Le lynchage antiblanc de Bollène dont personne ne parle

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El Fredo
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Message non lu par El Fredo » 13 mars 2011, 21:01:00

johanono a écrit :La mixité sociale est une utopie régulièrement agitée par les esprits bien-pensants.
Non, la mixité sociale est non seulement une réalité mais qui fonctionne très bien dans de nombreux endroits, dont là où j'habite. Et là où elle échouerait c'est justement là ou elle est absente. Il faut arrêter de raconter n'importe quoi à coup de slogans à la mode.
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Nombrilist
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Message non lu par Nombrilist » 13 mars 2011, 21:15:00

Ce qu'on veut dire El Fredo, c'est que là où elle est absente (banlieue parisienne par exemple), la réintroduire me semble impossible. En tout cas, je ne vois pas comment.

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Golgoth
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Message non lu par Golgoth » 13 mars 2011, 21:30:00

En tout cas à court terme icon_mrgreen Car c'est une question d'aménagement du territoire aussi.
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI. :mrgreen2:

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El Fredo
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Message non lu par El Fredo » 13 mars 2011, 21:48:00

Nombrilist a écrit :Ce qu'on veut dire El Fredo, c'est que là où elle est absente (banlieue parisienne par exemple), la réintroduire me semble impossible. En tout cas, je ne vois pas comment.
Là-dessus je suis d'accord. Mais qu'on ne dise pas que c'est une utopie !
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johanono
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Message non lu par johanono » 13 mars 2011, 21:50:00

El Fredo a écrit :
johanono a écrit : La mixité sociale est une utopie régulièrement agitée par les esprits bien-pensants.
Non, la mixité sociale est non seulement une réalité mais qui fonctionne très bien dans de nombreux endroits, dont là où j'habite. Et là où elle échouerait c'est justement là ou elle est absente. Il faut arrêter de raconter n'importe quoi à coup de slogans à la mode.
A Rennes, la mixité sociale n'est pas forcément plus présente qu'ailleurs. Il y a des banlieues riches (Cesson, Saint-Grégoire...), il y a également des grands ensembles (le Blosne, Villejean), et il y a des quartiers ou banlieues "intermédiaires", comme Saint-Jacques. En revanche, la présence immigrée est moindre à Rennes (et plus généralement dans toute la Bretagne) qu'ailleurs en France. Alors les gens se fuient moins, le phénomène "ghetto ethnique" est moindre qu'ailleurs, et la délinquance est également moindre qu'ailleurs.

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Message non lu par El Fredo » 13 mars 2011, 22:16:00

On parle de mixité sociale, pas de mixité ethnique. Il y a de nombreux immigrés dans les classes moyennes et des "de souche" dans les classes populaires. Et pour parler de Rennes en particulier, il est notable qu'elle est dépourvue de ghettos tels qu'on peut en retrouver ailleurs, dans d'autres villes plus petites de la même région (donc l'argument de la faible présence immigrée ne tient pas). La mixité sociale n'est pas une uniformisation du territoire mais le gommage des frontières, on trouve par exemple des villas de plusieurs centaines de milliers d'euros à quelques mètres de tours HLM (quartier Bréquigny) sans que ça pose un quelconque problème.
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GIBET
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Message non lu par GIBET » 14 mars 2011, 15:48:00

Tout à fait d'accord avec El Fredo et j'ai d'ailleurs vu pousser ce quartier de Bréquigny puisque mes grands parents habitaient rue Leguen de Kérangal et que j'y allais en vacances en 1950 et longtemps après. Il a bien changé et celui qui me dirait qu'il souffre d'immigration me ferait bien sourire!
En 1950 il souffrait surtout de moustiques à cause des marécages et c'était pire icon_biggrin icon_biggrin icon_biggrin
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Burdigala
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Message non lu par Burdigala » 14 mars 2011, 19:40:00

Le racisme anti-blanc est une réalité embarrassante. Dans un essai, le sociologue Tarik Yildiz l'aborde de front, pour éviter notamment de laisser le sujet aux extrêmes.

"Sale Français(e) de me...!" Cette expression les renvoyant à leurs origines françaises, Guillaume, Bastien, Anne, Hasan et les autres l'ont entendue souvent. C'est ce que décrit Tarik Yildiz au travers de neuf entretiens avec un collégien, un lycéen, une étudiante, des professeurs et des parents d'élèves de Seine-Saint-Denis.  
Dans son essai, Racisme anti-blanc, Ne pas en parler: un déni de réalité*, ce doctorant en sociologie de seulement 25 ans dresse une cartographie du phénomène dans certains quartiers de certaines villes d'Ile-de-France. 

Insultes, crachats, coups, les protagonistes de l'étude se disent victimes d'"une intolérance qui touche les blancs parce qu'ils sont - ou sont considérés - comme des 'Français de souche', en opposition aux Français issus de l'immigration", explique l'auteur, par ailleurs collaborateur du Bondy Blog.  

Ne pas laisser la voie libre aux extrêmes

"Pendant le ramadan, je me cachais pour manger quelque chose de peur que l'on me fasse une réflexion ou que je sois agressé d'une manière ou d'une autre", raconte Guillaume, collégien. Céline confie que, pendant ses années de collège, elle maquillait la vérité pour qu'on la laisse en paix: "Il m'est arrivé de mentir plusieurs fois en m'inventant des origines que je n'avais pas (...) Je sentais qu'on était mieux intégré au groupe si on n'était pas 100% français." "Chaque jour, la seule chose que j'espérais, c'était de rentrer sans avoir pris de coups ou sans me faire insulter", ajoute de son côté Bastien, lycéen. Anne, sa mère, est abasourdie. "Jamais je n'aurais pu imaginer qu'un tel racisme pouvait exister chez des enfants", déplore-t-elle. 

Le phénomène est réel, mais circonscrit. Alain, qui a soutenu un appel "contre les ratonnades anti-blanc" en 2008, précise "que ceux qui profèrent ces insultes (...) représentent une minorité dans les classes. Et comme souvent, la minorité violente est la plus visible." "Tout élément qui différencie un élève du groupe provoque une réaction hostile, plus ou moins violente, analyse Caroline. C'est ce qui se passe lorsque des élèves traitent un élève différemment parce qu'il a la peau blanche." Tarik Yildiz reconnaît qu'il "suffit d'une différence - couleur de peau, de cheveux, physique ingrat... - pour être pris pour cible".  

Il faut aussi ne pas oublier, comme Caroline, enseignante, qu'"on a plus de chance de trouver un emploi ou un appartement quand on s'appelle François que quand on s'appelle Kader". Ou qu'il "est plus facile d'entrer en boîte de nuit, qu'on se fait beaucoup moins contrôler par la police quand on a la peau claire." Et d'attirer l'attention sur la dimension sociale: "Les jeunes qui posent des problèmes dans les établissements scolaires sont les plus défavorisés socialement (...) Ce n'est pas vraiment du racisme, mais une manière de vouloir prendre leur place dans une société où ils se sentent mal à l'aise."  

Pour sa part, Fatima, étudiante française issue de l'immigration, estime qu'"il ne faut pas faire de distinction entre les racismes". Ce qu'admet bien volontiers Caroline, selon qui faire des différences, "c'est établir une hiérarchie". D'où l'importance de reconnaître l'existence de ces discriminations. "Lorsqu'on ne parle pas d'un problème, les victimes se sentent incomprises, déconsidérées. Cela peut les pousser elles-mêmes vers du racisme", observe Alain. "Ne pas entendre ceux qui souffrent, c'est prendre le risque de l'engrenage et les jeter dans les bras des partis extrêmistes, renchérit Tarik Yildiz. Il ne faut pas laisser le champs de ce qui préoccupe les Français aux extrêmes. Les partis traditionnels ne doivent pas avoir peur d'aborder le racisme 'anti-blanc'. Ce sont les solutions apportées à cette forme de racisme qui doivent être différentes." 





http://www.lexpress.fr/actualite/societ ... e-anti-bla…

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Blaise
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Message non lu par Blaise » 14 mars 2011, 21:08:00

Donc en gros, tout ça pour dire que le racisme, sous toutes ses formes, c'est mal, je pense que la révélation valait le détour. Enfin cette histoire de "racisme anti blancs  dont personne ne parle mais dont tout le monde parle depuis des années déjà" (enfin l'extrême-droite et les intellectuels de gauche, curieusement accusés précisément toujours sans preuves bien sûr de nier le problème, cherchez l'erreur) ça fera un peu cache-misère pour le bilan de l'actuelle majorité sur le sujet, c'est toujours mieux que rien. Sans parler du fait que ça contribuera à dresser encore un peu plus les gens les uns contre les autres, à renforcer encore davantage l'idée communautaire, et par conséquent à assainir considérablement le climat social à peine troublé du moment. 
Les Français vont instinctivement au pouvoir; ils n'aiment point la liberté; l'égalité seule est leur idole. Or l'égalité et le despotisme ont des liaisons secrètes. Chateaubriand

Burdigala
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Message non lu par Burdigala » 15 mars 2011, 00:35:00

D'une part, si t'avais cliqué sur le lien tu aurai vu ceci:

Le racisme anti-blanc, Ne pas en parler: un déni de réalité, Tarik Yildiz, Les Editions du Puits du Roulle, 58 p., 8 euros.

D'autre part s'il ne faut pas parler et dénoncer le racisme anti-blanc par risque de monter un peu plus les gens les uns contre les autres, de renforcer le communautarisme etc.. alors arretons de dénoncer le racisme tout court, car dénoncer tout le temps le racisme toujours dans un sens et jamais quand il touche les blancs c'est justement renforcer le communautarisme et monter les gens les uns contre les autres du fait que les français, de souche, ressentent de plus en plus ce racisme anti-blanc ou du moins le constate de plus en plus et cette indignation anti-raciste à géométrie variable irritte de plus en plus.

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Blaise
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Message non lu par Blaise » 15 mars 2011, 16:17:00

 


 Le racisme anti-blanc, Ne pas en parler: un déni de réalité, Tarik Yildiz, Les Editions du Puits du Roulle, 58 p., 8 euros.



 J'ai vu.... et donc ? Ah oui pardon j'ai compris: le racisme anti blanc est une réalité, ne pas le dénoncer est mal, et c'est d'autant plus vrai que c'est un auteur dont le nom a une bonne consonance "insoupçonnable" qui le dit. J'ai envie de dire: and so what ? Bruckner le faisait dans les années 80, d'autres l'ont fait depuis, après si on veut redécouvrir l'eau chaude tous les quatre matins, on peut aussi si on n'a que ça à faire. Cela dit l'article est effectivement très bon, il commence par parler des "origines françaises" et les assimile donc implicitement aux "origines blanches", c'est une excellente illustration du fait que la situation est parfaitement claire dans les esprits en ce moment:

 
 "Sale Français(e) de me...!" Cette expression les renvoyant à leurs origines françaises, Guillaume, Bastien, Anne, Hasan et les autres l'ont entendue souvent.
 
D'autre part s'il ne faut pas parler et dénoncer le racisme anti-blanc par risque de monter un peu plus les gens les uns contre les autres
Je n'ai jamais écrit ça, ce que je veux dire, tu le dis toi-même mais apparemment il faut clarifier...
 alors arretons de dénoncer le racisme tout court,

... voilà, absolument, arrêtons de dénoncer le racisme, et passons aux actes pour éradiquer ce qui le nourrit. Il va bien arriver un moment où les gens s'apercevront que contrairement à ce que la rhétorique UMP serine depuis des mois voire des années, les hommes politiques ne sont pas élus pour parler, mais pour agir. La belle chose de réduire l'action politique à un succédané des conversations à l'apéro du bar du coin. 
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Burdigala
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Message non lu par Burdigala » 16 mars 2011, 03:35:00

 les gens s'apercevront que contrairement à ce que la rhétorique UMP serine depuis des mois voire des années, les hommes politiques ne sont pas élus pour parler, mais pour agir
Ils s'en sont aperçus depuis un moment, c'est pourquoi ils se détournent tout auant du PS, et tout cela se traduit par beaucoup d'bastention et une montée du FN. Le blabla politique et le manque d'acte est commun à tous le spartis, mais plus principalement aux deux qui se sont partégés le pouvoir ces 30 dernières années.

Pour ce qui est du racisme anti-blanc, on aura compris que le sujet dérange et malgré une parole qui se libère peu à peu, il n'en reste pas moin un sujet sensible, il suffit d'en voir ton post par exemple dans lequel tu relativises et minimise ce racisme ou du moins sa dénonciation qui n'aurait pas lieu d'être, beh tien..., pourtant quand il s'agit d'évoquer le racisme lorsque ce dernier touche des personnes d'origines maghrébines ou noires ou de confession musulmanes ou juive cela ne dérange pas, c'est rentré dans les moeurs, la parole est libre, mais oser évoquer le racisme anti-blanc auquel on pourrai évoquer les actes catophobes, on  se heurte encore à une pensée unique qui n'autorise pas qu'on en parle.

D'autre part, et je gardais le meilleurs pour la fin:
Il va bien arriver un moment où les gens s'apercevront que contrairement à ce que la rhétorique UMP serine depuis des mois voire des années, les hommes politiques ne sont pas élus pour parler, mais pour agir. La belle chose de réduire l'action politique à un succédané des conversations à l'apéro du bar du coin. 


Sache justement que c'est le gouvernement de Raffarin qui a durci les lois en matière de racisme et que c'est ce même gouvernement qui a fait des actes homophobes des délits/crimes  aussi graves que tout acte raciste, ce qui n'était pas le cas avant, depuis on peut lire "insultes et/ou violences aggravée(s) en raison de l'orientation sexuelle de la victime.

sparkle!

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Blaise
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Message non lu par Blaise » 16 mars 2011, 16:50:00

 



 on aura compris que le sujet dérange




Mouais, on aura surtout compris que tu n'as rien compris.


 



 il suffit d'en voir ton post par exemple dans lequel tu relativises et minimise ce racisme ou du moins sa dénonciation qui n'aurait pas lieu d'être



Je dirais bien que j'ai été surpris de te voir être malhonnête dès le second post de l'échange qui nous occupe, mais ce serait faux. Et je me contenterais bien de te sommer de justifier une telle accusation par une citation et une explication de mes propos, mais comme de toute façon tu n'y arriveras pas je vais t'épargner cette peine. Je n'ai évidemment, et toute personne qui sait lire l'aura vu, jamais dit une chose pareille pour deux raisons:
1. Parce que ce serait dégueulasse
2. Parce que ce serait correspondre à la pose du "petit gaucho prompt à dénoncer le racisme contre les noirs et les arabes mais ah ah ah bien embêté quand il s'agit de dénoncer le racisme anti blanc", et que je n'aime pas les poses que toi tu adores parce que ça t'évite de chercher à comprendre la pensée des autres
3. (Ah oui tiens, trois raisons en fait, donc) Parce que si j'avais voulu défendre cette idée dégueulasse encore une fois, j'aurais fait comme toi, j'aurais cherché quelqu'un pour penser à ma place, je sais pas, par exemple un type dans un  article, tiens, qui dirait quelque chose comme ça:

 






Le phénomène [décrit plus bas dans cette citation par Tarik Yildiz] est réel, mais circonscrit. Alain, qui a soutenu un appel "contre les ratonnades anti-blanc" en 2008, précise "que ceux qui profèrent ces insultes (...) représentent une minorité dans les classes. Et comme souvent, la minorité violente est la plus visible." "Tout élément qui différencie un élève du groupe provoque une réaction hostile, plus ou moins violente, analyse Caroline. C'est ce qui se passe lorsque des élèves traitent un élève différemment parce qu'il a la peau blanche." Tarik Yildiz reconnaît qu'il "suffit d'une différence - couleur de peau, de cheveux, physique ingrat... - pour être pris pour cible". 






Et si j'avais voulu enfoncer le clou, j'aurais par exemple cité le TLF qui fait référence:

 




 CIRCONSCRIT, ITE, part. passé, et adj.
I.Image Part. passé de circonscrire*.
II.Image Adjectif
A.Image [En parlant d'un lieu]
1. Dont les limites sont marquées. Un petit vallon frais, reposé, gracieusement circonscrit (MICHELET, Journal, 1835, p. 172) :

Image1. ... l'étendue vague de l'horizon, (...) moins circonscrit que pendant le jour, se prolonge de toute l'incertitude de ces ténèbres, et présente aux yeux quelque image de la vaste mer.
NODIER, Jean Sbogar, 1818, p. 120.
2. Enfermé dans des limites, peu étendu. Une ville très-circonscrite ( Mme DE STAËL, Corinne, t. 1, 1807, p. 186). Vue imposante, mais circonscrite (MICHELET, Journal, 1838, p. 277).
Image P. anal., MÉD. Dont les limites sont bien marquées. Tumeur circonscrite ( Ac. 1932). Un bras malingre sous des linges à peu près propres. Au-dessus du poignet, un phlegmon superficiel, bien circonscrit, semble déjà collecté (R. MARTIN DU GARD, Les Thibault, La Consultation, 1928, p. 1053).




Et j'aurais fini en te donnant bien sûr la référence de cet article intéressant, qui évoque un bouquin que je vais lire, et dont quelqu'un m'a parlé récemment mais je ne me rappelle plus de qui il s'agit:
http://www.lexpress.fr/actualite/societ ... e-anti-bla… icon_mrgreen



Mais encore une fois je trouve cette idée dégueulasse, comme le fait de me l'imputer au mépris de tout ce que j'ai pu écrire précédemment, et je ne sais pas comment il faut le dire, puisque je trouve que toutes les formes de racisme sont également infâmes et méritent d'être également combattues.



Ce qui nous amène au point suivant, mais là c'est à moi de faire mon mea culpa, et une réserve.
Le mea culpa:




 
Sache justement que c'est le gouvernement de Raffarin qui a durci les lois en matière de racisme




Dont acte, d'autant qu'une rapide recherche a montré que la diminution statistique des actes racistes et antisémites a été assez significative entre 2005et 2008, donc rien à dire si ce n'est que c'est manifestement vrai, et qu'apparemment les mesures prises par le gouvernement pendant cette période ont été suivies d'effet.

La réserve:




 c'est ce même gouvernement qui a fait des actes homophobes des délits/crimes  aussi graves que tout acte raciste, ce qui n'était pas le cas avant, depuis on peut lire "insultes et/ou violences aggravée(s) en raison de l'orientation sexuelle de la victime.





Si l'homophobie et les actes homophobes sont bien des actes condamnables au même égard que les actes racistes ou tout autre acte de ce type, désolé de rappeler que racisme et homophobie n'ont strictement rien à voir.
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