Festival de BD d'Angoulême. Il y aura finalement des femmes nominées !
L'absence de femmes parmi les nominés pour le Grand Prix du festival de BD d'Angoulême avait suscité un tollé. En conséquence, les organisateurs vont y ajouter des auteures.
Le FIBD a été accusé de sexisme car aucune femme n'a été retenue parmi les 30 auteurs en lice pour le Grand Prix du Festival. En conséquence, un appel au boycott du Festival avait été lancé par un collectif d'auteures.
Plusieurs hommes sélectionnés pour le Grand Prix - Riad Sattouf, Joann Sfar, Etienne Davodeau mais aussi les Américains Daniel Clowes et Charles Burns- ont demandé que leur nom soit retiré de la liste par solidarité.
« Le Festival va, sans enlever aucun autre nom, introduire de nouveau des noms d'auteures dans la liste des sélectionnés au titre du Grand Prix 2016 », a indiqué le Festival international de la bande dessinée (FIBD) d'Angoulême dans un communiqué.
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Délires féministes : suite et pas fin
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Cette fois-ci, les féministes s'en sont prises à un festival de bande dessinée, et elles ont obtenu gain de cause :
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Ah je te jure René ! Au concours miss France y'a que des gonzesses
et on n'en fait pas tout un plat nous au moins . C'est vrai quoi !
et on n'en fait pas tout un plat nous au moins . C'est vrai quoi !
Et pendant ce temps là le permafrost décongèle .
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Ah...ça effectivement, on est à la limite de la grande cause nationale : pas de nénette aux nominations du festival de BD...pfouhhhh...
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Nouvelle polémique à deux balles :
Marisol Touraine et Caroline de Haas ont l'indignation sélective. J'aurais préféré les entendre dénoncer des actes autrement plus graves, par exemple les agressions de Cologne...Marisol Touraine juge "sexiste" et "inacceptable" cette question à un examen blanc de médecine
SEXISME - Marisol Touraine est revenue lundi 11 avril sur la polémique née ce weekend autour d'une question posée à des étudiants de médecine de la capitale aux cours d'un examen blanc.
"La question se voulait humoristique? C'est raté. Et sexiste. Donc inacceptable", a estimé la ministre des Affaires sociales et de la Santé sur Twitter en réaction à l'étape 37 des ECNi (épreuves classantes nationales informatisées) blancs que passaient des sixièmes années de trois universités parisiennes vendredi 8 avril.
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- artragis
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
Le sophisme qui voudrait qu'on ne peut pas s'indigner d'une chose car il en existe de plus grave me soule.
La polémique est réelle, on voit très bien que cette réponse à deux balle est là pour piéger les élèves qui cocheraient 100% de réponse D mais elle est tellement en décalage avec la concentration que demande ce genre d'examen que je comprends que ça choque. C'est pas tant car sexiste (un homme qui aurait subi le même traitement et envers lequel on aurait proposé la même réponse l'aurait rendu aussi choquante à mon goût) mais car paternaliste et infantilisante.
La polémique est réelle, on voit très bien que cette réponse à deux balle est là pour piéger les élèves qui cocheraient 100% de réponse D mais elle est tellement en décalage avec la concentration que demande ce genre d'examen que je comprends que ça choque. C'est pas tant car sexiste (un homme qui aurait subi le même traitement et envers lequel on aurait proposé la même réponse l'aurait rendu aussi choquante à mon goût) mais car paternaliste et infantilisante.
http://zestedesavoir.com une association pour la beauté du zeste.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Le problème, c'est qu'en polémiquant sur des sujets sans intérêts, ces pseudo-féministes discréditent la cause qu'elles prétendent défendre, car elle font croire à l'opinion publique que le combat féministe se réduit à ces sujets secondaires, alors même qu'il y a des problèmes beaucoup plus graves. Le vrai combat féministe, aujourd'hui, devrait consister à défendre la cause des femmes dans les banlieues. Mais ça implique de dénoncer l'immigration de masse, au risque de passer pour islamophobe, et elles n'osent pas.
- artragis
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
pourquoi uniquement dans les banlieues?Le vrai combat féministe, aujourd'hui, devrait consister à défendre la cause des femmes dans les banlieues.
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
Parce que c'est surtout là que la condition féminine est la plus précaire aujourd'hui.artragis » Mar 12 Avr 2016 - 21:22 a écrit :pourquoi uniquement dans les banlieues?Le vrai combat féministe, aujourd'hui, devrait consister à défendre la cause des femmes dans les banlieues.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Nouveau délire féministe :
Une pétition dénonce l’absence d’auteures au programme du bac de littérature
Une enseignante a lancé sur change.org une pétition intitulée «Pour donner leur place aux femmes dans les programmes de littérature du bac L». Près de 2000 signatures ont pour l’heure été récoltées.
«Le nouvel auteur au programme de littérature en terminale L est André Gide, avec son roman Les faux monnayeurs. C’est un beau livre, écrit par un auteur important qui mérite d’être étudié. Ce n’est pas lui, le problème.» Ainsi débute le texte de la pétition lancée il y a trois semaines par Françoise Cahen, enseignante au lycée Maximilien-Perret d’Alfortville (Val-de-Marne).
Son but? Dénoncer l’absence d’ouvrages écrits par des femmes au programme officiel du baccalauréat en terminale littéraire. Oubliées, Marguerite Duras, Marguerite Yourcenar, George Sand, Simone de Beauvoir et leurs conseurs... «Nous ne demandons pas la parité entre artistes hommes et femmes. Nous aimerions que les grandes écrivaines soient aussi régulièrement un objet d’étude pour nos élèves», souligne l’enseignante.
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- fan2machiavel
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
Il y a 2 autres endroits où c'est très compliqué c'est au contact des instance dirigeantes et (là où cela peut sembler paradoxale) les milieux où les femmes sont majoritairesjohanono » Dim 15 Mai 2016 - 08:33 a écrit :Parce que c'est surtout là que la condition féminine est la plus précaire aujourd'hui.artragis » Mar 12 Avr 2016 - 21:22 a écrit :pourquoi uniquement dans les banlieues?Le vrai combat féministe, aujourd'hui, devrait consister à défendre la cause des femmes dans les banlieues.
Près des instance dirigeantes (politique, économiques ou même culturelles), il y a une forte concentration d'homme que le pouvoir à rendu misogyne et la nécessité pour les femmes de paraître forte les empêchent de porter plainte, elles n'ont généralement aucune porte de sortie où plutôt (encore pire) elles voient les portes de sortie mais n'arrivent pas à y accéder.
Dans les milieux où les femmes sont majoritaires ce sont les femmes entre elles qui s'empoisonnent la vie. Je pense qu'une des raisons de la dominations des hommes c'est que là où les hommes entre eux s'entraident, les femmes se mettent des bâtons dans les pattes. Ainsi certaines peuvent être victimes d'un véritable lynchage parce qu'elles sont des femmes... par d'autres femmes. Et là même les féministes s'en foutent (donc isolement maximum)...
Au bout du compte là où elles sont le mieux traitées c'est dans la classe moyenne
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Qu'est-ce qui te permet de dire que les femmes entre elles sont plus belliqueuses que les hommes entre eux? Tu as fait une étude à ce sujet?fan2machiavel » 15 Mai 2016, 14:03:10 a écrit : Dans les milieux où les femmes sont majoritaires ce sont les femmes entre elles qui s'empoisonnent la vie. Je pense qu'une des raisons de la dominations des hommes c'est que là où les hommes entre eux s'entraident, les femmes se mettent des bâtons dans les pattes. Ainsi certaines peuvent être victimes d'un véritable lynchage parce qu'elles sont des femmes... par d'autres femmes.
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
Le fait est que la solidarité entre femmes dans le travail, je n'ai encore jamais vu cela nulle part. Entre hommes, parcontre...
- Jeff Van Planet
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
Je ne veux pas rentrer dans les clichés mais on constate plutôt facilement que les femmes ont une tendance à être "vipères" entre elles.
Le grand problème de notre système démocratique c'est qu'il permet de faire démocratiquement des choses non démocratiques.
J.Saramago
J.Saramago
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Etant obligée de fréquenter des milieux à 95% masculins, je constate la même chose pour les hommes, tout dépend du degré de concurrence!!Nombrilist » 21 Mai 2016, 22:26:55 a écrit :Le fait est que la solidarité entre femmes dans le travail, je n'ai encore jamais vu cela nulle part. Entre hommes, parcontre...
Re: Délires féministes : suite et pas fin
La tyrannie du politiquement correct a encore frappé.Sexisme: Kevin Roberts démissionne de Publicis
Publicis a annoncé mercredi la démission de Kevin Roberts, membre du directoire du géant de la publicité et président de l'agence Saatchi and Saatchi. Cette démission prendra effet au 1er septembre.
Kevin Roberts était empêtré depuis vendredi dans une polémique pour des propos sexistes. Dans une interview accordée au site américain Business Insider, il expliquait que la question de l'égalité homme-femme dans le monde de la publicité était "dépassée", et que les femmes de son agence ne souhaitaient de toute façon pas devenir dirigeantes. «Leur ambition n'est pas de grimper en haut de l'échelle pour obtenir pouvoir, richesse et célébrité, mais d'être heureuses», expliquait-il. «Je ne m'inquiète donc pas du manque de femmes chez les cadres dirigeants [chez Saatchi&Saatchi] car elles sont très heureuses [à leurs postes actuels], ont beaucoup de succès et font un excellent travail.»
Ces propos ont outré nombre de personnalités, dont le président de PepsiCo, qui s'est déclaré "fier" de ne pas être client de Saatchi & Saatchi. Publicis avait de son côté rapidement réagi en décidant samedi de la mise à pied immédiate de Kevin Roberts. Ce dernier devait prendre sa retraite en mai 2017.
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Au demeurant, j'aimerais bien savoir si la féministe Elisabeth Badinter est, ou non, intervenue, pour exiger le départ du mec.
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