Ukraine : Vitali Klitschko, le boxeur qui fait trembler le président

[El Fredo]

Il est gentil Schröder (grand pote de Poutine et employé de Gazprom BTW) mais dans ce cas les Russes sont tout aussi coupables que l'UE puisqu'eux aussi jugeaient leur union douanière incompatible avec le traité d'association.

http://lecercle.lesechos.fr/economie-so ... e-union-do

[Golgoth]

Je crois que Depardieu pense aussi que c'est la faute à l'UE.

[freeze]

et berlusconi aussi hein ^^
moi je crois que c'est la fauter aux russes et aux européens
j'essaie d'élever le débat et de sortir du méchant poutine et gentille europe ^^

[freeze]

http://www.marianne.net/Blackwater-en-U ... 38771.html
"Des journaux allemands affirment que 400 mercenaires de l'ancienne société américaine Blackwater auraient débarqué en Ukraine et mèneraient des opérations punitives contre les séparatistes dans l'Est du pays"

[Golgoth]

j'essaie d'élever le débat et de sortir du méchant poutine et gentille europe ^^

La question n'est pas là, chacun défend ses intérêts propres, les Russes, Kiev, les Européens. Mais malgré le manque de démocratie que je déplore en Europe, on est bien au dessus des deux autres à ce niveau.
Pour ce qui est des mercenaires, Kiev et Poutine ont chacun les leurs, évidemment. Mais si les Russes sortent le grand jeu, l'Ukraine ne tiendra pas une semaine.

Personne sur ce forum n'est naïf et s'imagine que l'Est de l'Ukraine est majoritairement pro UE, par contre prétendre que les séparatistes sont ultra-majoritaires et sous-entendre que la Russie ne fait que surfer sur cette vague, est clairement très naïf, or c'est à peu près le discours de Sapir and co.

La principale erreur de l'UE et de l'OTAN est de refuser aux Russes ce que eux ont fait au Kossovo.

[El Fredo]

En attendant les gentils séparatistes ont tué 6 méchants soldats ukrainiens dans une embuscade aujourd'hui.

[racaille]

Salut !

Je viens de regarder les nouveaux messages postés depuis la dernière fois que je suis passé sur le forum y'a bien deux semaines facile. Je remarque que le sujet de la situation ukrainienne n'est pas beaucoup débattue ici. Est-ce représentatif de ce qui se passe en France un peu partout ?

Parce qu'ici ça reste un sujet d'actualité. Les médias continuent à s'intéresser de près au machin, y'a des scoops, des interviews de politicards à la retraite (et pas dans le Spiegel ou le Zeit ; dans Bild, tabloid notoire, signe que les temps changent)... et aussi des convois de blindés qui traversent le pays pour se rendre à l'Est.

En Allemagne le ton change un peu. L'impression que j'en ai, c'est que le patronat allemand commence à en avoir marre des menaces de sanctions brandies par Merkel et ses teckels français et anglais. C'est vraiment pas bon pour le business.
L'interview d'Helmut Schmitt n'était pas dans le ton cependant. Trop gauchiste peut-être... Ici des voix se son élevées pour dire qu'il est gâteux et qu'il devrait plutôt songer sérieusement à aller sucrer les fraises. Ca doit être ça, gâteux, puisque j'ai vu Giscard tenir grosso-modo le même discours.

Mince ça ne doit pas être facile pour Poutine depuis les début de l'année. Il doit esquiver les fourches caudines conjointes de deux prix Nobel de la paix. Pas marrants les ex-copains, ils veulent tout le temps grignoter une part toujours plus grosse du gâteau. Ca va mal finir pour lui, il est devenu en un temps record le nouvel Axe du Mal à lui tout seul.

[politicien]

Bonjour,

Dans un entretien accordé à TF1 et Europe 1, le président russe Vladimir Poutine a laissé entendre pour la première fois, mercredi 4 juin, qu'il était prêt à s'entretenir avec le nouveau président ukrainien, Petro Porochenko, dans le cadre des cérémonies pour le 70e anniversaire du débarquement allié en Normandie.

« Je ne compte éviter personne et parlerai, évidemment, à tout le monde », a-t-il expliqué aux deux journalistes français alors que la France espère esquisser un premier rapprochement entre Moscou et Kiev.

Cette interview, diffusée à la veille de cette journée de commémoration – et une heure avant le souper du président russe avec François Hollande –, a permis à M. Poutine de rassurer sur les intentions de son pays quant à une quelconque volonté expansionniste :

« Nous n'envisageons ni de soutenir le nationalisme russe ni de reconstituer un empire. J'espère qu'il n'y aura pas une deuxième phase de guerre froide. »

« LES AMÉRICAINS MENTENT »

Le président russe est allé plus loin, affirmant que la Russie n'était jamais intervenue en Ukraine, où des séparatistes prorusses ont pris le pouvoir, dans l'est du pays.

« Il n'y a pas de militaires russes en Ukraine. Les Américains mentent : il n'y a pas de personnel militaire russe en Ukraine et il n'y en a jamais eu. »

Il a ainsi intimé aux Américains de montrer les preuves de l'implication russe en Ukraine. Et a appelé le pouvoir ukrainien à « établir le contact avec sa propre population ».

Interrogé à propos de sa réaction face aux déclarations de la chef de la diplomatie américaine, Hillary Clinton, comparant ses méthodes à celles d'Hitler, M. Poutine a répondu qu'« il était préférable de ne pas débattre avec les femmes ».

(...)

L'intégralité de cet article à lire sur Le Monde.fr

Qu'en pensez vous ?

[politicien]

Le maître du Kremlin Vladimir Poutine et le nouveau président ukrainien Petro Porochenko se sont parlé pour la première fois vendredi, en marge des célébrations des 70 ans du débarquement allié en Normandie. Espérée, mais incertaine jusqu'au dernier moment, la rencontre entre Poutine et Porochenko a finalement eu lieu à la mi-journée au château de Bénouville, sous l'égide du président français François Hollande et avec la chancelière allemande Angela Merkel. Elle s'est tenue peu avant le déjeuner réunissant les grands du monde, venus rendre hommage aux soldats alliés qui ont débarqué le 6 juin 1944 sur les plages normandes et marqué le début de la défaite nazie en Europe.

Vladimir Poutine et le président Porochenko, élu le 25 mai, "se sont serré la main et ont conversé tout à fait normalement. Il s'agissait d'un échange normal et grave entre deux dirigeants", a raconté une source de l'entourage du président français. "Un dialogue a pu s'amorcer entre les deux sur de possibles mesures de désescalade", et "les modalités d'un cessez-le-feu (entre Kiev et les séparatistes pro-russes) seront également discutées dans les jours qui viennent", selon cette source. Cette première rencontre entre Vladimir Poutine et Petro Porochenko, qui doit officiellement être investi samedi à Kiev, est "une avancée fragile" pour parvenir à une solution politique à la crise, selon cette source. Toujours selon cette source, le président Poutine a par ailleurs eu un aparté rapide avec son homologue américain Barack Obama, avec qui les relations sont au plus bas depuis des mois.

(...)

http://www.lepoint.fr/monde/poutine-et- ... 088_24.php