La justice est lente et il ne vous a pas échappé qu'il y a une crise sanitaire qui a d'autant plus ralenti le processus. Les violences présumées de 2018 commencent à être jugées, c'est le laps de temps habituel.Nolimits a écrit : ↑08 juin 2020, 16:34:10Pourquoi utilises-tu le terme "les premières condamnations commencent à tomber" ? La justice et la Police des Police n'ont pas attendu les manifs. d'avant-hier pour condamner les flics qui ne font pas leur travail. Il n'y a donc rien de nouveau. Si la Police des Police existe, ce n'est pas pour rien.Camille a écrit : ↑08 juin 2020, 16:23:34@signora
Personne ici effectivement ne conteste le monopole de la violence des forces de l'ordre. Ce qui leur est reproché et ce sur quoi l'IGPN doit pencher, c'est la proportionnalité de cette violence, qui n'est pas toujours justifiée. Et les premières condamnations de policiers pour des actes commis en 2018 commencent à tomber : exemple à Marseille, 2 ans ferme pour avoir roué de coups un adolescent.
Avec tout ce qui s'est passé à partir de novembre 2018, on risque de voir défiler ce genre d'articles.
La police des police existe dans tous les pays, c'est juste qu'en France, elle n'est pas indépendante.