Délires féministes : suite et pas fin

Vous avez un coup de g..... à passer sur notre société, ou tout simplement un coup de coeur venez le dire ici
Avatar du membre
Nombrilist
Messages : 63371
Enregistré le : 08 févr. 2010, 00:00:00

Re: Délires féministes : suite et pas fin

Message non lu par Nombrilist » 28 juil. 2019, 16:44:06

Tout à fait d'accord avec @Logos dans l'analogie avec les deux phases de l'antiracisme. Je me faisais exactement la même réflexion il n'y a pas si longtemps.

Avatar du membre
Yakiv
Messages : 16592
Enregistré le : 09 avr. 2016, 18:10:15

Re: Délires féministes : suite et pas fin

Message non lu par Yakiv » 29 juil. 2019, 19:19:16

Logos a écrit :
28 juil. 2019, 12:16:21
Personnellement je n'ai pas dit que la République était menacée par les féministes. En revanche l'influence des féministes dégradent les relations hommes / femmes je pense. En poussant certaines femmes à voir de la "domination" quand c'est pas du viol dans de plus en plus de choses. Y compris quand ça n'est pas vraiment fondé (mainspreading, grammaire, manuels éducatifs...). Et à créer des législations injustes fondées sur la discrimination positive (quotas etc.)

C'est un peu le même problème que dans l'antiracisme. Après une première vague légitime, on a droit à une seconde vague qui va chercher du racisme dans tout et n'importe quoi. Notamment dans tout ce qui est culturel (anticoloniaux etc). Qui incite une catégorie de la population à se sentir victime 24/24 et structurellement oppressée par la société majoritaire et l'Etat ("antiracisme d'Etat"). Et qui finit d'ailleurs par dissocier son sort de celui du reste du pays ("On s'en fout de la France et de la Marseillaise vu qu'on est oppressé" etc)

Quand à l'agressivité des féministes, elle n'est pas vraiment physique, sauf à la limite les femen. En revanche elle est réelle dans les discours, dans les représentations qu'elles véhiculent. Personnellement je me sens insulté à chaque fois qu'on sort une polémique stupide sensée démontrer la "domination masculine". A chaque fois qu'on instaure un nouveau "quota". A chaque fois qu'on m'accuse d'être un "privilégié" au seul motif qu'on ne me siffle pas dans la rue. A chaque fois qu'on veut me "rééduquer" car 10 ou 15% des hommes ont des comportements agressifs avec les femmes.
Le problème, c'est que si le moindre débat qui est ouvert au sujet du féminisme est pour toi assimilable à une insulte, tu vas vite nous conduire à la même chose que vous reprochez pourtant aux féministes, des débats sclérosés, une impossibilité de parler et d'échanger à propos de certains sujets, bref ce que certains appellent "la pensée unique".

En outre, même si le mainspreading, la grammaire, l'éducation, ne sont pas des sciences dures pour expliquer certains comportements vis-à-vis des femmes, on est dans la sociologie, donc dans les sciences humaines, je pense que l'influence de ces pratiques et traditions sont des thèses plutôt recevables, même si elles ne sont pas en l'état actuel démontrées par a + b.

Avatar du membre
Logos
Messages : 1132
Enregistré le : 08 déc. 2015, 22:40:59

Re: Délires féministes : suite et pas fin

Message non lu par Logos » 29 juil. 2019, 21:51:11

Yakiv a écrit :
29 juil. 2019, 19:19:16
Le problème, c'est que si le moindre débat qui est ouvert au sujet du féminisme est pour toi assimilable à une insulte, tu vas vite nous conduire à la même chose que vous reprochez pourtant aux féministes, des débats sclérosés, une impossibilité de parler et d'échanger à propos de certains sujets, bref ce que certains appellent "la pensée unique".

En outre, même si le mainspreading, la grammaire, l'éducation, ne sont pas des sciences dures pour expliquer certains comportements vis-à-vis des femmes, on est dans la sociologie, donc dans les sciences humaines, je pense que l'influence de ces pratiques et traditions sont des thèses plutôt recevables, même si elles ne sont pas en l'état actuel démontrées par a + b.
Ce n'est pas le débat au sujet du féminisme qui est insultant. Ce sont les discours et raisonnements de certaines féministes.
Qui te catégorisent par principe comme "privilégié / dominant", du seul fait que tu sois un homme.

En général, elles refusent également tout débat avec toi, car encore une fois tu es un homme. Et donc soupçonné de vouloir briser leur combat pour maintenir ton statut de dominant. Les seuls débats autorisés étant internes aux mouvements, souvent entre femmes, par peur qu'un homme influence ou restreigne la parole (le fameux "manterrupting"). Au mieux tu peux être un "allié" prié de reprendre sans discuter leurs discours et de ne pas trop l'ouvrir (je plains les hommes membres de ces mouvements..). Elles ne lancent pas des débats mais des campagnes.

Encore une fois on est dans l'approche des "mouvements de libération" des minorités, avec l'emprunt au marxisme, aux "studies" américaines. L'idée que ce sont les dominés oppressés qui doivent se libérer eux-mêmes, sans chercher à convaincre le reste de la société. Et la recherche permanente d'éléments de domination dans le culturel et le symbolique. Quitte à sortir des arguments tirés par les cheveux.

Avatar du membre
Baltorupec
Messages : 13912
Enregistré le : 13 juil. 2011, 00:00:00

Re: Délires féministes : suite et pas fin

Message non lu par Baltorupec » 30 juil. 2019, 11:32:26

Yakiv a écrit :
29 juil. 2019, 19:19:16
En outre, même si le mainspreading, la grammaire, l'éducation, ne sont pas des sciences dures pour expliquer certains comportements vis-à-vis des femmes, on est dans la sociologie, donc dans les sciences humaines, je pense que l'influence de ces pratiques et traditions sont des thèses plutôt recevables, même si elles ne sont pas en l'état actuel démontrées par a + b.
J'ai déjà argumenté pourquoi les "sciences" sociales aujourd'hui étaient complètement à la ramasse en amont de ce sujet, et ça se sait depuis les années 90.
“Tout ce que tu peux régler pacifiquement, n’essaie pas de le régler par une guerre ou un procès.” Jules Mazarin

Avatar du membre
johanono
Messages : 37511
Enregistré le : 14 août 2010, 00:00:00

Re: Délires féministes : suite et pas fin

Message non lu par johanono » 30 juil. 2019, 12:54:32

Yakiv a écrit :Concernant les filles, si la question est de savoir si les hôtesses sont humiliées, la réponse est non. Les hôtesses en elles-mêmes ne courent aucun danger. Il s'agit plutôt d'un symbole culturel, donc rien d'urgent, rien de dramatique en soi, mais c'est quelque chose qui a sans doute plus d'influence sur notre état d'esprit que ce qu'on peut imaginer à priori.
Je suis toujours assez surpris de voir des toutes petites filles, y compris dans ma famille, demander à leurs parents si elles pourraient et pourront faire ça ou ça (jamais les garçons) alors qu'elles ne vivent ni dans une famille machiste, ni dans un pays qui réglemente une inégalité des droits selon le sexe. Alors pourquoi se posent-elles malgré tout ces questions ? Eh bien j'ai l'impression que les hôtesses sont ce genre de petit détail qui font que. Tradition instaurée à une époque où les femmes étaient reléguées à l'état de sous-hommes, qui perdure encore l'air de rien aujourd'hui avec l'appui d'arguments basés sur la tradition et sur le fait que les féministes sont des dictateurs et puis parce qu'il n'y a rien de grave après tout, mais qui amène des filles à se demander pourquoi il n'y a toujours que des filles pour assurer ce type de rôle.
Pour comprendre l'influence de certains codes (comme "le masculin l'emporte sur le féminin") sur l'état d'esprit d'une société, il faut peut-être se mettre à la place de petites filles de 5-6-7 ans, on comprend alors beaucoup de choses.
Si on te comprend bien, cette histoire d'hôtesses, de même que l'usage du masculin dans la langue française, constitueraient des symboles de la société patriarcale, de la domination masculine, et de la culture du viol. Tu vas un peu loin, là.

Autant j'ai envie de baffer la racaille de banlieue, pépite de la diversité, chance pour la France, qui ne peut s'empêcher de siffler la moindre femme croisée dans la rue, autant j'ai du mal à comprendre ce que peuvent bien symboliser cette histoire d'hôtesses ou l'usage du masculin dans la langue française.

Avatar du membre
Nolimits
Messages : 12439
Enregistré le : 29 avr. 2015, 12:39:32

Re: Délires féministes : suite et pas fin

Message non lu par Nolimits » 30 juil. 2019, 13:08:32

Évoquer le sexisme (ou le racisme) de nos pépites : bon courage !

Avatar du membre
Yakiv
Messages : 16592
Enregistré le : 09 avr. 2016, 18:10:15

Re: Délires féministes : suite et pas fin

Message non lu par Yakiv » 31 juil. 2019, 20:00:20

Baltorupec a écrit :
28 juil. 2019, 12:20:06
J'accorde de l'importance à ce qu'elle ne chute pas brutalement. Si elle diminue un peu, cela ne pose pas de problème, et l'Allemagne n'est pas un pays en surpopulation. Quand il y a un aussi violent déséquilibre entre jeunes et vieux cela pose problème (dans tous les sens, une population extrêmement jeune est un bon indicateur de risque de guerre).
D'accord.
Cela dit, je suis allé voir ce que ça donnait au niveau des chiffres et force et de constater que les pays les plus féministes sont loin de présenter les plus mauvais taux de fécondité.
naissances-la-france-championne-d-europe-de-la-fecondite.jpg
naissances-la-france-championne-d-europe-de-la-fecondite.jpg (53.2 Kio) Vu 3810 fois
Baltorupec a écrit :
28 juil. 2019, 12:20:06
Ce qui ne change pas qu'il y a une explosion des atteintes à la personne et du taux de criminalité, tendance qui semble se poursuivre pour l'atteinte aux personnes. On n'est pas à la rue, mais on est clairement pas "bon". Il ne faut pas attendre de se retrouver au niveau du Mexique pour réagir.
Je trouve que le taux d'homicide est un bon indicateur, parce que les homicides sont toujours déclarés. Je crois que les taux déclarés d'atteinte aux personnes est plus sensible selon les époques et donc selon la propension des gens à déclarer une agression. En tout cas, je n'ai pas constaté de chiffres faisant état d'une "explosion" de la violence. Je me trompe peut-être, mais j'ai l'impression que c'est un sujet qui te tient à cœur et que tu en parles comme un Marseillais du coup.
Baltorupec a écrit :
28 juil. 2019, 12:20:06
Je suis pour la légalisation du cannabis.
En ce qui concerne la prostitution, je suis très partagé.. Je suis radicalement contre sur le plan personnel mais je doute que l'interdiction est la meilleure chose à faire. Malheureusement trop de personnes confondent le bien et le moral, là où je fais clairement une importante distinction.
Il y a un véritable débat de fond sur ces sujets. Parce qu'en plus de la question entre la part d'acquis ou d'innée, il y a en plus cette question là :
A quel point peut on décider à la place des autres ce qui est bon pour eux ?

Cela me donne donc l'impression qu'un certains nombre de féministes considèrent qu'elles ont un droit de regard sur l'usage du corps des femmes par d'autres femmes.

On peut établir deux préjudices potentiels pour les grid girls :
_ Le premier c'est le harcèlement sexuel dont elles pourraient être victime. Mais-est ce un réel argument ? Des aides soignantes ou des serveuses peuvent avoir ce problème ce qui ne justifie pas l'interdiction de leur métier.
_ Le second est que leurs métiers contribueraient à donner une mauvaise image des femmes, et que cela porterait préjudice à l'ensemble des femmes. Hors cette assertion n'est en rien démontrée, contrairement aux effets négatifs de la prostitution ou de la consommation de drogue. Et encore, je ne suis pas sûr que la drogue devrait être interdite.

Une nouvelle fois, je connais assez peu de cas de personnes comme les féministes qui souhaitent imposer à ce point leur moral à l'ensemble sociétal, mis à part les communistes et les religieux.
Je crois au contraire que tu peux élargir à tous les non libéraux-libertaires.
Car ce type de questions peut se poser pour quasiment tous les sujets et n'est en rien spécifique au féminisme.
Sur des sujets liés à l'environnement, à la santé publique ou aux animaux, tout n'est pas forcément prouvé par a+b tout de suite, et pourtant on essaie ou on demande d'appliquer un principe de précaution. C'est le cas de tous ceux qui demandent l'interdiction du glyphosate par exemple. Bref, ce sont des choix de société.

Et encore, ces comparaisons ne sont même pas très bien choisies parce qu'à propos des sujets féministes que nous sommes précisément en train d'aborder, il n'a jamais été question d'interdiction, mais de réflexion.

Avatar du membre
Yakiv
Messages : 16592
Enregistré le : 09 avr. 2016, 18:10:15

Re: Délires féministes : suite et pas fin

Message non lu par Yakiv » 31 juil. 2019, 20:09:58

Logos a écrit :
29 juil. 2019, 21:51:11
Ce n'est pas le débat au sujet du féminisme qui est insultant. Ce sont les discours et raisonnements de certaines féministes.
Qui te catégorisent par principe comme "privilégié / dominant", du seul fait que tu sois un homme.

En général, elles refusent également tout débat avec toi, car encore une fois tu es un homme. Et donc soupçonné de vouloir briser leur combat pour maintenir ton statut de dominant. Les seuls débats autorisés étant internes aux mouvements, souvent entre femmes, par peur qu'un homme influence ou restreigne la parole (le fameux "manterrupting"). Au mieux tu peux être un "allié" prié de reprendre sans discuter leurs discours et de ne pas trop l'ouvrir (je plains les hommes membres de ces mouvements..). Elles ne lancent pas des débats mais des campagnes.

Encore une fois on est dans l'approche des "mouvements de libération" des minorités, avec l'emprunt au marxisme, aux "studies" américaines. L'idée que ce sont les dominés oppressés qui doivent se libérer eux-mêmes, sans chercher à convaincre le reste de la société. Et la recherche permanente d'éléments de domination dans le culturel et le symbolique. Quitte à sortir des arguments tirés par les cheveux.
Tu es en train de choisir une catégorie de féministes, la plus extrême, ce qu'on appelle les misandres, pour en faire une généralité.
Au sein des féministes, il se passe la même chose qu'au sein de tous les autres groupes du monde. Il y a des modérés, des extrémistes, les entre-deux, etc. Là, je pense que tu es en train de nous présenter les misandres, des femmes qui ont la haine des hommes, qui les détestent et qui voudraient vivre sans les hommes. Mais toutes les féministes ne sont pas misandres. Et ce n'est pas parce qu'on se pose de sérieuses questions sur l'impact que peuvent avoir sur le place des femmes dans notre société : des règles de grammaire où "le masculin l'emporte toujours sur le féminin", ou des filles sur les podiums / à côté de voitures de courses, ou dans des clips de rap en train de caresser l'épaule d'un gangster, qu'on devient forcément misandre, il faut aussi faire la part des choses.

Avatar du membre
Yakiv
Messages : 16592
Enregistré le : 09 avr. 2016, 18:10:15

Re: Délires féministes : suite et pas fin

Message non lu par Yakiv » 31 juil. 2019, 20:36:10

johanono a écrit :
30 juil. 2019, 12:54:32
Si on te comprend bien, cette histoire d'hôtesses, de même que l'usage du masculin dans la langue française, constitueraient des symboles de la société patriarcale, de la domination masculine, et de la culture du viol. Tu vas un peu loin, là.

Autant j'ai envie de baffer la racaille de banlieue, pépite de la diversité, chance pour la France, qui ne peut s'empêcher de siffler la moindre femme croisée dans la rue, autant j'ai du mal à comprendre ce que peuvent bien symboliser cette histoire d'hôtesses ou l'usage du masculin dans la langue française.
Pourtant, c'est pas très compliqué.
Il faut te dire que lorsqu'une fille demandait il y a 20 ou 30 ans si elle pouvait jouer au foot, on lui répondait "non ma fille, par contre tu pourrais faire grid grils (ou pom pom girls aux USA)".
Aujourd'hui, force est de constater que les possibilités pour les filles sont beaucoup plus grandes qu'il y a 20 ou 30 ans, et pour que les choses évoluent, je pense qu'elles doivent nécessairement évoluer en haut et en bas (pour reprendre un peu l'image des "premiers de cordée"). Autrement dit, il faut à la fois que de plus en plus de femmes fassent des choses extraordinaires et occupent des postes extraordinaires (au même titre que les hommes) et que de moins en moins de femmes soient spécifiquement assujetties à des rôles de bonniches. Et c'est seulement à cette condition que les femmes auront les mêmes possibilités que les hommes (ce qui nous renvoie progressivement vers un débat sur libertés réelles vs libertés formelles).

Avatar du membre
Nolimits
Messages : 12439
Enregistré le : 29 avr. 2015, 12:39:32

Re: Délires féministes : suite et pas fin

Message non lu par Nolimits » 29 août 2019, 20:47:14

Ain : une collectivité ayant trop de femmes à sa direction reçoit une amende
Avec trop de femmes à la tête de sa collectivité, la communauté d'agglomération du bassin de Bourg-en-Bresse devra s'acquitter d'une amende de 90.000 euros.

Le socialiste Jean-François Debat a en effet reçu un courrier de la préfecture de l'Ain lui indiquant que la communauté d'agglomération du bassin de Bourg-en-Bresse devra s'acquitter d'une amende de 90.000 euros. La raison ? Avoir trop de femmes dans son équipe de direction. Sur les cinq dernières nominations sur les postes de direction de cette nouvelle collectivité créée en 2017 et qui regroupe 74 communes, quatre femmes ont été nommées pour un seul homme.

Depuis 2013, la loi Sauvadet impose la parité dans les nominations de l'encadrement de la fonction publique. Et depuis 2017, il faut respecter la proportion de 60/40 d'hommes-femmes. Cette proportion est valable dans les deux sens. Il ne faut donc pas embaucher plus de 60% de femmes à des postes d'encadrement.
E1 - ICI
Voilà où mène ce genre de loi débiles ! :zinzin:
Ca se trouve, toutes ces nénettes sont hyper-compétentes, mais non : pas possible ! La compétence n'est qu'un critère secondaire.

Hector

Re: Délires féministes : suite et pas fin

Message non lu par Hector » 29 août 2019, 21:13:48

Je réfléchis à monter une action de groupe dans la boite où je bosse. Il n'y a plus que les gonzesses qui ont des promotions, et cela devient lourd. Et cela contribuera à faire fuire les bons jeunes vers des cieux où ils pourront réussir.

Avatar du membre
Nolimits
Messages : 12439
Enregistré le : 29 avr. 2015, 12:39:32

Re: Délires féministes : suite et pas fin

Message non lu par Nolimits » 29 août 2019, 21:44:18

Je te confirme que les ambiances "s'alourdissent" dans les boîtes. A tel point qu'il devient difficile de dire/reprocher quelque chose à une femme. Une crainte s'installe chez les patrons/managers.
Vécu (TPE) sur embauche "je veux pas de femmes : je veux pas d'emm***""...

Avatar du membre
Yakiv
Messages : 16592
Enregistré le : 09 avr. 2016, 18:10:15

Re: Délires féministes : suite et pas fin

Message non lu par Yakiv » 30 août 2019, 00:18:40

Nolimits a écrit :
29 août 2019, 21:44:18
Je te confirme que les ambiances "s'alourdissent" dans les boîtes. A tel point qu'il devient difficile de dire/reprocher quelque chose à une femme. Une crainte s'installe chez les patrons/managers.
Vécu (TPE) sur embauche "je veux pas de femmes : je veux pas d'emm***""...
Ça en l'occurrence, c'est de la discrimination.

Avatar du membre
Nolimits
Messages : 12439
Enregistré le : 29 avr. 2015, 12:39:32

Re: Délires féministes : suite et pas fin

Message non lu par Nolimits » 30 août 2019, 07:36:37

Yakiv a écrit :
Nolimits a écrit :
29 août 2019, 21:44:18
Je te confirme que les ambiances "s'alourdissent" dans les boîtes. A tel point qu'il devient difficile de dire/reprocher quelque chose à une femme. Une crainte s'installe chez les patrons/managers.
Vécu (TPE) sur embauche "je veux pas de femmes : je veux pas d'emm***""...
Ça en l'occurrence, c'est de la discrimination.
Tu ne crois quand même pas que les employeurs ne disent pas ce qu'ils veulent et ce qu'ils ne veulent pas ? "pas d'arabes","pas de femmes" (ça, c'est plutôt nouveau), c'est courant. Nous ne sommes pas dans le monde merveilleux. (Il faut simplement que ce soit "off").

Avatar du membre
Nombrilist
Messages : 63371
Enregistré le : 08 févr. 2010, 00:00:00

Re: Délires féministes : suite et pas fin

Message non lu par Nombrilist » 30 août 2019, 08:40:05

Nolimits a écrit :
29 août 2019, 20:47:14
Ain : une collectivité ayant trop de femmes à sa direction reçoit une amende
Avec trop de femmes à la tête de sa collectivité, la communauté d'agglomération du bassin de Bourg-en-Bresse devra s'acquitter d'une amende de 90.000 euros.

Le socialiste Jean-François Debat a en effet reçu un courrier de la préfecture de l'Ain lui indiquant que la communauté d'agglomération du bassin de Bourg-en-Bresse devra s'acquitter d'une amende de 90.000 euros. La raison ? Avoir trop de femmes dans son équipe de direction. Sur les cinq dernières nominations sur les postes de direction de cette nouvelle collectivité créée en 2017 et qui regroupe 74 communes, quatre femmes ont été nommées pour un seul homme.

Depuis 2013, la loi Sauvadet impose la parité dans les nominations de l'encadrement de la fonction publique. Et depuis 2017, il faut respecter la proportion de 60/40 d'hommes-femmes. Cette proportion est valable dans les deux sens. Il ne faut donc pas embaucher plus de 60% de femmes à des postes d'encadrement.
E1 - ICI
Voilà où mène ce genre de loi débiles ! :zinzin:
Ca se trouve, toutes ces nénettes sont hyper-compétentes, mais non : pas possible ! La compétence n'est qu'un critère secondaire.
En tout cas, je suis content que cette loi soit valable dans les deux sens.

Répondre

Retourner vers « Votre coup de "gueule" / coup de coeur »

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré