Cette femme Yazidie de 34 ans, rescapée de Daesh, raconte ses sévices lorsqu'elle était aux mains d’un combattant Saoudien de l’État islamique en Syrie. Elle se souvient que dans son malheur, elle était mieux lotie que la deuxième esclave de la maison, une jeune fille douze ans violée tous les jours malgré des saignements à répétition. « Il a détruit son corps. Elle était infectée. Le combattant me demandait souvent : "pourquoi sent elle si mauvais ?" Je lui disais qu’elle avait une infection à l’intérieur, et qu’il devait en prendre soin », confie-elle au New York Times qui consacre un long papier à la « théologie du viol » par l’État islamique. Le combattant, ignorant cette agonie continuait de la violer, poursuit-elle. Il priait avant et après l’avoir fait. « Je lui disais "c’est juste une petite fille". Il répondait : "non, ce n’est pas une petite fille, c’est une esclave. Et elle sait très bien comment avoir des rapports sexuels." » Assurant que « ces rapports sexuels satisfont Dieu ».
Tout simplement immonde !