ce genre d'accord à la France, car même si on n'exploite plus les ressources naturelles du Mali ou autre, les autres prétendants disposant du savoir faire nécessaire pour remplacer la France ne seront pas plus humanistes. En ce moment, l'Afrique est un gâteau que se partagent américains, francais, israéliens et chinois. Aucun de ces pays ne fera dans la demi-mesure quand il s'agit de ses interêts. Aucun ne se laissera imposer un accord défavorable.
Pour le coup moi je me place du point de vue français pas africain cette fois.
Si admettons la Chine offre un meilleur arrangement au Niger que la France, pourquoi ils continueraient de de marcher avec nous ? La diplomatie c'est fait de ça, essayer de ne pas froisser ses partenaires trouver des arrangements.
Bloquer les ressortissants de certains pays comme a essayé de faire Trump tu m'accorderas que ça passe très mal, la nation concernée se sent "humiliée", (tu constateras au passage que Trump s'est d'ailleurs abstenu avec l'Arabie Saoudite alors que c'est le nid de l'islamisme fondamentaliste).
Certes il n'y a probablement pas d'accord sur un nombre de ressortissants ayant droit de s'installer en France, mais dire à ces gens vous n'êtes plus le bienvenus, fini l'immigration, fini l'aide au développement (même si elle est minable), tu comprends que ça passe mal.
Mais OK pas grave ils marchent avec les chinois, qui seront peut-être pires. Et nous ?
Comment on fait pour l'électricité sans uranium pas cher ? Pour le chauffage sans Gaz pas cher ? Pour les transports sans pétrole pas cher ?
Parceque avant tout on a une dévaluation sur le dos (c'est je te rappelle au sujet de la dévaluation qu'on est parti dans cette digression sur l'uranium). Car même en étant "diplomate", la dévaluation renchérit les importations de toute façon (mais si on n'est pas "diplomate" c'est encore pire).
Un dirigeant Malin optant pour une politique "protectionniste" prévoirait au moins des énergies de substitution, les renouvelables donc , une mutation de l'appareil productif et des transports adaptés à cette raréfaction de matières premières importées ....
Aussi même si MLP en parle, je la trouve bien légère sur ce point comparée à Hamon ou Mélenchon.
Ehrgeiz » 05 Mar 2017, 03:06:44 a écrit :
La solution se trouve dans la juste application des peines, et plus particulièrement dans le principe de certitude de la peine.
Je ne vois pas le rapport avec le fait d'encourager les flics a sortir le pétard dès qu'on hausse le ton, d'autant que beaucoup le font sans qu'on ai besoin de les y inciter, les Flics ne sont pas Juges, et j'ai aucune envie d'une société à la "Judge Dredd".
Ehrgeiz » 05 Mar 2017, 03:06:44 a écrit :
C'est un point sur lequel nous serons, je pense, d'accord; Les pommes pourries, on les vire pour les remplacer par des jeunes intègres et motivés.
Tu oublies , ... respectueux des citoyens, de la loi, de la constitution et capables de contrôler leurs pulsions et faisant preuve de discernement, des jeunes formés pour ça donc.
Pour ma part je pense qu'il ne s'agit pas juste de "pommes pourries", il y a comme des lacunes sur l'aspect "civisme" dans la formation des flics en France.
Quant aux quartiers "sensibles" il faut envoyer impérativement des gars expérimentés et volontaires (mieux payés donc).
Enfin accessoirement il faudrait peut-être revoir le fonctionnement de la police des polices, pour prévenir les "pommes pourries".
Ehrgeiz » 05 Mar 2017, 03:06:44 a écrit :
Dans ce cas, il ne s'agit plus d'un revenu universel, mais une allocation liée à des conditions précises comme l'appartenance à certaines catégories d'âge ou professionnelles.
Il s'agit avant tout d'amorcer un changement de paradigme.
Evidement pour ne pas plomber les finances de l'état on commence par la partie de la population qui en a le plus besoin sur le prochain quinquénat, on avisera au fur et a mesure de l'évolution de la société et de l'économie pour les autres, mais le but est à long terme que toute la population en bénéficie, et admettre une fois pour toutes la raréfaction, la déshumanisation, la perte de sens du travail et le fait qu'il ne peut plus être considéré comme une valeur structurante de la société, et qu'il faut envisager une autre façon de distribuer la richesse plus équitable.