Ce que nos enfants n'apprennent plus au collège
- Lucas
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Re: Ce que nos enfants n'apprennent plus au collège
Mais pourquoi la filière S aurait un régime d'enseignement différent ?
- artragis
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Re: Ce que nos enfants n'apprennent plus au collège
bah en fait elle a déjà un régime d'enseignement différent des autres. Le truc serait ici de rééquilibrer les choses pour que la fillière scientifique prépare vraiment aux études scientifiques autant en terme de connaissances que de méthodes (recherches, autoformation, différents types de raisonnements (algorithmique, combinatoire...)) et laisser les études de journalistes et de science po à ceux qui font une ES qui se verrait de ce simple fait revalorisée.
http://zestedesavoir.com une association pour la beauté du zeste.
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Re: Ce que nos enfants n'apprennent plus au collège
Et puis avec une filière S réellement spécialisée, on aurait beaucoup moins de réussite au BAC car moins d'intérêt à le passer vu qu'il n'ouvrirait plus sur tout.
- artragis
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Re: Ce que nos enfants n'apprennent plus au collège
Heu s'il y a moins d'intérêt à le passer, ce n'est pas le taux de réussite qui en patit mais le taux de participation non?
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Re: Ce que nos enfants n'apprennent plus au collège
Si ce n'était que réac et non de surcroit parfaitement malhonnête...johanono a écrit :http://www.lefigaro.fr/actualite-france ... ollege.php
L'histoire française sacrifiée au profit des "civilisations extra-européennes" : manifestement, le politiquement correct et le communautarisme se portent bien...
Communiqué à propos de l’article du Figaro magazine et de ses suites 1 septembre 2012
Rédact-eurs/rice : Mickaël Bertrand, Laurence De Cock, Eric Fournier, Guillaume Mazeau, Christophe Naudin,
Le Figaro Magazine du 24 août 2012 contient un article signé de la plume de Jean Sévillia intitulé « Qui veut casser l’histoire de France ? ». Dans ce texte, le journaliste reprend toute une série de poncifs sur un prétendu « désastre » de l’enseignement de l’histoire de France qui aurait sacrifié la chronologie et abandonné les héros du roman national pour ne parler que « mondialisation, ouverture des frontières et droit à la différence ».
En tant qu’historien(nes) et/ou enseignant(es) d’histoire-géographie, nous avons décidé de réagir de différentes manières à ce qui nous apparaît comme une attaque récurrente et illégitime contre notre discipline et nos métiers. Ainsi ont été échangés par médias interposés plueiurs arguments constituant une première forme de débat.
A la suite de nos réponses respectives, nous avons été successivement contactés par un journaliste du Figaro Magazine nous invitant à un débat d’idées avec Jean Sévillia. Sans concertation, nous avons tous respectivement refusé cette éventualité pour les mêmes raisons :
1. Le débat devait être animé puis transcrit par un journaliste du Figaro Magazine, c’est-à-dire quelqu’un sous l’autorité hiérarchique d’un des discutants puisque Jean Sévillia est rédacteur en chef adjoint du magazine.
2. Le débat devait être organisé en urgence (sollicitation la veille pour le lendemain), dans les locaux du Figaro à Paris et sous la forme d’une confrontation orale.
Or, nous considérons qu’un tel sujet peut difficilement être limité à un échange d’idées hâtives alors que nous avons tous consacré plusieurs pages à défendre nos positions respectives.
Malgré les tentatives désespérées de notre interlocuteur essayant de nous convaincre qu’il ne s’agissait pas d’une « arnaque », ces conditions ne nous ont pas semblé satisfaisantes.
Soucieux néanmoins de ne pas refuser le débat d’idées, nous avons proposé l’organisation d’un dialogue écrit qui a systématiquement été repoussé par le journaliste.
Depuis, nous constatons que nos refus respectifs ont “fuité” de la rédaction du Figaro Magazine et sont utilisés dans une perspective calomnieuse sur plusieurs blogs d’inspiration d’extrême-droite.
Tous ces éléments ne font que confirmer notre refus assumé et argumenté de participer à ce que nous considérons comme faux-débat indigne du journalisme et de la controverse démocratique.
http://aggiornamento.hypotheses.org/907
Re: Ce que nos enfants n'apprennent plus au collège
Qu'il s'agisse de France ou de Belgique, il est un fait que nos adolescents ne brillent pas par leur vision historique !
Et que le peu qu'on leur enseigne n'est qu'un ramassis de petites connaissances souvent contestables, et en tout cas sottement militantes.
Du moment qu'ils retiennent que les peuples ont toujours été opprimés et que tout ce qu'à fait l'Occident était pervers, on ne s'embarrasse pas de détails ni de nuances :-)
Très apprécié aussi, des "cours de critique historique", permettant de ne rien apprendre du tout.
Et que le peu qu'on leur enseigne n'est qu'un ramassis de petites connaissances souvent contestables, et en tout cas sottement militantes.
Du moment qu'ils retiennent que les peuples ont toujours été opprimés et que tout ce qu'à fait l'Occident était pervers, on ne s'embarrasse pas de détails ni de nuances :-)
Très apprécié aussi, des "cours de critique historique", permettant de ne rien apprendre du tout.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
Re: Ce que nos enfants n'apprennent plus au collège
C'est sûr qu'enseigner nos ancêtres les gaulois aux Maghrébins ou fusiller à Sétif le 8 mai 1945 des milliers de manifestants c'est positif...mps a écrit :Qu'il s'agisse de France ou de Belgique, il est un fait que nos adolescents ne brillent pas par leur vision historique !
Et que le peu qu'on leur enseigne n'est qu'un ramassis de petites connaissances souvent contestables, et en tout cas sottement militantes.
Du moment qu'ils retiennent que les peuples ont toujours été opprimés et que tout ce qu'à fait l'Occident était pervers, on ne s'embarrasse pas de détails ni de nuances :-)
Très apprécié aussi, des "cours de critique historique", permettant de ne rien apprendre du tout.
Re: Ce que nos enfants n'apprennent plus au collège
Oui, je vois que tes connaissances en Histoire sont assez réduites ...
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
Re: Ce que nos enfants n'apprennent plus au collège
C'est plutôt bon signe pour lui.
Les Français vont instinctivement au pouvoir; ils n'aiment point la liberté; l'égalité seule est leur idole. Or l'égalité et le despotisme ont des liaisons secrètes. Chateaubriand
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