Les peines minimales y participeraient aussi.
En distinguant par exemple les crimes que la société considère comme trop graves
pour vouloir prendre le moindre risque de récidive à court, moyen, voire long terme.
Ou parce qu'ils transgressent une norme ou une valeur tellement centrales.
Que même sans risque de récidive il faut qu'il y ait sanction lourde pour maintenir la confiance
dans l'ordre public.
Pourtant la symétrie est assez évidente : la peine minimale empêche toute clémence en-deça d'un certain seuil.tandis que les peines minimales ôtent toute possibilité de clémence à l'appréciation du juge.
Il n'y a ni symétrie ni équivalence entre les deux, je pense que c'est simple à comprendre.
= la peine maximale empêche toute sévérité au-delà d'un certain seuil.