Hector a écrit :johanono a écrit :On parle donc d'un gugusse qui était connu des services de renseignements, qui était identifié comme radicalisé, mais que les pouvoirs publics l'ont laissé dans la nature. Encore une fois. Toujours la même histoire...
Tu peux pas avoir un gouvernement de gauche et une quelconque efficacité en la matière !
Que faisait cette racaille en liberté ? C'est en effet l'éternelle question. Des gars comme celui-ci devraient être au bagne à se prendre des coups sur la tronche toute la journée par les gardiens.
Je me permets de te rappeler que la famille politique tu soutiens a exercé le pouvoir pendant 10 ans entre 2002 et 2012, et qu'elle n'a rien fait pour lutter contre une menace terroriste qui existait déjà. Au contraire, Sarkozy a supprimé la police de proximité et réduit les effectifs de la police... Tu ferais mieux de rester un peu plus humble au lieu d'attaquer la gauche. Les gens que tu soutiens n'ont aucune leçon à donner et sont coresponsables, avec la gauche, de la situation actuelle.
Le problème, c'est qu'au PS comme à l'UMP, ils sont prisonniers des mêmes carcans idéologiques : ils n'osent pas mettre en place la seule mesure qui s'impose (c'est-à-dire l'enfermement préventif des radicalisés), parce que ce serait politiquement incorrect et parce qu'ils ont peur des critiques que ne manqueraient pas de leur adresser les associations droits de l'hommistes.
Golgoth a écrit :Pour toutes formes de crime on attend le passage à l'acte. Sinon c'est Minority Report.
Certes, on ne peut pas condamner des gens qui n'ont pas commis d'infraction, juste sur la base d'un vague soupçon.
Mais là, on parle de mecs qui sont identifiés comme radicalisés, et dont on sait qu'ils représentent une menace, et dont on sait qu'ils sont susceptibles de tuer des centaines de personnes d'un seul coup s'ils passent à l'acte.
Comme disait Michel Onfray, les terroristes ont des Kalachnikov, et nous, nous avons des bougies. Le combat est inégal... Cette menace terroriste justifie donc que l'on remette en cause nos beaux principes démocratiques et droits de l'hommistes. Manifestement, une majorité de Français n'est pas favorable à cette remise en cause. Tant pis, il y aura d'autres attentats, il faut en accepter l'augure.