1 - Dans ce cas, il vaut mieux avoir plusieurs produits ....mps a écrit : Pour Politicien : il existe pléthore de représentants multi-cartes, qui ne sont payés qu'à la commission. Donc, tout le monde peut s'en "payer"... à condition que le produit soit attractif.(1)
Pour Nombrilist : l'ancienneté de la boite n'est pas une garantie du désir actuel que peut susciter sa production.
En outre, 7.000 euros de capital après 150 ans d'existence, j'ai vu mieux ! (2)
Réduire les impôts pour les boites à l'agonie, c'est de l'acharnement thérapeutique, de l'argent jetté, et une concurrence déloyale aux petites concurrentes qui,elles, paient le prix plein. Détestable. (3)
Et si la PME est assez sclérosée pour ne pas déjà avoir fait appel à un Conseiller d'Entreprise ou équivalent,souventmis gracieusementà sa dispositin, c'est que le mal est irrémédiable. (4)
2 - parfaitement d'accord. Aucune rente de situation n'existe. La remise en casue est quotidienne ou c'est la condamnation à moyen terme.
3 - La aussi d'accord. Celui qui n'a plus l'énergie de se battre n'est plus fait pour ce rôle. C'est triste à dire, mais si l'on admet que la compétition existe, il faut savoir se retirer a temps. L'état n'a rien à voir la dedans et ne doit jouer aucun rôle. Seule réserve que j'émettrais, et elle est de taille, c'est que l'on devrait appliquer ce principe aux banques, histoire de leur montrer que l'on est pas soumis à leurs erreurs, ainsi qu'a d'autres secteurs aussi, bien sur. Il ne doit pas y avoir d'exception d'échelle.
4 - Le conseiller d'entreprise, on ne connait pas ici. On a le mandataire judiciaire et le liquidateur. Dans les deux cas leurs interventions sont tellement lourdes d'honoraires (créance super privilégiée) que c'est souvent la mort de l'entreprise.