Des clients rapportent leurs verre au bar.....URSSAF réclame 9000 Euros d'amende

[mordred]

L'expérience, l'âge, apportent beaucoup. Vers 1986-1987, l'entreprise où je travaillais eut le droit à un contrôle fiscal. Les parasites de l'Etat réclamèrent l'équivalent de 60.000 €. Des histoires de bâtiment neuf et de comptabilité. Après longue bataille, ils eurent le droit à un chèque de 8000 €.
60.000 €; 8.000 €. On appelle cela du vol; mais également de la cupidité de la part de braves gens percevant un % du montant de ce vol.

[Jeff Van Planet]

passer derrière le bar, c'est expliqué dans l'article qui est fait à charge et à décharge, lui.

« Ils ont plaqué mon mari contre le mur et une femme m'a saisie par le bras, relate-t-elle. Ils m'ont dit de dégager d'ici, de foutre le camp et que j'allais couler. » "tu vas coulé" çà c'est très probable que les inspecteurs l'aient dit, çà leurs ressemble.

Qu'un concurrent ai fait une dénonciation anonyme, çà c'est possible, mais qui sait?

Edite:

je n'avais pas tourné la page et je n'avais pas vu la dernière réponse.

[merlin]

Ce qu'il faut retenir c'est que dans la plupart des articles, ce sont les gérants qui parlent ... et donc ce n'est forcément pas objectif.
Ce que j'en retiens c'est qu'une procédure au tribunal des affaires sociales est en route et qu'il n'y a pas de volet pénal.
Il y aura donc une procédure contradictoire. Espérons que les médias suivront celle ci et que nous bénéficierons de la vérité de chaque partie, ce qui est tout de même plus éclairant qu'un seul son de cloche.
Perso, pour les cotoyer souvent (dès que je trouve du travail dissimulé dans un dossier, j'en fait part à l'urssaf) cela m'étonnerait beaucoup que les conditions relatées à la va vite dans les différents articles soient le reflet de la réalité.
Je me trompe peut être, mais ... cela ne ressemble pas du tout à ce qui se passe dans la vraie vie ...

[Jeff Van Planet]

Moi personnellement, çà ne m'étonne pas, car la menace "tu vas couler" est, souvent, pour eux, une forme de pression. Une sorte de chantage.

Deuxième chose, ce que je retiens de l'article du monde, c'est que les agents de l'URSSAF ont eu la parole, et se sont contenté de dire "c'est pô vrai" suivit de l'argument "çà ne nous ressemble pas" ce qui fait penser à ces mecs bourrés, qui, au lendemain d'une fête bien arrosée, à l'écoute de leurs "exploits" prononcent honteusement: "çà ne me ressemble pas".

Pour conclure: comme je l'ai dit, l'article du monde est fait à charge et à décharge, mais les agents ne se sont pas défendu(ou plutôt très mal) il y à bien deux sons de cloches, et non un seul.

[mordred]

Les contrôleurs de l'URSSAF ou des Impôts n'accepteront jamais un café de votre part durant un contrôle. C'est rigolo ! Par contre, pomper l'argent du contribuable à travailler au ralenti, ça, il font.

[merlin]

Moi personnellement, çà ne m'étonne pas, car la menace "tu vas couler" est, souvent, pour eux, une forme de pression. Une sorte de chantage.

Deuxième chose, ce que je retiens de l'article du monde, c'est que les agents de l'URSSAF ont eu la parole, et se sont contenté de dire "c'est pô vrai" suivit de l'argument "çà ne nous ressemble pas" ce qui fait penser à ces mecs bourrés, qui, au lendemain d'une fête bien arrosée, à l'écoute de leurs "exploits" prononcent honteusement: "çà ne me ressemble pas".

Pour conclure: comme je l'ai dit, l'article du monde est fait à charge et à décharge, mais les agents ne se sont pas défendu(ou plutôt très mal) il y à bien deux sons de cloches, et non un seul.

les agents n'ont pas à se défendre. La procédure au Tribunal des affaires sociales, qui a priori est en route a dont été reçue par le juge du fond. Il n'ont donc rien à dire ... autrement que par la voie de leur conseil.

je m'interroge d'ailleurs sur le coté "médiatique" de la chose et le sérieux des articles. En effet, on ne sait pas grand chose de la procédure, on sait seulement que le pénal a été classé sans suite ce qui prend du temps ... quand ? (pour chaque évènement) ... et quels sont les éléments ayant conduit à ce contrôle. Il n'y a aucune explication sur cela. Ce que dit le journaliste n'a pas vocation à constituer un avis mais à informer. En l'espèce, il n'y a pas d'informations suffisamment crédibles pour permettre un avis. C'est la seule certitude de cette affaire vue du coté de la presse.

[Jeff Van Planet]

Juste sur le dernier paragraphe: l'article n'exprime aucune opinion, mais à donné la parole aux deux parties, le problème est qu'une des deux à refusé de s'exprimer. Mais ils ont eu l’opportunité de le faire, ils ne l'ont pas saisie.

Les journalistes du monde(1) ont très bien fait leurs travail, si quelqu'un ne profite pas de la parole donnée c'est peut être qu'il à commis une faute et refuse de l'admettre. Mais ne dites pas que l'article est partial, car il ne l'est pas.


(1)qui ne sont ni libé, ni le figaro, ni mariane qui sont au journalisme ce que la tournante est au romantisme.

[merlin]

Les journalistes du monde(1) ont très bien fait leurs travail, si quelqu'un ne profite pas de la parole donnée c'est peut être qu'il à commis une faute et refuse de l'admettre. Mais ne dites pas que l'article est partial, car il ne l'est pas.

Il n'y a aucun lien entre le silence et la culpabilité. Admettre le contraire est le début de la fin, de la justice ...

[Baltorupec]

Il est aussi possible que l'URSSAF ait ouvert une enquête interne avant de décider ou non de défendre bec et ongles leurs inspecteurs.

[Jeff Van Planet]

en tous les cas, le journaliste à fait son travail en leurs donnant la parole, ils ne n'ont pas saisi la perche. Après dire que le journaliste est partial relève de la mauvaise foi typique de l'extrémiste.

Ceci dit, pour ne pas prendre la parole offerte consciencieusement par le journaliste, ne fait en aucuns cas de l'article un article partial.

[Baltorupec]

Ils ne pouvaient pas forcément saisir la perche.
L'URSSAF ne sait pas au fond si les agents en questions ont bien fait ou pas leur travail, ils ne vont pas les défendre bêtement. Ils sont obligés de faire un communiqué de façade, mais je pense qu'il y a ou qu'il y aura une enquête interne.

[johanono]

Les agents des services publics sont tenus à un certain devoir de réserve, ils ne peuvent donc pas se permettre de répondre à n'importe quel journaleux qui fait un article polémique. Cette contrainte est assez nette pour la Justice, par exemple : des affaires sont médiatisées, les magistrats préfèrent travailler discrètement, mais tout ceci donne aux Français le sentiment que la Justice, soit ne va pas assez vite, ou alors fait du spectacle.

[Nico37]

en tous les cas, le journaliste à fait son travail en leurs donnant la parole, ils ne n'ont pas saisi la perche. Après dire que le journaliste est partial relève de la mauvaise foi typique de l'extrémiste.

Ceci dit, pour ne pas prendre la parole offerte consciencieusement par le journaliste, ne fait en aucuns cas de l'article un article partial.

non simplement un article partiel...

[Adeline]

Je ne sais que penser de cette histoire. Quel intérêts auraient ces gens à raconter des histoires, il s'attireraient des ennuies. En même temps, les absurdités de l'administration ne sont pas rares.