Autre problème sérieux en France: l'orientation. Cette sélection dont je parle devrait aussi s'accompagner d'une bonne orientation. Là où vous semblez le plus performant vous allez, et alors on teste pour voir si vous en avez le niveau. Donc si l'on est mauvais en maths et bon en géographie/histoire et en philosophie, et bien l'orientation nous porte vers l'histoire la géo ou la philo, choix par l'étudiant de ce qu'il préfère=> incitation dès le lycée à être bon quelque part. On observe les résultats de la première et de la terminale, ainsi que le bac, pour voir où untel doit aller. Dans le cas du Droit, médecine etc...étant donné qu'il n'y en a pas au lycée, la sélection par examen d'entrée y est encore plus importante.Nombrilist a écrit : Ce que je veux dire par "chacun doit avoir sa chance", c'est qu'il faut essayer, et parfois on peut se tromper de voie (comme toi me semble-t-il). Il ne faut pas rigidifier le système, où les jeunes perdront cette liberté d'essayer. Faut pas tout voir par la lorgnette "pognon".
Je dis tout cela en connaissance de cause, ayant fait face à une orientation pitoyable en terminale (le système Ravel) couplé à des conseillère d'orientation sous qualifiées (elles nous sortaient tous les gros clichés sur chaque filière).