A quoi servent les interventions LGBT à l'école ?
Re: A quoi servent les interventions LGBT à l'école ?
Je faisais allusion aux messages (celui de Pierre et le tien notamment) qui sous-entendaient qu'inviter des skinheads ou des draq queens, c'était à peu près la même chose, et que soit on autorisait ces deux catégories de personnes, soit on les interdisait toutes les deux.
Autrement dit, le valeurs promues par ces drag queens et celles promues par les skinheads sont pareillement inacceptables.
Autrement dit, le valeurs promues par ces drag queens et celles promues par les skinheads sont pareillement inacceptables.
Re: A quoi servent les interventions LGBT à l'école ?
Il est intolérable de chercher à influencer les enfants avec des modèles de vie. Que ce soit le style skinhead, la communauté drag queen ou toute autre minorité, c'est équivalent.Camille a écrit : ↑10 mars 2023, 14:38:57Je faisais allusion aux messages (celui de Pierre et le tien notamment) qui sous-entendaient qu'inviter des skinheads ou des draq queens, c'était à peu près la même chose, et que soit on autorisait ces deux catégories de personnes, soit on les interdisait toutes les deux.
Autrement dit, le valeurs promues par ces drag queens et celles promues par les skinheads sont pareillement inacceptables.
Re: A quoi servent les interventions LGBT à l'école ?
C'est vrai qu'un groupe qui casse la g..... à des non-blancs est comparable à ceux qui voudraient, dans le pire des cas, pousser des enfants dans leur dysphorie de genre. On n'a pas le même système de valeurs, effectivement.
Re: A quoi servent les interventions LGBT à l'école ?
Je veux bien accepter l'idée de ne pas mettre les skinheads et les drag queens sur le même plan. Mais la question n'est pas là. La question qui se pose est celle de savoir si on doit accepter l'embrigadement politique de nos gamins.Camille a écrit : ↑10 mars 2023, 14:38:57Je faisais allusion aux messages (celui de Pierre et le tien notamment) qui sous-entendaient qu'inviter des skinheads ou des draq queens, c'était à peu près la même chose, et que soit on autorisait ces deux catégories de personnes, soit on les interdisait toutes les deux.
Autrement dit, le valeurs promues par ces drag queens et celles promues par les skinheads sont pareillement inacceptables.
Dire à un gamin qu'il doit tolérer des gens différents de lui -> OK, ça fait partie des missions de l'école
Dire à un garçon que si une fille, ça se respecte, et que si elle dit NON, c'est NON -> OK, ça fait partie des missions de l'école
Relayer auprès des gamins la propagande LGBT et tout ce qu'elle comporte -> c'est du militantisme politique, et pour moi, c'est NON.
Et pour moi, les drag queens avec les gamins font du militantisme politique. D'ailleurs, il suffit de lire la prose de ceux qui les soutiennent pour s'en convaincre.
Re: A quoi servent les interventions LGBT à l'école ?
Je parle de la prose de ces drag queens est de ceux qui les soutiennent. Ils assument clairement d'être dans une démarche politique.
Re: A quoi servent les interventions LGBT à l'école ?
Voici un petit aperçu de ce qui se passe quand des associations LGBT interviennent dans nos écoles :
- On constate que les associations LGBT, quand elles interviennent à l'école, ne se contentent pas de sensibiliser les jeunes aux persécutions et brimades dont les homosexuels seraient victimes. Elles y formulent des revendications et des théories tout à fait contestables. Elles se servent de l'école comme d'une tribune politique, et le gouvernement, manifestement, les laisse faire.
- Et pour confirmer ce que j'indiquais dans un autre topic, il apparaît que, si on n'est pas d'accord avec ces gens-là, on est vite accusé d'être "homophobe" ou "transphobe" ou "LGBTQIA+phobe" (ou autres variantes de phobies).
Deux choses :Polémique après la tenue d’un atelier de « propagande trans » à l’École alsacienne
Des parents d’élèves se sont insurgés après la tenue d’un atelier animé par l’association OUtrans dans une classe de quatrième de l’Ecole alsacienne à Paris. Le prestigieux établissement parisien a fait savoir qu’il annulait les prochaines séances.
suite
- On constate que les associations LGBT, quand elles interviennent à l'école, ne se contentent pas de sensibiliser les jeunes aux persécutions et brimades dont les homosexuels seraient victimes. Elles y formulent des revendications et des théories tout à fait contestables. Elles se servent de l'école comme d'une tribune politique, et le gouvernement, manifestement, les laisse faire.
- Et pour confirmer ce que j'indiquais dans un autre topic, il apparaît que, si on n'est pas d'accord avec ces gens-là, on est vite accusé d'être "homophobe" ou "transphobe" ou "LGBTQIA+phobe" (ou autres variantes de phobies).
Re: A quoi servent les interventions LGBT à l'école ?
johanono a écrit : ↑19 mai 2023, 16:37:19Voici un petit aperçu de ce qui se passe quand des associations LGBT interviennent dans nos écoles :
Deux choses :Polémique après la tenue d’un atelier de « propagande trans » à l’École alsacienne
Des parents d’élèves se sont insurgés après la tenue d’un atelier animé par l’association OUtrans dans une classe de quatrième de l’Ecole alsacienne à Paris. Le prestigieux établissement parisien a fait savoir qu’il annulait les prochaines séances.
suite
- On constate que les associations LGBT, quand elles interviennent à l'école, ne se contentent pas de sensibiliser les jeunes aux persécutions et brimades dont les homosexuels seraient victimes. Elles y formulent des revendications et des théories tout à fait contestables. Elles se servent de l'école comme d'une tribune politique, et le gouvernement, manifestement, les laisse faire.
- Et pour confirmer ce que j'indiquais dans un autre topic, il apparaît que, si on n'est pas d'accord avec ces gens-là, on est vite accusé d'être "homophobe" ou "transphobe" ou "LGBTQIA+phobe" (ou autres variantes de phobies).
- Tu aurais pas une autre source stp ? Ce qui est fondamental quand on poste un truc, c'est la crédibilité de la source. Excuse moi de ne pas croire "Familles chrétiennes" sur paroles à propos de ce type de sujet.
- À partir de là, soit ce qui est dit est vrai, soit ce qui est dit est faux.
Partons du principe que ce qui est dit est vrai, il y a quelques phrases citées qui peuvent constituer une dérive.
Est-ce que ça justifie le fait de vouloir interdire toute intervention d'associations LGBT ?
Je vais te prendre un autre exemple : admettons qu'un type de la prévention de routière se laisse aller en disant qu'il faudrait limiter à 30 dans toutes les villes de France, tu proposeras d'interdire l'accès aux écoles à la prévention routière ?
Je ne pense pas, parce que le sujet LGBT est un motif d'acharnement chez toi, tout simplement.
Re: A quoi servent les interventions LGBT à l'école ?
Oui bon OK, quasiment toute la "droite très décompléxée" est là...
Tiens on apprend entre les lignes que des parents se sont plaint à "l'observatoire du décolonialisme", soit une obscure mouvance politique universitaire qui s'est donnée la mission d'attaquer tout ce qui défend de près ou de loin une minorité quelconque.
Bref, des droitards ultra-politisés qui viennent reprocher à des assos de politiser des interventions à l'école (ou plutôt de promouvoir la chienlit et la décadence n'est-ce pas ).
Tout ça est assez risible.
Par contre, il y a bien un moyen selon moi d'ouvrir le débat un peu sérieusement. C'est en débattant sur la notion de "public concerné".
Je m'explique. Il y a quelques semaines, Samuel Étienne a entendu ses oreilles siffler dans l'actualité après avoir débattu sur Twitch du sexisme dans le monde du gaming en présence de 4 hommes (et à priori pas tous des exemples en la matière) et 0 femme. Étienne a plaidé le hasard du calendrier (les invités sont choisis avant les thèmes à débattre) et là-dessus je veux bien le croire. Mais ça pose la question : n'est-ce pas un peu inutile et maladroit de débattre du sexisme sans les femmes ? Moi je crois que oui.
Dans les articles que tu as publiés, on laissait entendre que les interventions sur l'homophobie par les assos allaient être remplacées par des interventions sur l'homophobie, assurées par leurs propres soins, donc potentiellement sans LGBT, en tout cas sans association LGBT.
Et là, on se retrouve un peu dans le même cas de figure que le débat sur le sexisme sans les femmes.
Alors certes, ça te permet d'avoir de meilleurs garanties que les intervenants soient neutres, impartiaux, modérés, "républicains", laïcs et tout ce que tu veux puisqu'il n'y a que ça qui t'intéresse. Moi je doute de l'efficacité de ces démarches.
J'en ai déjà parlé, mais sensibiliser sur les risques routiers par un instituteur ou par une victime de la route en chaise roulante, ça n'a pas du tout le même impact. Je ne suis pas favorable à ce qu'on parle des femmes sans les femmes, qu'on parle des LGBT sans les LGBT, quand bien même on partirait du principe d'en parler "en bien".
Re: A quoi servent les interventions LGBT à l'école ?
Tous les homosexuels ne sont pas des militants LGBT. Tu fais la confusion, c'est révélateur.
Donc on peut débattre de l'homophobie avec un homosexuel victime d'homophobie mais non militant LGBT.
Donc on peut débattre de l'homophobie avec un homosexuel victime d'homophobie mais non militant LGBT.
Re: A quoi servent les interventions LGBT à l'école ?
À partir du moment où tu vois le "lobby LGBT" un peu partout, la frontière va être extrêmement floue chez toi en premier.
Même dans le reportage de France2 qui faisait la part belle aux témoignages et aux vécus, tu as trouvé le moyen de porter des critiques sur de pseudos revendications politiques.
Même le symbole arc-en-ciel constitue pour toi le "lobby LGBT" !
Au final, un "homosexuel non-militant LBGT", c'est quasiment un homosexuel qui ferme sa g..... pour toi.
Re: A quoi servent les interventions LGBT à l'école ?
La frontière peut sembler floue de prime abord. Mais en réalité, pas tant que ça, car les activistes LGBT nous aident bien ! En effet, il y a chez eux une posture identitaire et revendicative. Ils s'identifient eux-mêmes, en fonction de leur statut sexuel, comme étant LGBT (avec les sous-variants : transsexuel, bisexuel, asexuel, pansexuel, non-binaire, skoliosexuel, etc.). Ils vivent gay, ils mangent gay, ils boivent gay, ils militent gay. Ils sont convaincus d'être une minorité opprimée. Ils revendiquent des droits spécifiques. De cet état d'esprit résulte tout un corpus idéologique : la théorie du genre, l'écriture inclusive, la GPA, etc.
C'est assez facile de savoir qu'ils sont LGBT, car ils le disent eux-mêmes ! Va donc sur le site de SOS Homophobie ou de Stop Homophobie : le sigle LGBT, avec ses variants, y est omniprésent !
C'est assez facile de savoir qu'ils sont LGBT, car ils le disent eux-mêmes ! Va donc sur le site de SOS Homophobie ou de Stop Homophobie : le sigle LGBT, avec ses variants, y est omniprésent !
Re: A quoi servent les interventions LGBT à l'école ?
Oui je pensais bien que tu analysais les choses un peu comme ça, c'est-à-dire que tu avais même un problème avec le sigle LGBT.johanono a écrit : ↑19 mai 2023, 19:44:42La frontière peut sembler floue de prime abord. Mais en réalité, pas tant que ça, car les activistes LGBT nous aident bien ! En effet, il y a chez eux une posture identitaire et revendicative. Ils s'identifient eux-mêmes, en fonction de leur statut sexuel, comme étant LGBT (avec les sous-variants : transsexuel, bisexuel, asexuel, pansexuel, non-binaire, skoliosexuel, etc.). Ils vivent gay, ils mangent gay, ils boivent gay, ils militent gay. Ils sont convaincus d'être une minorité opprimée. Ils revendiquent des droits spécifiques. De cet état d'esprit résulte tout un corpus idéologique : la théorie du genre, l'écriture inclusive, la GPA, etc.
C'est assez facile de savoir qu'ils sont LGBT, car ils le disent eux-mêmes ! Va donc sur le site de SOS Homophobie ou de Stop Homophobie : le sigle LGBT, avec ses variants, y est omniprésent !
Quelqu'un qui se dit "homo" = pas lobby (enfin quoique sans doute...). Quelqu'un qui se dit "LGBT" = lobby !
- les orteils
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Re: A quoi servent les interventions LGBT à l'école ?
On ne peut pas nier non plus que les assos LGBT véhiculent souvent des notions très contestables, notamment concernant le genre. Les enseignants sont toujours responsables de leurs intervenants : il leur appartient de les évaluer en amont et de valider également le contenu de l'intervention prévue.
C'est toujours hier que commence le futur, mais la France continue de penser que tout commence demain. (Boualem SANSAL)
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