Golgoth a écrit :T'inquiète lambertini, on appellera la RATP ou tes potes du FN à l'aide...
Pour cette histoire de congés maladie, on peut trouver des tas de stats contradictoires. La plupart du temps on y inclut les congés maternité, avec un métier hyper féminisé évidemment ça monte le taux...
En tout cas le prof comme tête de turc, ça marche à tous les coups. C'est dommage d'enfoncer ainsi les gens qui ont l'avenir de vos gosses entre leur main et c'est surtout très contre productif. Faut pas s'étonner qu'il y ait autant d'échecs scolaires après ça
Encore une fois, entièrement d'accord avec toi.
Concernant la maladie, outre la féminisation, il y a une autre explication assez simple: un enseignant passe ses journées enfermés avec des enfants/ados/jeunes adultes dans des salles confinées, propices au partage de miasmes en tout genre. Les premières années sont donc très propices à toutes ces maladies bénignes, notamment hivernales. Parfois, les médecins arrêtent les ensignants non parce que leur état de santé est si mauvais, mais tout simplement pour éviter la propagation.
Et je ne parle même pas de tous ceux qui se retrouvent aphones... icon_mrgreen
Quant au fait de massacrer les profs à longueur de discours, nulle doute que la féminisation du métier, justement, joue ici un rôle certain...
"Oh, but you can't expect to wield supreme executive power just because some watery tart threw a sword at you." Dennis, Monty Python's Holy Grail