L'intérêt du travail l'emporte sur le salaire

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politicien
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Message non lu par politicien » 23 mai 2011, 22:45:00

Bonjour,
Pour plus d'un salarié sur deux, ce que l'on apprend au travail est le premier facteur de bien-être au travail.

Entre leur fiche de paie et un travail digne de leur CV, les salariés ont fait leur choix. Plus de la moitié d'entre eux considère l'intérêt du travail comme le premier facteur de bien-être en entreprise, selon un sondage TNS Sofres pour Actinéo publié vendredi. Celui-ci prime même sur la qualité de vie au bureau (38%) et sur la rémunération (37%). Le travail n'est plus seulement considéré comme un moyen de gagner de l'argent, il devient un véritable critère d'épanouissement. "Le bien-être des salariés dans leur entreprise commence par ce qui les fait se lever le matin, c'est-à-dire l'intérêt qu'ils portent à leur travail", explique Laurence Bedeau de l'institut TNS Sofres.

L'espace de travail, valeur montante du bien-être
Si les relations entre collègues sont pour 84% des sondés leur principale motivation, l'étude révèle qu'ils sont de plus en plus sensibles à leur espace de travail. Un bureau assez grand, un siège confortable, une bonne connexion Internet, l'absence de bruit ... autant de détails qui permettent, selon 48% des sondés, de gagner en efficacité et en motivation. "Alors que les cadres se déclarent beaucoup plus sensibles à l'intérêt de leur métiers, les interactions entre collègues et l'espace de travail sont des éléments qui sont de plus en plus importants, notamment pour les personnes qui vivent seules car le bureau devient le principal lieu de sociabilité", ajoute Laurence Bedeau.

Cependant, la satisfaction sur l'espace de travail est inégale selon la typologie du bureau. Les occupants de bureaux individuels sont 90% à apprécier leur espace de travail alors que le taux de satisfaction pour des employés en open-space chute à 63%. Ces différences de lieux ont un fort impact, notamment en matière de concentration et d'isolement: 83% des salariés en bureau individuel disent pouvoir se concentrer, contre 51% des employés en open-space. Ces derniers mettent également en avant les nombreuses nuisances sonores et les problèmes de température ou de climatisation.   

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mps
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Message non lu par mps » 23 mai 2011, 23:20:00

C'est en tout cas exactement mon cas ! Dans l'incroyable variété de ce que j'ai fait, j'ai toujours choisi ce qui m'intéressait, sans m'inquiéter du salaire, et jai adoré tout ce que j'ai fait.
Sans attendre la fin de la journée, celle de la semaine ou les vacances comme tant de martyrs : j'étais passionnée par ce que je faisais.

Mes bureaux ont toujours été seule ou à deux, les deux formules étant excellente. Mais je pense être résolument anti "plateaux". On constate d'ailleurs qu'une fois ces sinistres plateaux installés, on n'a de cesse de les isoler les uns des autres à grands renforts de paravents et de plantes vertes, mais sans arriver à couper le bruit. A proscrire,je pense.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)

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Nombrilist
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Message non lu par Nombrilist » 23 mai 2011, 23:39:00

Oui, j'aime bien les bureaux à deux ou trois. Tout seul, je m'ennuierais je pense. Et trop de monde ben... y aurait trop de monde, trop bruyant.

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lucifer
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Message non lu par lucifer » 24 mai 2011, 20:34:00

Oui, phrase certainement exacte venant de personnes au gros salaires. Le feraient ils pour le smic (après tout, quand on aime son taf .... ).
Je me marre de ce genre de conclusion.
Maintenant que j'habite en province, je suis devenu peace and love. Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ( surtout les descendants d'immigrés des cités que j'adore dorénavant )

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mps
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Message non lu par mps » 25 mai 2011, 18:22:00

Non, Lucifer. Dansmon cas,j'ai refusédesjobs qui payaient trois fois plus, et je ne suis pas la seule.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)

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Adeline
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Message non lu par Adeline » 25 mai 2011, 18:29:00

Comme toi MPS, j'ai fait des choix de poste... et si j'avais fait primer le salaire, je n'occuperais pas celui dans lequel je m'épanouis tous les jours.

A quoi bon un gros salaire si on va au boulot sans aucune autre motivation.

pierre30
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Message non lu par pierre30 » 25 mai 2011, 18:47:00

En général quand on fait un boulot qui plait, le salaire est au moins correct.

Perso je n'ai jamais courru après l'argent ou après les postes qui donnent un statut. Je gagne suffisamment mais pas plus. Par contre j'attache beaucoup d'importance à l'intérêt que présente le boulot que je fais.

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lucifer
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Message non lu par lucifer » 25 mai 2011, 19:36:00

pierre30 a écrit : En général quand on fait un boulot qui plait, le salaire est au moins correct.

Perso je n'ai jamais courru après l'argent ou après les postes qui donnent un statut. Je gagne suffisamment mais pas plus. Par contre j'attache beaucoup d'importance à l'intérêt que présente le boulot que je fais.
Moi aussi, mais je le ferais pas pour le minimum vital. Donc on fait tous un métier qui nous permette de vivre.
Pour etre franc, j'avais des potes agriculteurs, et ça m'aurait bien plu. Mais quand j'ai vu le salaire (à l'epoque, ils gagnaient juste assez, pas comme maintenant où c'est la misère) , je me suis orienté dans un metier du batiment qui me plaisait moins mais je gagnais mieux ma vie.

Donc, c'est bien ce que je marque, dire qu'on aime plus sont travail que son salaire est reservé à ceux qui touchent une paye qui leur permet de vivre correctement. Et j'en connais pas des tonnes.
Maintenant que j'habite en province, je suis devenu peace and love. Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ( surtout les descendants d'immigrés des cités que j'adore dorénavant )

pierre30
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Message non lu par pierre30 » 26 mai 2011, 11:50:00

Moi j'en connais pas mal, mais tu as raison ce n'est pas vrai pour tout le monde.

J'ai choisi un boulot qui me paye correctement et qui me plait (sans négliger le premier critère). J'y ai ajouté l'agriculture pour le plaisir essentiellement.

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