Laurence Parisot : les entreprises risquent «l'étranglement»
Re: Laurence Parisot : les entreprises risquent «l'étranglement»
Personne ne dit que dans une entreprise il n'y a que des ouvriers, il y a évidemment des ingénieurs, des administratifs,des responsables commerciaux... mais toutes ces personnes sont des salariés, et l'ensemble de ces salariés qui compose l'entreprise peut parfaitement bien se passer d'un patron
icon_biggrin icon_biggrin icon_biggrin Et le patron, ce n'est pas un salarié ? icon_biggrin icon_biggrin icon_biggrin
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C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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Re: Laurence Parisot : les entreprises risquent «l'étranglement»
Non dans la mesure où ses revenus viennent plus de l'encaissement des bénéfices (engendré par le travail de l'ensemble) qu'un salaire raisonnable.
Re: Laurence Parisot : les entreprises risquent «l'étranglement»
Absurde, comme d'hab.Georges a écrit :Non dans la mesure où ses revenus viennent plus de l'encaissement des bénéfices (engendré par le travail de l'ensemble) qu'un salaire raisonnable.
- Le travail du patron est rémunéré par un salaire.
- Bien entendu, s'il a investi des capitaux (ce qui est surtout le cas dans les petites PME), il touche une juste rétribution de son risqsue.
- Enfin, dans certains cas, il peut être intéressé, seul ou avec le groupe des cadres, voire même de tout le personnel, à l'accroissement de la société, à titre de motivation.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
Re: Laurence Parisot : les entreprises risquent «l'étranglement»
le salarié n'est-il pas lié à une personne par un contrat de travail ? Quand tu regardes les définitions, ce qui caractérise ce contrat est le lien de subordination. Existe-t-il pour le patron ?
Re: Laurence Parisot : les entreprises risquent «l'étranglement»
Oui, bien entendu. Son "chef", c'est le Conseil d'administration.Gis a écrit :le salarié n'est-il pas lié à une personne par un contrat de travail ? Quand tu regardes les définitions, ce qui caractérise ce contrat est le lien de subordination. Existe-t-il pour le patron ?
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Re: Laurence Parisot : les entreprises risquent «l'étranglement»
Comme d'hab. Tout ce qui ne va pas dans le sens de l'idéologie de la bourgeoise est absurde.mps a écrit :Absurde, comme d'hab.Georges a écrit :Non dans la mesure où ses revenus viennent plus de l'encaissement des bénéfices (engendré par le travail de l'ensemble) qu'un salaire raisonnable.
- Le travail du patron est rémunéré par un salaire.
- Bien entendu, s'il a investi des capitaux (ce qui est surtout le cas dans les petites PME), il touche une juste rétribution de son risqsue.
- Enfin, dans certains cas, il peut être intéressé, seul ou avec le groupe des cadres, voire même de tout le personnel, à l'accroissement de la société, à titre de motivation.
Re: Laurence Parisot : les entreprises risquent «l'étranglement»
Pour régler votre différent il suffit de remplacer le mot salarié par celui d'employé.
Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial. K M
Re: Laurence Parisot : les entreprises risquent «l'étranglement»
mps, regarde ce lien sur l'Entreprise et cet extrait :
"Du statut juridique choisi découle votre situation fiscale et sociale. Gérant minoritaire de SARL, PDG de SA ou de SAS : vous percevez un salaire et vous dépendez du régime social des salariés. Entrepreneur individuel, gérant majoritaire de SARL, gérant d'EURL : vous relevez du régime des travailleurs indépendants non salariés..."
"Du statut juridique choisi découle votre situation fiscale et sociale. Gérant minoritaire de SARL, PDG de SA ou de SAS : vous percevez un salaire et vous dépendez du régime social des salariés. Entrepreneur individuel, gérant majoritaire de SARL, gérant d'EURL : vous relevez du régime des travailleurs indépendants non salariés..."
Re: Laurence Parisot : les entreprises risquent «l'étranglement»
Ben oui, et alors ? Evidemment que des patrons sont sous statut d'indépendant, surtout dans de petites boites qu'ils créent eux-mêmes. Cela leur permet généralement de faire un contrat avec leur propre société, prévoyant une rémunération variable, pour ne pas plomber leur jeune entreprise : souvent, ils se passent de toute rémunération pendant des mois, ou la minimise au maximum pour laisser toutes ses chances au décollage de l'activité.Gis a écrit :mps, regarde ce lien sur l'Entreprise et cet extrait :
"Du statut juridique choisi découle votre situation fiscale et sociale. Gérant minoritaire de SARL, PDG de SA ou de SAS : vous percevez un salaire et vous dépendez du régime social des salariés. Entrepreneur individuel, gérant majoritaire de SARL, gérant d'EURL : vous relevez du régime des travailleurs indépendants non salariés..."
Une fois la situation mieux stabilisée, ils ont évidemment avantage à se salarier.
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