Actuellement, des tonnes de petites annonces d'étudiants fleurissent sur Internet. Il y a des offres de colocation à quelques semaines de la rentrée.
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Et toutes les autres qui proposent, moyennant finances, un pack de première année de médecine à 400 €, un exposé sur les institutions de l'Union européenne à 4,50 € ou des fiches de licence de droit à 2 €... La revente de cours entre deux années scolaires, qui s'est longtemps cantonnée aux halls d'université par le bouche-à-oreille, investit de plus en plus la Toile.
Pour cela, il existe les réseaux sociaux, en particulier des groupes Facebook dédiés, des forums étudiants, des sites traditionnels comme Leboncoin. Et désormais des plates-formes spécialisées à l'instar de Studizen, expérimenté depuis avril dernier, mais qui profite des grandes vacances pour se lancer officiellement à travers une campagne de communication.
Cette start-up se présente comme la « première plate-forme collaborative d'échanges entre étudiants ». Mais la page d'accueil de ce site de partage et de revente de copies en quête d'une seconde vie, comptant déjà « un millier d'inscrits et 300 contenus déposés », annonce clairement la couleur : « Etudier, ça rapporte ». Le concurrent Stuvia, lui aussi, n'y va pas par quatre chemins. « Vends tes notes ! Choisis ton prix et gagne de l'argent à chaque téléchargement », annonce-t-il.
Ce business, très développé aux Etats-Unis et en Australie, n'a jamais été aussi florissant chez nous. D'abord grâce à la digitalisation de cette vieille pratique qui permet en quelques clics une mise en relation simple et directe des vendeurs et des acheteurs.
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