Vous êtes tellement pourris que vous ne voyez pas le rapport avec mon exemple ?
Une entreprise bien gérée a besoin d'un niombre déterminé de salariés pour accomplir les tâches.
Ce nombre varie évidemment avec la conjoncture : ça chauffe, on engage ; ça peine, on licencie.
Avec déjà un correctif malsain : les préavis, les primes de licenciements. Dont l'effet est évidemment de faire hésiter longuement avant l'engager. Plus les règles de licenciements sont lourdes, moins il y a d'engagements.
Le salarié qui décroche un emploi est dans un cadre contractuel qui définit ses prestations et son salaire. Il est payé fin de semaine ou de mois, pour solde de tout compte (+ tout le volet social)
Maintenant, vos délires voudraient qu'on ne licencie que quand on est au bord de la faillite ? Que les entreprises ne puissent adapter leurs effectifs à leurs besoins ? Vous les prenez pour des hospices ?
Les salaires en France passés au crible
Re: Les salaires en France passés au crible
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- Nombrilist
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Re: Les salaires en France passés au crible
On parle des salaires, pas de l'emploi. T'es sure que tu t'es pas gourée de fil ?
- El Fredo
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Re: Les salaires en France passés au crible
Moi non plus je ne comprends pas bien le sens de cette intervention. On parle macroéconomie (la distribution des salaires en France), mps nous répond microéconomie (la gestion du personnel des entreprises), donc hors sujet.
If the radiance of a thousand suns were to burst into the sky, that would be like the splendor of the Mighty One— I am become Death, the shatterer of Worlds.
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