Le sujet est intéressant. La pratique des "grands oraux" thématiques existait déjà par le passé, mais elle tend à se développer. Mais cela traduit une forme assez malsaine de consumérisme et de clientélisme.Présidentielle 2022 : « On est harcelés et débordés »… Les candidats face au marathon des grands oraux
POLITIQUE. Les prétendants à l'Elysée sont très sollicités pour participer à de grands oraux thématiques, organisés par des associations ou des branches professionnelles.
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Chaque corporation, chaque groupe de pression, veut son grand oral. Sous-entendu : les adhérents voteront en fonction de leur intérêt catégoriel, pour le candidat qui fera le plus de promesses à leur corporation, et plus vraiment en fonction d'un projet politique d'ensemble.
Et les candidats se retrouvent généralement obligés de céder, sous peine d'être accusés d'être sourds aux demandes du peuple. Ce faisant, ils tombent dans une forme de clientélisme.