Un épisode seulement relaté par le Parisien, et curieusement passé sous silence par les media nationaux.Dans les cités de Grigny, les émeutiers attaquent la police au mortier
Les termes sont martiaux mais la réalité est là : à chaque émeute dans certains quartiers de l’Essonne, principalement à Grigny, les policiers essuient des tirs de mortier. Le dernier épisode en date remonte à lundi dernier dans le quartier de la Grande Borne. Une patrouille est visée par ces feux d’artifice projetés grâce à des tubes qui servent à orienter la trajectoire. Les fonctionnaires ne sont pas blessés et parviennent à voir d’où vient l’attaque. Deux jeunes du quartier sont interpellés et, en perquisition dans l’appartement, les policiers mettent la main sur… une vingtaine de boites d’explosifs ! L’un des jeunes a écopé d’un rappel à la loi, l’autre d’une convocation au tribunal.
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Ainsi des racailles, au nom d'une quelconque appartenance communautaire et d'une haine de tout ce qui représente l’État, la France, en viennent à commettre des actes de guerre contre tout ce qui représente, de près ou de loin, les pouvoirs publics français.
A y regarder de plus près, c'est la même logique qui animait les terroristes qui ont frappé la France ces derniers temps.
Les violences racailliques urbaines ne sont donc qu'une variante du terrorisme islamiste : la violence est de même nature, obéit aux mêmes motivations, seul son degré change.