mps a écrit :
l'expérience démontre que plus on est riche et pourrit par l'argent, plus on veut d'argent, encore et toujours, alors plus on essaie de gruger le fisc, plus on pratique l'évasion fiscale ou la fraude fiscale par exemple, et donc plus le contrôle fiscal devient nécessaire
Complètement à côté de la plaque.
Quand on est riche à ce point, on se fout de ce qu'on paie, on ne veut pas de problèmes. On file le tout à une ficudiaire, et on signe le transfert.
C'est évidemment encore plus net Quand on est à la fin de sa vie, et qu'on a pour seule héritière une authentique crétine jalouse.
Pourquoi voudrais-tu qu'elle s'amuse à frauder quoi que ce soit ?
Si tu as 5.000 euros en poche, vas-tu truander la caissière en lui faisant passer une pièce de 20 cents pour une pièce de 50 ?
Alors, je ne sais pas d'où sort ton "expérience qui démontre", mais ce doit être d'une poubelle.
Rappelle toi le sujet sur le cout de la délinquance, Mps, car même si je conteste la signification de cette étude vue par l'oeil des journalistes (et surtout des journaux) la délinquance en col blanc, inclusion faite de la fraude fiscale, représente le plus gros poste ....
Un très riche fera toujours en sorte de payer le moins possible. Avec le fisc, c'est particulièrement flagrant et peu importe le risque de redressement, il est intégré. C'est aussi pour cela que des cabinets d'experts comptables travaillent exclusivement pour des personnes physiques.
Je suis cependant d'accord avec toi sur un élément : Quand on est riche à ce point, on ne se pose pas de questions car on a un cout annuel fixe présenté par la société de gestion, charge à elle de s'acquitter de sa mission et d'évaluer le risque fiscal et judiciaire. Ces risques sont intégrés également et finalement la surprise est souvent évitée et l'arrangement toujours possible. (voir Pinault et chirac, par exemple, seul cas récent à ma connaissance qui ait pu bénéficier d'un forfait pour sa succession évalué à la moitié de ce qu'il aurait du payer.)
bref, la fraude existe bien, les responsabilités sont délayées, mais elles existent néanmoins et en matière judiciaire, tout le monde participe au jeu, y compris les personnes physiques.