Que ce passait il vraiment dans la maison de retraite à Bayo
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Bonjour,
Résidentes attachées à leur lit, médicaments périmés, conditions d'hygiène et de soins plus que déplorables... La directrice de la maison de retraite Les Colombes à Bayonne, dans les Pyrénées-Atlantiques, a été mise en examen ce mercredi. L'établissement a été fermé le même jour, sur ordre préfectoral.
La police, a conduit une perquisition lundi dans la maison de retraite Les Colombes hébergeant des pensionnaires âgés de 80 à 95 ans. Elle a découvert une situation de maltraitance, avec des conditions d'hygiène, de soins et de service assimilables à des «violences» commises sur «personnes vulnérables», a indiqué Anne Kayanakis, procureure de la République à Bayonne. Parmi les cas de maltraitance signalés, et qui doivent tous être «précisés par l'enquête en cours», les enquêteurs arrivés sur place à sept heures du matin ont observé que «deux résidentes étaient attachées à leur lit par des liens non encadrés par des prescriptions médicales».
Des aliments et certains médicaments «ayant dépassé la date limite» ont été trouvés sur les lieux, mais pour ce qui concerne l'alimentation le dépassement était de l'ordre d'un jour seulement, a indiqué Anne Kayanakis, précisant que l'enquête devait encore clarifier la situation des médicaments de ce point de vue.
Des cas de «bousculades et de manques de soins» ont été rapportés, «mais sans violences directes», a-t-elle ajouté, précisant que la mise en examen de la directrice de l'établissement avait été décidée pour «faits de violence n'ayant pas entrainé d'incapacité de travail (...) commis sur personnes vulnérables».
Le préfet des Pyrénées-Atlantiques a pris mercredi la décision de fermer l'établissement tandis que les services départementaux de la DDASS s'efforcaient de trouver un relogement pour ses quinze pensionnaires, a confirmé la procureure.
La petite maison de retraite, à statut privé, était visée par une enquête menée par le parquet, en liaison avec la police de Bayonne, après des dénonciations de maltraitance émanant d'une infirmière «extérieure à l'établissement», parvenues à la police le 22 septembre, a indiqué la procureure. Le délai entre ces dénonciations et la perquisition menée lundi est «très court pour ce type de procédure», compte tenu des vérifications et recoupements qui doivent être faits, a-t-elle souligné, précisant que l'opération avait été conduite par la brigade de sûreté urbaine et la police de Bayonne.
La maison de retraite Les Colombes, située à la périphérie de Bayonne, n'assurait officiellement que «l'hébergement» de ses pensionnaires, avec 4 employés et un gardien de nuit, a-t-on précisé. Les soins sont assurés par des médecins et assistants médicaux liberaux.
La directrice, âgée de 70 ans, qui encourt une peine de trois années de prison, a assuré qu'il lui arrivait de devoir «assurer toute seule la garde de nuit de l'établissement», a déclaré la procureure, soulignant que l'enquête en cours doit permettre de préciser de nombreux point qui restent obscurs dans cette affaire.
La DDASS «n'avait pas de mission de contrôle» sur cet établissement, avait indiqué de son côté la préfecture de Pau, précisant qu'il n'a pas le statut d'établissement destiné aux «personnes agées dépendantes» même si les pensionnaires de la maison de retraite Les Colombes se trouvent de fait dans un «degré de dépendance important».
La secrétaire d'Etat chargée des Aînés, Nora Berra, a fait part mercredi de son «indignation» après les «faits intolérables de maltraitance survenus» dans la maison de retraite de Bayonne, exigeant dans un communiqué que «toute la lumière soit faite sur cette affaire».
L'AD-PA (association des directeurs de maisons de retraite) a demandé mercredi la fermeture des unités qui «dysfonctionnent gravement» et l'accroissement du nombre moyen de professionnels en établissement et à domicile afin de lutter de manière «crédible» contre la maltraitance.
«Au-delà, une politique de lutte contre la maltraitance ne peut être crédible que si les pouvoirs publics se préoccupent réellement des conditions de vie au quotidien des personnes âgées les plus fragilisées», a ajouté l'association. «Cela suppose de mettre à leur disposition le nombre de professionnels suffisant en établissement comme à domicile où ont lieu 80% des maltraitances», a-t-elle ajouté.
Que pensez vous de tout cela ?
Résidentes attachées à leur lit, médicaments périmés, conditions d'hygiène et de soins plus que déplorables... La directrice de la maison de retraite Les Colombes à Bayonne, dans les Pyrénées-Atlantiques, a été mise en examen ce mercredi. L'établissement a été fermé le même jour, sur ordre préfectoral.
La police, a conduit une perquisition lundi dans la maison de retraite Les Colombes hébergeant des pensionnaires âgés de 80 à 95 ans. Elle a découvert une situation de maltraitance, avec des conditions d'hygiène, de soins et de service assimilables à des «violences» commises sur «personnes vulnérables», a indiqué Anne Kayanakis, procureure de la République à Bayonne. Parmi les cas de maltraitance signalés, et qui doivent tous être «précisés par l'enquête en cours», les enquêteurs arrivés sur place à sept heures du matin ont observé que «deux résidentes étaient attachées à leur lit par des liens non encadrés par des prescriptions médicales».
Des aliments et certains médicaments «ayant dépassé la date limite» ont été trouvés sur les lieux, mais pour ce qui concerne l'alimentation le dépassement était de l'ordre d'un jour seulement, a indiqué Anne Kayanakis, précisant que l'enquête devait encore clarifier la situation des médicaments de ce point de vue.
Des cas de «bousculades et de manques de soins» ont été rapportés, «mais sans violences directes», a-t-elle ajouté, précisant que la mise en examen de la directrice de l'établissement avait été décidée pour «faits de violence n'ayant pas entrainé d'incapacité de travail (...) commis sur personnes vulnérables».
Le préfet des Pyrénées-Atlantiques a pris mercredi la décision de fermer l'établissement tandis que les services départementaux de la DDASS s'efforcaient de trouver un relogement pour ses quinze pensionnaires, a confirmé la procureure.
La petite maison de retraite, à statut privé, était visée par une enquête menée par le parquet, en liaison avec la police de Bayonne, après des dénonciations de maltraitance émanant d'une infirmière «extérieure à l'établissement», parvenues à la police le 22 septembre, a indiqué la procureure. Le délai entre ces dénonciations et la perquisition menée lundi est «très court pour ce type de procédure», compte tenu des vérifications et recoupements qui doivent être faits, a-t-elle souligné, précisant que l'opération avait été conduite par la brigade de sûreté urbaine et la police de Bayonne.
La maison de retraite Les Colombes, située à la périphérie de Bayonne, n'assurait officiellement que «l'hébergement» de ses pensionnaires, avec 4 employés et un gardien de nuit, a-t-on précisé. Les soins sont assurés par des médecins et assistants médicaux liberaux.
La directrice, âgée de 70 ans, qui encourt une peine de trois années de prison, a assuré qu'il lui arrivait de devoir «assurer toute seule la garde de nuit de l'établissement», a déclaré la procureure, soulignant que l'enquête en cours doit permettre de préciser de nombreux point qui restent obscurs dans cette affaire.
La DDASS «n'avait pas de mission de contrôle» sur cet établissement, avait indiqué de son côté la préfecture de Pau, précisant qu'il n'a pas le statut d'établissement destiné aux «personnes agées dépendantes» même si les pensionnaires de la maison de retraite Les Colombes se trouvent de fait dans un «degré de dépendance important».
La secrétaire d'Etat chargée des Aînés, Nora Berra, a fait part mercredi de son «indignation» après les «faits intolérables de maltraitance survenus» dans la maison de retraite de Bayonne, exigeant dans un communiqué que «toute la lumière soit faite sur cette affaire».
L'AD-PA (association des directeurs de maisons de retraite) a demandé mercredi la fermeture des unités qui «dysfonctionnent gravement» et l'accroissement du nombre moyen de professionnels en établissement et à domicile afin de lutter de manière «crédible» contre la maltraitance.
«Au-delà, une politique de lutte contre la maltraitance ne peut être crédible que si les pouvoirs publics se préoccupent réellement des conditions de vie au quotidien des personnes âgées les plus fragilisées», a ajouté l'association. «Cela suppose de mettre à leur disposition le nombre de professionnels suffisant en établissement comme à domicile où ont lieu 80% des maltraitances», a-t-elle ajouté.
Que pensez vous de tout cela ?
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
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C'est bien joli de demander plus de personnel ... mais cela a un coût pour les hébergés.
N'oublions pas qu'il y a des places de homes pour environ 18 % des personnes très agées. Augmenter les coûts, c'est en chasser beaucoup, qui ne seront sans doute pas mieux chez elles.
Des aliments périmés de 24 heures, on en trouve partout, y compris dans mon réfrigérateur icon_confused
En outre, si ces personnes étaient si mal traitées, comment expliquer qu'aucune famille n'ait réagi ?
Dénonciation d'une extérieure (à quel titre et pour quelle raison ?), sur-communication vertueuse, tout cela n'est pas très sérieux.
N'oublions pas qu'il y a des places de homes pour environ 18 % des personnes très agées. Augmenter les coûts, c'est en chasser beaucoup, qui ne seront sans doute pas mieux chez elles.
Des aliments périmés de 24 heures, on en trouve partout, y compris dans mon réfrigérateur icon_confused
En outre, si ces personnes étaient si mal traitées, comment expliquer qu'aucune famille n'ait réagi ?
Dénonciation d'une extérieure (à quel titre et pour quelle raison ?), sur-communication vertueuse, tout cela n'est pas très sérieux.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
Les hébergés perçoivent une retraite et ils ont des enfants et des petits enfants qui sont soumis à l'obligation alimentaire. Sinon l'aide sociale versée par le département qui ne fait, personnellement, pas de pub pour ça, ce n'est pas très prestigieux...mps a écrit : C'est bien joli de demander plus de personnel ... mais cela a un coût pour les hébergés...
Encore, une fois de plus, vous évoquez une opinion sur un fait que vous ne comprenez pas... ce n'est pas grave en soi mais franchement quel intérêt de vous ridiculiser encore ??N'oublions pas qu'il y a des places de homes pour environ 18 % des personnes très agées. Augmenter les coûts, c'est en chasser beaucoup, qui ne seront sans doute pas mieux chez elles.
C'est justement là qu'est le malaise - Tout simplement parce que les familles ne viennent pas et surtout qu'elles ont souvent pas envie de perdre leurs temps à chercher d'autres solutions. Toute cete me.de arrange bien du monde !!En outre, si ces personnes étaient si mal traitées, comment expliquer qu'aucune famille n'ait réagi ?
Infimière libérale obligée (quand même) de dénoncer (par déontologie) mais annoynement parce que sinon elle risque de perdre la clientèle d'autres maisons de retraite... Ah ça la France n'est pas belle pour les personnes âgées dépendantes et les personnes handicapées...Dénonciation d'une extérieure (à quel titre et pour quelle raison ?), sur-communication vertueuse, tout cela n'est pas très sérieux.
- geekmature
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- keserasera
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Les retraites ? Elle sont loin de suffire à payer les frais de ces établissements surtout lorsqu'ils sont médicalisés ! Une retraite moyenne de 1.200 € pour des séjours qui se chiffrent à 3, voir 4.000 €/mois...mps a écrit :C'est bien joli de demander plus de personnel ... mais cela a un coût pour les hébergés.
Plus de personnel ? Mais dans les services de gérontologie des hôpitaux "publics", il y en a du personnel, et ce n'est pas piur ça que les hébergés y sont mieux traités...
N'oublions pas qu'il y a des places de homes pour environ 18 % des personnes très agées. Augmenter les coûts, c'est en chasser beaucoup, qui ne seront sans doute pas mieux chez elles.
Des aliments périmés de 24 heures, on en trouve partout, y compris dans mon réfrigérateur icon_confused
En outre, si ces personnes étaient si mal traitées, comment expliquer qu'aucune famille n'ait réagi ?
Parcequ'en général les familles (si elles existent encore!) se déchargent totalement sur l'établissement auquel elles ont confié leurs "vieux". Elles paient assez cher pour ça !
Dénonciation d'une extérieure (à quel titre et pour quelle raison ?), sur-communication vertueuse, tout cela n'est pas très sérieux.
"je me suis souvent demandé et me le demande souvent encore, ce qui peut bien différencier une mauvaise bronchite d'une bonne" Pierre Dac
La retraite pour beaucoup, c'est le minimum vieillesse, soit depuis les dernières augmentations : 680 € par mois environ... Qu'est ce qu'on fait avec ça ?? Rien, on crève... La maison de retraite c'est souvent la solution pour éviter la rue ou l'hôpital si on est dépendant, sachant qu'il y a tout de même l'APA, l'aide sociale et l'obligation alimentaire (enfants, même ceux par alliance et petits enfants).
Par contre, là ou il y a souci, c'est le nombre de places : beaucoup de personnes âgées dépendantes attendent une place dans une EHPAD dans un lit d'hôpital - sachant qu'un lit de médecine générale coûte environ 1230 € par jour (HCL)... Même si une EHPAD coute chère, le prix est quand même inférieur ( Pour Rhône-Alpes : entre 1800 et 2800 euros, pour l'ïle de France : entre 2500 et 3500 euros... par mois)
Personnellement, je soutiens le maintien à domicile qui est possible quand la personne a gardé une certaine autonomie, cela permet surtout aux personnes "jeunes" (75/85 ans) de laisser la place aux plus âgées (85/95 ans voire 100, 105 ans !!) pour qui la MR médicalisée est indispensable !
Par contre, là ou il y a souci, c'est le nombre de places : beaucoup de personnes âgées dépendantes attendent une place dans une EHPAD dans un lit d'hôpital - sachant qu'un lit de médecine générale coûte environ 1230 € par jour (HCL)... Même si une EHPAD coute chère, le prix est quand même inférieur ( Pour Rhône-Alpes : entre 1800 et 2800 euros, pour l'ïle de France : entre 2500 et 3500 euros... par mois)
Personnellement, je soutiens le maintien à domicile qui est possible quand la personne a gardé une certaine autonomie, cela permet surtout aux personnes "jeunes" (75/85 ans) de laisser la place aux plus âgées (85/95 ans voire 100, 105 ans !!) pour qui la MR médicalisée est indispensable !
Sur le plan strictement économique, le maintien à domicile est souvent la meilleure solution.
Sur le plan humain, c'est moins net, et dépend du caractère de la personne :
- les uns ne supportent pas d'être déracinés ;
- mais d'autres crèvent de solitude, et se sentent mieux en société dans un home.
Le coût de ces homes, par ailleurs, pose problème. Est-ce dû des règlementations outrancières ?
Il me semble qu'entre le pauvre vieux laissé tout seul chez lui, et la calle à plusieurs milliers d'euros par mois, il doit y avoir des possibilité correctes mais pous simples.
En Belgique se développent des hébergements chez l'habitant, un peu à l'instar des gardiennes privées pour bébés. Deux ou trois pensionnaires, une vie de famille, ce n'est pas très cher et convient parfaitement aux gens qui ne sont pas gâteux et ne nécessitent pas de soins lourds.
Sur le plan humain, c'est moins net, et dépend du caractère de la personne :
- les uns ne supportent pas d'être déracinés ;
- mais d'autres crèvent de solitude, et se sentent mieux en société dans un home.
Le coût de ces homes, par ailleurs, pose problème. Est-ce dû des règlementations outrancières ?
Il me semble qu'entre le pauvre vieux laissé tout seul chez lui, et la calle à plusieurs milliers d'euros par mois, il doit y avoir des possibilité correctes mais pous simples.
En Belgique se développent des hébergements chez l'habitant, un peu à l'instar des gardiennes privées pour bébés. Deux ou trois pensionnaires, une vie de famille, ce n'est pas très cher et convient parfaitement aux gens qui ne sont pas gâteux et ne nécessitent pas de soins lourds.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
Des personnes âgées, j'en connais des centaines à commencer par mes deux belles-mères ( 85 et 89 ans ). leurs désirs profonds (comme beaucoup de personnes âgées), c'est de rester chez elle, tant que c'est possible : le depart pour la maison de retraite est souvent vécu comme le premier pas vers la tombe et si vous y réfléchissez profondément, vous verrez que c'est compréhensible.
Notre société doit revoir en profondeur la Prise en Charge des PAD, si ce n'est déjà pour préserver l'avenir de chacun, puisque nous espérons tous vivre le plus longtemps possible dans les meilleurs conditions possibles.
Notre société doit revoir en profondeur la Prise en Charge des PAD, si ce n'est déjà pour préserver l'avenir de chacun, puisque nous espérons tous vivre le plus longtemps possible dans les meilleurs conditions possibles.
Je comprends d'autant mieux tes deux aieules que je préfèrerais crever que d'atterrir das un home.
Mais j'ai aussi vu des personnes agées transformées (favorablement) par la vie dans un home où un tas d'activités de groupe leur étaient proposées. Question de caractère.
Il faut aussi être bien conscient que le placement des personnes agées est surtout, bien souvent, dû au refus des enfants de s'embarrasser de parents devenus "inut!les"
En Belgique, j'ai initié un système genre "halte garderie", peu onéreux, où les familles qui gardent leurs parents peuvent les déposer le matin et les reprendre le soir. Soins, distractions, activités, repas principaux ne sont donc pas à leur charge, mais ces personnes agées gardent de fortes attaches familiales. Gand succès auprès des bénéficiaires, mais moins d'enthousiasme des organisateurs, qui trouvent ce secteur trop peu juteux icon_evil
Mais j'ai aussi vu des personnes agées transformées (favorablement) par la vie dans un home où un tas d'activités de groupe leur étaient proposées. Question de caractère.
Il faut aussi être bien conscient que le placement des personnes agées est surtout, bien souvent, dû au refus des enfants de s'embarrasser de parents devenus "inut!les"
En Belgique, j'ai initié un système genre "halte garderie", peu onéreux, où les familles qui gardent leurs parents peuvent les déposer le matin et les reprendre le soir. Soins, distractions, activités, repas principaux ne sont donc pas à leur charge, mais ces personnes agées gardent de fortes attaches familiales. Gand succès auprès des bénéficiaires, mais moins d'enthousiasme des organisateurs, qui trouvent ce secteur trop peu juteux icon_evil
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
Il est clair que le maintient à domicile est une bonne solution, dans certaines villes des étudiants ayant peu de moyens sont logés avec une personne àgée en échange de service, pourquoi ne pas développé ce systéme.
Avec le nombre croissant de personne agées dans les années à venir, et le nombre décroissant de places libres en maison de retraite il y a de quoi se faire du soucis.
Avec le nombre croissant de personne agées dans les années à venir, et le nombre décroissant de places libres en maison de retraite il y a de quoi se faire du soucis.
Surtout pas ! Il faut, dans le cas d'une semi-dépendance (mais autorisant un maintien à domicile) que le suivi soit assuré par des professionnels.Lou a écrit :Il est clair que le maintient à domicile est une bonne solution, dans certaines villes des étudiants ayant peu de moyens sont logés avec une personne àgée en échange de service, pourquoi ne pas développé ce systéme.
Je n'ai rien contre les étudiants qui peuvent rendre de petits services mais, en aucun cas, ils ne peuvent gérer le quotidien d'une personne âgée...
Il y a des travailleuses professionnelles qui, de par leurs statuts reconnus, permettront à la personne âgée de bénéficier de l'APA... Halte à l'amateurisme, porte ouverte vers les abus !!!
Encore une réaction "syndicale" ! Une personne agée a besoin de soins (il y a des infi!rmières visiteuses pour cela), d'une kiné ou d'un médecin passant régulièrement, éventuellement de repas livrés tout prets, et autres services mabulants qui occupent au maximum une heure par jour.
Les étudiants ne doivent évidemment pas remplacer ces services, mais combler la solitude des personnes agées par leur simple va et vient, et présence le soir.
Les étudiants ne doivent évidemment pas remplacer ces services, mais combler la solitude des personnes agées par leur simple va et vient, et présence le soir.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
il est évident qu'un étudiant ne peut pas être medecin, infirmiers podologue et coiffeur, mais il est présent et le plus important la nuit il est sur place en cas de probléme.
je n'ais jamais dit qu'il doivent remplacer tout ces services, mais il peuvent par leur présence aider à effectué quelques tâches que la personne agées ne peut faire seul.
concernant la réaction syndicale si elle est pour moi je ne vois pas ce qu'elle vient faire dans ce sujet qui concerne l'aide aux personnes agées, alors pour une fois soyons constructif................. icon_lol
je n'ais jamais dit qu'il doivent remplacer tout ces services, mais il peuvent par leur présence aider à effectué quelques tâches que la personne agées ne peut faire seul.
concernant la réaction syndicale si elle est pour moi je ne vois pas ce qu'elle vient faire dans ce sujet qui concerne l'aide aux personnes agées, alors pour une fois soyons constructif................. icon_lol
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