Cette gauche qui milite contre la police

[Baltorupec]

Je pense aussi que nous ne portons pas assez plainte. moi et 2 autres dames, nous sommes fait traiter par un homme au visage noir, de : "sales blanches qui allaient toutes vous faire enc°l°° et d'ailleurs ça avait commencé "...
ceci dans un ascenseur du métro lyonnais ... grande station ... Tous ces gens qui dénoncent le racisme ne le voit que dans un sens et ça consolide la colère et la haine ...

A mon sens, il est nécessaire à minima de déposer une main courante face à ce genre d'énergumènes.

[Nombrilist]

Je pense aussi que nous ne portons pas assez plainte. moi et 2 autres dames, nous sommes fait traiter par un homme au visage noir, de : "sales blanches qui allaient toutes vous faire enc°l°° et d'ailleurs ça avait commencé "...
ceci dans un ascenseur du métro lyonnais ... grande station ... Tous ces gens qui dénoncent le racisme ne le voit que dans un sens et ça consolide la colère et la haine ...

A mon sens, il est nécessaire à minima de déposer une main courante face à ce genre d'énergumènes.

Un flic m'avait envoyé chier le jour où j'ai voulu le faire. Je n'ai jamais recommencé.

[signora]

@Baltorupec @Nolimits
Ce qui m'a le plus secouée, au delà des mots, c'est le ton et le regard haineux de cet homme. J ai aussi été surprise par la peur des autres dames ... qui n'ont pas voulu discuter se sont sauvées en disant surtout il faut se taire ... j'ai essayé de partir derrière lui il a vite sauté dans une rame inverse ... courageux en plus !
Ce n'était pas en banlieue ... le monsieur en question était très bien vêtu ... J'étais pressée mais je regrette de ne pas être allée au commissariat signaler le Mr à casquette à carreaux ...
J'ai la sale manie d'intervenir, trop. Dans le métro une jeune d'origine maghrébine s'était fait plaqué un peu durement sur le mur par des contrôleurs de métro, je me suis approchée et leur ai demandé si c'était pas beaucoup pour un billet de métro ? Ils ont appelé la police. le jeune s'est jeté au sol ...
Avec stupeur je l'ai entendu expliquer "ils m'ont jeté parterre, ils m'ont latté... " je suis partie ... depuis je suis prudente ...
Mais dans le premier cas, oui, j'aurais dû porter plainte ! Il faut signaler ces faits pour éviter que cette partie de la population française se victimise.

[johanono]

Je suis d'accord avec @johanono . Anecdote qui n'a évidemment aucune valeur universelle, mais qui illustre assez bien la situation (à mon simple avis) : ça c'est passé devant mon bureau. Une "pépite" en scooter, sans casque, en sens interdit. Dommage, 2 motards passaient par là. J'entendais les flics le vouvoyer tandis que le gamin leur crachait dessus en leur disant qu'ils n'avaient pas le droit, que c'était "abusé etc...etc...3/4h (vous imaginez avec le vrai accent et le ton...). Bilan : une camionnette complète de flic est intervenue, ils étaient donc 6 flics pour un gamin en scooter sans casque et en sens interdit pendant 3/4h. Voilà voilà voilà...
Ou alors, il s'agissait peut-être des 6 flics gentils de France...

En pareille circonstance, des flics américains auraient peut-être buté le gugusse, sans autre forme de procès. Les flics français gardent leur calme et parlementent pendant près d'une heure.

Moi, je suis admiratif des flics français sans cesse confrontés aux provocations, peu soutenus par leur hiérarchie, et qui pourtant résistent à tout ça.

[Nombrilist]

Un flic criminel multirécidiviste ne pourrait pas continuer à être dans la rue sans le soutien inconditionnel de sa hiérarchie.

[signora]

Un flic criminel multirécidiviste ne pourrait pas continuer à être dans la rue sans le soutien inconditionnel de sa hiérarchie.

Tu penses que nous avons ça en France ?

[Nombrilist]

Un flic criminel multirécidiviste ne pourrait pas continuer à être dans la rue sans le soutien inconditionnel de sa hiérarchie.

Tu penses que nous avons ça en France ?

J'avoue que je ne sais pas si nous avons des flics multirédicivistes, mais des tueurs couverts par leur hiérarchie et toujours dans les rues, certainement. Dernier exemple en date: Cédric Chouviat. Plusieurs policiers ne pouvaient-ils pas neutraliser cette personne, au comportement certes rebelle, mais non armée sans la tuer par étranglement ? Jusqu'à présent, ces policiers sont toujours dans les rues.

[Nolimits]

Suite à nos échanges, j'ai trouvé ceci qui éclaire un peu sur le sujet :

L'injure, la diffamation, la provocation à la haine raciale, l'incitation à commettre un crime ou un délit sont des infractions pénales. Mais la loi ne les considère pas de la même façon si elles ont été proférées en public ou en privé. Ainsi, si l'infraction a été commise publiquement (dans les médias ou sur les réseaux sociaux par exemple), l'auteur encourt une peine de prison.
À l'inverse, s'il s'agit d'un cadre privé, "l'échelle de gravité se réduit considérablement", explique l'avocat et blogueur anonyme Maître Eolas. Dans ce cas, l'auteur de l'infraction risque une contravention d'un montant maximal de 1 500 euros. 
Une question se pose : un groupe WhatsApp incluant un certain nombre de participants pourrait-il être considéré comme public, au risque d'alourdir les peines encourues ? "La cour de cassation ne prend pas en compte le critère du nombre, mais celui de la communauté d'intérêt", répond Maître Eolas. "Si les participants sont des collègues, des partisans d'un même club de foot, les membres d'une famille, on considère que c'est privé. Cela devient public si n'importe qui peut tomber dessus."

Je relève : si les participants sont des collègues, c'est privé, peu importe le nombre.

[politicien]

«Les violences policières en France n'existent pas», selon Christian Jacob . Le président des Républicains (LR) apporte son «soutien aux forces de sécurité».

[Nombrilist]

«Les violences policières en France n'existent pas», selon Christian Jacob . Le président des Républicains (LR) apporte son «soutien aux forces de sécurité».

Comme quoi on peut trouver nettement plus edit modo que Mélenchon
Modo : tttttttttt...ttttt...ne contourne pas les modérations automatiques en remplaçant le C par un K, escroc ! Grrr....

[Baltorupec]

«Les violences policières en France n'existent pas», selon Christian Jacob . Le président des Républicains (LR) apporte son «soutien aux forces de sécurité».

C'est ridicule, autant je ne soutiens pas la gauche qui essaie de pousser par tout les moyens la haine du flic et de mener à la guerre civile, autant nier que certains flics abusent de leur pouvoir ne fera pas avancer la situation.

La situation avec la Police n'est plus tenable. On ne peut pas attendre de la police qu'elle se prenne des frigos sur le coin de la tronche continuellement (eux, les pompiers, les ambulances) et qu'elle se suicide aux taux où elle le fait.

[signora]

J'ai entendu Christian Jacob, il m'a semblé qu'il parlait "violences policières" au sens "violences organisées systématiques" pas au sens "violences individuelles accidentelles ou volontaires" qui bien sur doivent être punies.
Cela ne m'a pas choquée il l'a dit en soutien aux forces de l'ordre qui ne manières générales depuis quelques temps en prennent plein la figure.
C'est comme la proposition de flouter obligatoirement les visages de policiers, mis en ligne sur les réseaux sociaux, je trouve l'idée bonne.

[Snark]

Une proposition de loi d’Eric Ciotti pour empêcher la diffusion d’images de policiers suscite un tollé

Ce texte va dans le sens des demandes de plusieurs syndicats.
Et alarme les défenseurs de la liberté d’informer.

https://www.lemonde.fr/societe/article/ ... _3224.html

La police aurait besoin de nous cacher des choses ?
Pourtant Christian Jacob nous a bien affirmé qu'il n'y a pas de violences policières .

Pourvu que cette interdiction ne s'étende pas au 13h de Jean Pierre Pernault .

[Nico37]

@Nombrilist
1/ les groupes privés peuvent largement dépasser les 2 personnes
2/ je suis d'accord avec toi. A 8000, la notion de groupe "privé" est-elle encore légitime ?
3/ je ne vois pas forcément le lien avec le métier quand on tient des propos condamnables si tant est, encore une fois, que ce soit des propos visibles publiquement.

Pour ma part, tout tient à cette notion d'échanges "privés". En privé, on dit ce qu'on veut. En public : on assume ce que l'on dit.

Mais cette notion de groupe privé n'a aucun existence juridique : sur un autre réseau social, ça pourrait s'appeler groupe sur abonnement ou autre. Juridiquement c'est irréfragablement de l'injure publique.

Suite à nos échanges, j'ai trouvé ceci qui éclaire un peu sur le sujet :

L'injure, la diffamation, la provocation à la haine raciale, l'incitation à commettre un crime ou un délit sont des infractions pénales. Mais la loi ne les considère pas de la même façon si elles ont été proférées en public ou en privé. Ainsi, si l'infraction a été commise publiquement (dans les médias ou sur les réseaux sociaux par exemple), l'auteur encourt une peine de prison.
À l'inverse, s'il s'agit d'un cadre privé, "l'échelle de gravité se réduit considérablement", explique l'avocat et blogueur anonyme Maître Eolas. Dans ce cas, l'auteur de l'infraction risque une contravention d'un montant maximal de 1 500 euros. 
Une question se pose : un groupe WhatsApp incluant un certain nombre de participants pourrait-il être considéré comme public, au risque d'alourdir les peines encourues ? "La cour de cassation ne prend pas en compte le critère du nombre, mais celui de la communauté d'intérêt", répond Maître Eolas. "Si les participants sont des collègues, des partisans d'un même club de foot, les membres d'une famille, on considère que c'est privé. Cela devient public si n'importe qui peut tomber dessus."

Je relève : si les participants sont des collègues, c'est privé, peu importe le nombre.

C'est privé si l'insulte s'adresse à d'autres membres de la même communauté d'intérêt : un policier traite un gendarme antillais de *************** si les deux sont inscrits sur le même espace informatique, c'est privé, si la victime n'est pas dans ce même espace informatique au moment des faits c'est public (cela devient public dès que c'est fait dans ton dos, dès que tu ne peux y avoir accès et que c'est donc un tiers (quelque soit sa qualité) qui va te l'apprendre).

[signora]

Une proposition de loi d’Eric Ciotti pour empêcher la diffusion d’images de policiers suscite un tollé

Ce texte va dans le sens des demandes de plusieurs syndicats.
Et alarme les défenseurs de la liberté d’informer.

https://www.lemonde.fr/societe/article/ ... _3224.html

La police aurait besoin de nous cacher des choses ?
Pourtant Christian Jacob nous a bien affirmé qu'il n'y a pas de violences policières .

Pourvu que cette interdiction ne s'étende pas au 13h de Jean Pierre Pernault .

Empêcher que des images tournent en boucle sur les réseaux sociaux.... et empêcher qu'elles soient porter à la connaissance des juges ce n'est pas pareil. La police ne peut être le seul corps de métiers à être soumis à cette tension permanente. Les bonnes âmes refusent les caméras de surveillance sous prétexte de liberté. Et, on voudrait que la police soit filmée en permanence.
Les policiers ont un lieu de vie, des enfants ... il faut aussi penser à leur propre liberté et qualité de vie.
Regarde bien dans les manifestations le nombre de crétins qui ne font que les pousser à la faute.