C'est un reste de la culture judéo chrétienne en France.Camille a écrit : ↑28 avr. 2022, 16:15:21Les Allemands ont un rapport très très décomplexé vis-à-vis du corps et de la nudité, surtout dans l'ex-RDA. C'est pour ça que même Angela Merkel avait été photographiée nue durant sa jeunesse.
Pas la même culture effectivement, les Français sont plutôt conservateurs, voire coincés.

Délires féministes : suite et pas fin
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Re: Délires féministes : suite et pas fin
La GameBoy était-elle discriminatoire ?
La GameBoy a 33 ans, mais au fait pourquoi ne l'a-t-on pas appelée « GameGirl » ?
DECRYPTAGE// La GameBoy a désormais l'âge du Christ avant sa mort. A-t-elle autant marqué la civilisation que lui ? Pas certain. En revanche, comme lui, elle est devenue un symbole mondial de masculinité, oubliant au passage que plus de la moitié des joueurs étaient des joueuses. Retour sur une success story que Nintendo a essayé d'accorder au masculin.
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
"La GameBoy a 33 ans, mais au fait pourquoi ne l'a-t-on pas appelée « GameGirl » ?"
Faudra poser la question aux Japonais. Cela dit, je me rappelle qu'enfant, je m'étais posé la question.
Faudra poser la question aux Japonais. Cela dit, je me rappelle qu'enfant, je m'étais posé la question.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
GameGenderFluidNombrilist a écrit : ↑16 mai 2022, 21:30:44"La GameBoy a 33 ans, mais au fait pourquoi ne l'a-t-on pas appelée « GameGirl » ?"
Faudra poser la question aux Japonais. Cela dit, je me rappelle qu'enfant, je m'étais posé la question.

T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI. 

Re: Délires féministes : suite et pas fin
Je ne vois pas pourquoi cet article fait partie du registre "Délires féministes". C'est une question qu'on peut tous se poser pour peu qu'on s'intéresse au marketing. Nintendo, qui pensait que le jeu vidéo était un truc de garçons, s'était tout simplement planté, et cela peut aussi se comprendre par une société japonaise qui, elle, est effectivement discriminatoire.
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
Surtout il y a 30 ans.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Il paraît aussi que le nom de la marque Sony vient de "Sunny boy".
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Comme le dit l'article, en français, le genre féminin pour désigner la GameBoy s'est imposé, cela a permis de rétablir un certain équilibre.
Mais je crois que ça vaut pour toutes les consoles.

Re: Délires féministes : suite et pas fin
ICILyon : Avec ses pistes cyclables non genrées, la métropole a-t-elle déraillé ?
A une internaute qui lui rappelait qu’une ville cyclable devait prendre en compte la parité de ses usagers, Fabien Bagnon acquiesça. En ajoutant : « C’est d’ailleurs la communauté de femmes à vélo Beyondmybike qui participe aux réunions techniques avec les équipes des Voies lyonnaises pour concevoir des pistes non genrées et donc inclusives. »


Re: Délires féministes : suite et pas fin
Je n'avais imaginé que les pistes cyclables puissent être sexistes. Ces gens-là ont une imagination vraiment débordante.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Je me suis demandé : c'est quoi une piste "non genrée" ?Nolimits a écrit : ↑21 juin 2022, 08:55:48ICILyon : Avec ses pistes cyclables non genrées, la métropole a-t-elle déraillé ?
A une internaute qui lui rappelait qu’une ville cyclable devait prendre en compte la parité de ses usagers, Fabien Bagnon acquiesça. En ajoutant : « C’est d’ailleurs la communauté de femmes à vélo Beyondmybike qui participe aux réunions techniques avec les équipes des Voies lyonnaises pour concevoir des pistes non genrées et donc inclusives. »
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Et il suffisait de lire l'article en fait.
- 1- « c’est la possibilité d’avoir des pistes cyclables suffisamment larges et sécurisées pour permettre à des personnes en fauteuil roulant de se déplacer avec leurs vélos adaptés. Ou des familles de se sentir libre de circuler avec leurs enfants »
- 2- « identifier ce qui peut freiner son utilisation par un genre ». « Est-ce un problème d’éclairage nocturne ? Est-ce que la piste est monopolisée pour des usages sportifs principalement masculins ? »
Mais voilà, l'élu a un peu tendu la perche, c'est-à-dire qu'il a utilisé un terme encore un peu polémique de nos jours pour que tous les bas-de-plafond viennent crier au scandale et/ou le ridiculiser.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Donc on parle de pistes cyclables plus pratiques, plus accessibles, plus larges et mieux éclairées, pour inciter davantage de monde à les emprunter.
N'est-ce pas plus simple de s'exprimer comme ça, au lieu de vouloir inventer des concepts vaseux et vouloir distinguer les usagers ?
N'est-ce pas plus simple de s'exprimer comme ça, au lieu de vouloir inventer des concepts vaseux et vouloir distinguer les usagers ?

Re: Délires féministes : suite et pas fin
En ce qui me concerne, je l'avais lu. Mais qui est est ridicule ? Un élu est-il là pour ça ? Qui parle de pistes cyclables "genrées" "inclusives" ? Les mots ont un sens. Si un élu utilise n'importe quel mot pour dire n'importe quoi , est-il digne de son poste ?Yakiv a écrit : ↑22 juin 2022, 09:23:43Je me suis demandé : c'est quoi une piste "non genrée" ?Nolimits a écrit : ↑21 juin 2022, 08:55:48ICILyon : Avec ses pistes cyclables non genrées, la métropole a-t-elle déraillé ?
A une internaute qui lui rappelait qu’une ville cyclable devait prendre en compte la parité de ses usagers, Fabien Bagnon acquiesça. En ajoutant : « C’est d’ailleurs la communauté de femmes à vélo Beyondmybike qui participe aux réunions techniques avec les équipes des Voies lyonnaises pour concevoir des pistes non genrées et donc inclusives. »
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Et il suffisait de lire l'article en fait.
- 1- « c’est la possibilité d’avoir des pistes cyclables suffisamment larges et sécurisées pour permettre à des personnes en fauteuil roulant de se déplacer avec leurs vélos adaptés. Ou des familles de se sentir libre de circuler avec leurs enfants »
Finalement, on se rend compte que c'est une excellente réflexion sur ces pistes cyclables.
- 2- « identifier ce qui peut freiner son utilisation par un genre ». « Est-ce un problème d’éclairage nocturne ? Est-ce que la piste est monopolisée pour des usages sportifs principalement masculins ? »
Mais voilà, l'élu a un peu tendu la perche, c'est-à-dire qu'il a utilisé un terme encore un peu polémique de nos jours pour que tous les bas-de-plafond viennent crier au scandale et/ou le ridiculiser.
C'est quoi des "usages sportifs principalement masculins" ? Ce ne serait pas un cliché sexiste ça dès fois ? (les noirs, ils courent vite aussi !)
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Il y a des publics prioritaires visés sur ces questions.johanono a écrit : ↑22 juin 2022, 09:31:36Donc on parle d'une piste plus pratique, plus accessible, plus large et mieux éclairée, pour inciter davantage de monde à l'emprunter.
N'est-ce pas plus simple de s'exprimer comme ça, au lieu de vouloir inventer des concepts vaseux et vouloir distinguer les usagers ?![]()
Quand on éclaire mieux un endroit pour éviter les agressions, on suppose que ça profitera plus aux femmes qu'aux hommes. Quand on les élargit, ça autorisera un nouveau public a y accéder : handicapés, familles.
Alors oui, l'élu fait une erreur "politique" en utilisant ce terme.
Mais l'idée de cette réflexion d' "inclusivité", c'est de se poser les questions sous cet angle :
- qui ne profite pas de cet espace ?
- pourquoi ils ne profitent pas de cet espace ?
- qu'est-ce qu'on peut faire pour que ces gens profitent de cet espace à l'avenir ?
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