Le sommet de copenhague
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politicien
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Bonjour,
Les leaders mondiaux ont exprimé ouvertement leurs inquiétudes, jeudi à Copenhague, face aux blocages menaçant l'accord contre le réchauffement de la planète que près de 120 chefs d'Etat et de gouvernement doivent adopter vendredi. Arrivé sur place dans la journée de jeudi, Nicolas Sarkozy a déclaré à la tribune qu'«on court à la catastrophe» et qu'il faut dès lors «changer de braquet».
Les hôtes danois du sommet assuraient «se battre de toutes (leurs) forces pour sortir de l'impasse». Mais «si les parties ne veulent pas d'accord, que faire ?», s'interrogeait un membre de la délégation danoise. Le Premier ministre australien, Kevin Rudd, a dit redouter à la tribune «un triomphe de l'inaction sur l'action». La chancelière allemande, Angela Merkel, a souligné avant de partir pour le Danemark que «les nouvelles (...) ne sont pas bonnes», tout en espérant que l'arrivée des dirigeants débloquerait les discussions.
En dix jours de discussions, les pourparlers achoppent toujours sur la répartition des efforts - financiers et de réductions des émissions de gaz à effet de serre - pour assurer l'objectif affiché : limiter la hausse de la température moyenne de la planète à 2 degrés. C'est sur ce point que les deux plus grands pollueurs de la planète, les Etats-Unis et la Chine, s'affrontent. Semblant renvoyer Pékin et Washington dos à dos, l'Union Européenne a appelé chacun, «surtout les grands pollueurs», à aller «de toute urgence jusqu'à l'extrême limite de leur flexibilité».
Seulement, à peine arrivée sur place, la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, a martelé qu'il n'y aurait pas d'accord sans engagements vérifiables des grands pays en développement. Elle a promis une participation financière - sans en préciser le montant - de son pays à une enveloppe globale de 100 milliards de dollars par an d'ici 2020 pour lutter contre le réchauffement, mais l'a subordonnée à «des actions significatives» et vérifiables des grands pays émergents. Le président américain Barack Obama est attendu vendredi.
De leur côté, ces grands pays émergents réclament des engagements permettant de préserver leur croissance économique. Le Premier ministre indien, Manmohan Singh, a rappelé que l'Inde n'acceptera pas un traité qui l'empêcherait de sortir des millions de personnes de la pauvreté. Quant au Premier ministre chinois, Wen Jiabao, arrivé mercredi dans la capitale danoise, il a lui insisté sur «la détermination» et «la sincérité» de son pays. Pékin - premier pollueur de la planète - comme Delhi, se sont dits prêtes à réduire leur «intensité carbonique», qui mesure les émissions par point de PIB mais n'assure pas une réduction en volume compte tenu de leur croissance économique.
«On est loin du compte», estime le climatologue français Jean Jouzel, vice-président du Groupe international d'experts sur le climat (GIEC), à propos des engagements de réduction d'émissions des pays riches à l'horizon 2020, très inférieurs à la fourchette de -25% à -40% recommandée par les scientifiques. «Les deux derniers jours vont être importants, mais on voit bien qu'il y a un certain pessimisme», ajoute-t-il. Pour la journée cruciale de vendredi, un «nombre limité de chefs d'Etat représentant tous les groupes et toutes les régions du monde» se réunira dans la matinée autour du secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, selon le programme officiel. Puis, à partir de 15 heures (heure de Paris), les dirigeants entreront en session plénière pour adopter les conclusions de ce sommet de Copenhague. Qu'en pensez vous ? A plus tard,
Les leaders mondiaux ont exprimé ouvertement leurs inquiétudes, jeudi à Copenhague, face aux blocages menaçant l'accord contre le réchauffement de la planète que près de 120 chefs d'Etat et de gouvernement doivent adopter vendredi. Arrivé sur place dans la journée de jeudi, Nicolas Sarkozy a déclaré à la tribune qu'«on court à la catastrophe» et qu'il faut dès lors «changer de braquet».
Les hôtes danois du sommet assuraient «se battre de toutes (leurs) forces pour sortir de l'impasse». Mais «si les parties ne veulent pas d'accord, que faire ?», s'interrogeait un membre de la délégation danoise. Le Premier ministre australien, Kevin Rudd, a dit redouter à la tribune «un triomphe de l'inaction sur l'action». La chancelière allemande, Angela Merkel, a souligné avant de partir pour le Danemark que «les nouvelles (...) ne sont pas bonnes», tout en espérant que l'arrivée des dirigeants débloquerait les discussions.
En dix jours de discussions, les pourparlers achoppent toujours sur la répartition des efforts - financiers et de réductions des émissions de gaz à effet de serre - pour assurer l'objectif affiché : limiter la hausse de la température moyenne de la planète à 2 degrés. C'est sur ce point que les deux plus grands pollueurs de la planète, les Etats-Unis et la Chine, s'affrontent. Semblant renvoyer Pékin et Washington dos à dos, l'Union Européenne a appelé chacun, «surtout les grands pollueurs», à aller «de toute urgence jusqu'à l'extrême limite de leur flexibilité».
Seulement, à peine arrivée sur place, la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, a martelé qu'il n'y aurait pas d'accord sans engagements vérifiables des grands pays en développement. Elle a promis une participation financière - sans en préciser le montant - de son pays à une enveloppe globale de 100 milliards de dollars par an d'ici 2020 pour lutter contre le réchauffement, mais l'a subordonnée à «des actions significatives» et vérifiables des grands pays émergents. Le président américain Barack Obama est attendu vendredi.
De leur côté, ces grands pays émergents réclament des engagements permettant de préserver leur croissance économique. Le Premier ministre indien, Manmohan Singh, a rappelé que l'Inde n'acceptera pas un traité qui l'empêcherait de sortir des millions de personnes de la pauvreté. Quant au Premier ministre chinois, Wen Jiabao, arrivé mercredi dans la capitale danoise, il a lui insisté sur «la détermination» et «la sincérité» de son pays. Pékin - premier pollueur de la planète - comme Delhi, se sont dits prêtes à réduire leur «intensité carbonique», qui mesure les émissions par point de PIB mais n'assure pas une réduction en volume compte tenu de leur croissance économique.
«On est loin du compte», estime le climatologue français Jean Jouzel, vice-président du Groupe international d'experts sur le climat (GIEC), à propos des engagements de réduction d'émissions des pays riches à l'horizon 2020, très inférieurs à la fourchette de -25% à -40% recommandée par les scientifiques. «Les deux derniers jours vont être importants, mais on voit bien qu'il y a un certain pessimisme», ajoute-t-il. Pour la journée cruciale de vendredi, un «nombre limité de chefs d'Etat représentant tous les groupes et toutes les régions du monde» se réunira dans la matinée autour du secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, selon le programme officiel. Puis, à partir de 15 heures (heure de Paris), les dirigeants entreront en session plénière pour adopter les conclusions de ce sommet de Copenhague. Qu'en pensez vous ? A plus tard,
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
Le débat ne s'arrête jamais sur Actu-Politique
Si le but est de limiter la hausse de température à 2°, ils ont déjà gagné sans rien faire ! Les modélisations sérieuses indiquent que, si la tempérture s'élève, ce qui n'est pas exclu mais pas certain non plus, ce sera maximum de 1° en 100 ans !
Le GIEC, ce sont ces types qui, il n'y a pas 30 ans, annonaçent une nouvelle glaciation de la terre !
Alors, si Copenhague se plante, je ne pleurerai pas.
Le GIEC, ce sont ces types qui, il n'y a pas 30 ans, annonaçent une nouvelle glaciation de la terre !
Alors, si Copenhague se plante, je ne pleurerai pas.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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geekmature
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En tous cas les chinois font un beau bras d'honneur et clament haut et fort "pas question de venir nous surveiller" allez vous faire...." et je trouve çà normal
Quelles leçons de morale allons nous donner à des pays qui commencent seulement à profiter??idem pour l'Inde icon_lol
Quelles leçons de morale allons nous donner à des pays qui commencent seulement à profiter??idem pour l'Inde icon_lol
Démocratie, vous avez dit démocratie!!
D'accord ! Il faut bien comprendre qu'aux yeux des chinois, nous ne somes que de minuscules pays en plein décadence. Il est tout à fait arrogant de vouloir leur faire sans cesse la leçon. Quant aux indiens, ils n'écoutent même pas icon_confused
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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politicien
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Bonjour,
La fin du sommet sur le climat, vendredi à Copenhague, a été laborieuse. La déclaration finale, qui devrait être votée ce samedi, prévoit de limiter le réchauffement planétaire à 2°C d'ici à 2050, l'objectif majeur et annoncé du sommet. Mais elle ne fixe pas pas d'objectifs à la réduction des émissions de gaz à effet de serre, et n'envisage pas de sanctions pour le pays qui ne respecterait pas le protocole.
De l'aveu même du président des Etats-Unis, Barack Obama, un accord légalement contraignant sera «très difficile» et prendra du temps. Ces compromis ont pu être intégrés in extremis à la déclaration politique de Copenhague, où les chefs d'Etat de la planète ont dû jouer les prolongations. Le document final est qualifié de «significatif» et «sans précédent» par Barack Obama, qui juge néanmoins les progrès «insuffisants».
Les Etats-Unis sont parvenus à un accord avec les dirigeants des grands pays émergents que sont l'Inde, l'Afrique du Sud et surtout la Chine. Mais ce compromis s'est fait au détriment de l'objectif de réduire de 50% les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050.
Si les pays industrialisés ont renvoyé à janvier 2010 l'adoption de leurs engagements de réduction d'émission de gaz à effet de serre à l'horizon 2020, tous ont déjà «accepté de donner par écrit» leur accord, a expliqué le président français. Ce dernier compte sur les négociations prévues à Bonn (en Allemagne) «dans six mois» destinées à préparer la prochaine conférence climat de Mexico fin 2010, pour remettre l'objectif de 50% de réduction des émissions d'ici 2050 en piste.
Les pays industrialisés se sont engagé à verser 100 milliards de dollars par an d'aide aux pays en développement à compter de 2020. Mais d'ici-là, les Etats-Unis accorderont une aide de 3,6 milliards de dollars aux pays les plus vulnérables au changement climatique. L'Union européenne versera, quant à elle, 10,6 milliards de dollars sur les années 2010, 2011 et 2012.
Les accords de Copenhague prendront en 2013 le relais de ceux de Kyoto, adoptés en 1997, qui n'avaient pas été ratifiés par le gouvernement de George W. Bush. Les discussions se sont poursuivies bien après l'horaire initialement prévu pour la cérémonie de clôture (18 heures). Dès la mi-journée, l'ONU avait prié les délégations de «ne pas partir vendredi soir».
Signe d'un manque d'unité, aucune photo de famille n'a pu être prise. Les quelque 130 chefs d'Etat et de gouvernement n'ont pas réussi à se trouver dans la même pièce au même moment, ni surtout à sourire tous ensemble.
Une heure entière à la mi-journée - de 12 heures à 13 heures - avait été réservée à la pose pour immortaliser ce sommet de Copenhague. Ceux qui n'étaient pas déjà partis, comme le président russe Dmitri Medvedev, qui a toutefois laissé pouvoir à son conseiller climatique, étaient enfermés dans leur hôtel ou dans une salle de négociation pour sauver un accord de la dernière heure.
Qu'en pensez vous ? Ce sommet aura été un échec ?
A plus tard,
La fin du sommet sur le climat, vendredi à Copenhague, a été laborieuse. La déclaration finale, qui devrait être votée ce samedi, prévoit de limiter le réchauffement planétaire à 2°C d'ici à 2050, l'objectif majeur et annoncé du sommet. Mais elle ne fixe pas pas d'objectifs à la réduction des émissions de gaz à effet de serre, et n'envisage pas de sanctions pour le pays qui ne respecterait pas le protocole.
De l'aveu même du président des Etats-Unis, Barack Obama, un accord légalement contraignant sera «très difficile» et prendra du temps. Ces compromis ont pu être intégrés in extremis à la déclaration politique de Copenhague, où les chefs d'Etat de la planète ont dû jouer les prolongations. Le document final est qualifié de «significatif» et «sans précédent» par Barack Obama, qui juge néanmoins les progrès «insuffisants».
Les Etats-Unis sont parvenus à un accord avec les dirigeants des grands pays émergents que sont l'Inde, l'Afrique du Sud et surtout la Chine. Mais ce compromis s'est fait au détriment de l'objectif de réduire de 50% les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050.
Si les pays industrialisés ont renvoyé à janvier 2010 l'adoption de leurs engagements de réduction d'émission de gaz à effet de serre à l'horizon 2020, tous ont déjà «accepté de donner par écrit» leur accord, a expliqué le président français. Ce dernier compte sur les négociations prévues à Bonn (en Allemagne) «dans six mois» destinées à préparer la prochaine conférence climat de Mexico fin 2010, pour remettre l'objectif de 50% de réduction des émissions d'ici 2050 en piste.
Les pays industrialisés se sont engagé à verser 100 milliards de dollars par an d'aide aux pays en développement à compter de 2020. Mais d'ici-là, les Etats-Unis accorderont une aide de 3,6 milliards de dollars aux pays les plus vulnérables au changement climatique. L'Union européenne versera, quant à elle, 10,6 milliards de dollars sur les années 2010, 2011 et 2012.
Les accords de Copenhague prendront en 2013 le relais de ceux de Kyoto, adoptés en 1997, qui n'avaient pas été ratifiés par le gouvernement de George W. Bush. Les discussions se sont poursuivies bien après l'horaire initialement prévu pour la cérémonie de clôture (18 heures). Dès la mi-journée, l'ONU avait prié les délégations de «ne pas partir vendredi soir».
Signe d'un manque d'unité, aucune photo de famille n'a pu être prise. Les quelque 130 chefs d'Etat et de gouvernement n'ont pas réussi à se trouver dans la même pièce au même moment, ni surtout à sourire tous ensemble.
Une heure entière à la mi-journée - de 12 heures à 13 heures - avait été réservée à la pose pour immortaliser ce sommet de Copenhague. Ceux qui n'étaient pas déjà partis, comme le président russe Dmitri Medvedev, qui a toutefois laissé pouvoir à son conseiller climatique, étaient enfermés dans leur hôtel ou dans une salle de négociation pour sauver un accord de la dernière heure.
Qu'en pensez vous ? Ce sommet aura été un échec ?
A plus tard,
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
Le débat ne s'arrête jamais sur Actu-Politique
On croit lire Ubu Roi ! icon_biggrin icon_biggrin
Une bande de marionnettes, mises sous pression par des glandus et de faux savants, décrétant la température mondiale icon_biggrin icon_biggrin icon_biggrin
"Il est interdit, à peine d'outrage, à la planète terre, d'augmenter sa température de plus de 2 %" ! Mdr.
D'une part, il est certain que la température n'augmentera pas de 2%, même si le monde entier se chauffe au charbon ! Les grands prêtres du réchauffisme pourront donc, quoi qu'il adviene, dire qu'ils ont sauvé le monde.
Cela évitera de devoir créer un Tribunal Pénal International contre le Soleil ...
Sans compter qu'il est bien possible que la terre soit pour l'instant aux prémices d'un refroidissement.
Je songe à ces jeux de gosses, qui se mettent à un arrêt de tram, crient "stop" quand le tram va s'arrêter, et jouent à faire croire que leur intervention a été déterminante icon_biggrin
Jamais vu une telle arnaque dans l'histoire du monde !
Cela aura eu au moins ll'avantage qu'o e parle plus de la grippe H1N1 icon_confused
Une bande de marionnettes, mises sous pression par des glandus et de faux savants, décrétant la température mondiale icon_biggrin icon_biggrin icon_biggrin
"Il est interdit, à peine d'outrage, à la planète terre, d'augmenter sa température de plus de 2 %" ! Mdr.
D'une part, il est certain que la température n'augmentera pas de 2%, même si le monde entier se chauffe au charbon ! Les grands prêtres du réchauffisme pourront donc, quoi qu'il adviene, dire qu'ils ont sauvé le monde.
Cela évitera de devoir créer un Tribunal Pénal International contre le Soleil ...
Sans compter qu'il est bien possible que la terre soit pour l'instant aux prémices d'un refroidissement.
Je songe à ces jeux de gosses, qui se mettent à un arrêt de tram, crient "stop" quand le tram va s'arrêter, et jouent à faire croire que leur intervention a été déterminante icon_biggrin
Jamais vu une telle arnaque dans l'histoire du monde !
Cela aura eu au moins ll'avantage qu'o e parle plus de la grippe H1N1 icon_confused
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
Bonjour, politicien
C'est un échec.
Seul est confirmé l'objectif majeur annoncé, pour une échéance assez lointaine pour n'engager aucun dirigeant.
Aucun des objectifs retenus comme étapes intermédiaires n'a été adopté.
A défaut d'accord sur de tels objectifs, difficiles à atteindre sans définir un cadre général de moyens d'y parvenir, aucune résolution sur la définition d'un tel cadre n'a été adoptée. En particulier, par insuffisance d'organisation et/ou de motivations pour un but censé faire consensus, aucune procédure de contrôle, même sur le principe, n'a été déterminée.
Que ce soit en social, en économique, en financier, en géopolitique, les mêmes démarches conduisent à la même absence de résultats, puisque la coopération n'est pas réellement recherchée entre les parties prenantes.
A bientôt
C'est un échec.
Seul est confirmé l'objectif majeur annoncé, pour une échéance assez lointaine pour n'engager aucun dirigeant.
Aucun des objectifs retenus comme étapes intermédiaires n'a été adopté.
A défaut d'accord sur de tels objectifs, difficiles à atteindre sans définir un cadre général de moyens d'y parvenir, aucune résolution sur la définition d'un tel cadre n'a été adoptée. En particulier, par insuffisance d'organisation et/ou de motivations pour un but censé faire consensus, aucune procédure de contrôle, même sur le principe, n'a été déterminée.
Que ce soit en social, en économique, en financier, en géopolitique, les mêmes démarches conduisent à la même absence de résultats, puisque la coopération n'est pas réellement recherchée entre les parties prenantes.
A bientôt
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avatabanana
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- Enregistré le : 06 oct. 2009, 00:00:00
Georges a écrit :Ce qui tu dis va dans le sens de tes amis capitalistes : produire toujours plus, pour faire encore plus de profit en engendrant encore plus de misére quelqu'en soient les conséquences pour notre planéte, pour nos enfants et petits-enfants.mps a écrit :Ma conviction intime est que le très minuscule réchauffement que nous connaissons n'a strictement rien à voir avec les activités humaines.
Et qu'en matière de bonne conduite, deux points seulements sont intéressants :
- la limitation des particules nocives à la santé, dez déchets préjudiciables à nos eaux, etc.
- l'isolation des batiments, utile au confort, au porte-feuille et à la balance des paiements.
Tout le reste n'est qu'affreux galimatia et gabegie.
Na !
Faut être sérieux. Le capitalisme ne crée pas de misère au contraire c'est d'un surplus de richesse dont nous redoutons les conséquences.
Jamais nous n'avons eu (l'immense majorité d'entre nous) autant de richesses à notre disposition.
Le malaise écologique vient du fait que des pays à population nombreuse cherchent dorénavant à atteindre le même niveau de vie que nous (Chine, Inde, Brésil, Russie).
Comment leur en vouloir, mais il est clair qu'un tel changement d'échelle n'est pas neutre pour la planète.
De là à annoncer la fin du monde et la fin de la race humaine.... ????
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avatabanana
- Messages : 1038
- Enregistré le : 06 oct. 2009, 00:00:00
Tout le monde parle d'échec.
certes c'est un échec vis à vis des attendes un peu utopistes de certains.
Mais cette fois tout le monde était là en particulier USA et Chine. S'ils avaient été absents nous aurions peut-être eu un accord mais sans aucune importance (voir Kyoto).
Ce fut un premier coup de boutoir. cela a donné un accord de principe c'est déjà ça...
Il faudra continuer mais il est clair qu'espérer stopper la Chine dans sa croissance actuelle est illusoire de mê que demander aux USA de payer pour le reste du monde alors qu'ils ont une dette abyssale.
Peut-être que le monde va un peu changer c'est tout. quelques terres seront immergées et quelques races animales vont disparaître... Cela a toujours été comme cela dans l'histoire du monde...
certes c'est un échec vis à vis des attendes un peu utopistes de certains.
Mais cette fois tout le monde était là en particulier USA et Chine. S'ils avaient été absents nous aurions peut-être eu un accord mais sans aucune importance (voir Kyoto).
Ce fut un premier coup de boutoir. cela a donné un accord de principe c'est déjà ça...
Il faudra continuer mais il est clair qu'espérer stopper la Chine dans sa croissance actuelle est illusoire de mê que demander aux USA de payer pour le reste du monde alors qu'ils ont une dette abyssale.
Peut-être que le monde va un peu changer c'est tout. quelques terres seront immergées et quelques races animales vont disparaître... Cela a toujours été comme cela dans l'histoire du monde...
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Georges
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- Enregistré le : 28 févr. 2009, 00:00:00
- Parti Politique : Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA)
- Localisation : Village de Normandie
Et pourtant la misére ne cesse d'augmenter, partout dans le monde. Il y a 20 ans personne ne parlait de travailleur pauvre en France, et maintenant cela existe. Dans le centre de resto du coeur où je suis bénévole, nous avions 275 familles d'inscrite l'année passée, nous en sommes à ce jour à 357, et ce phénomène est le même dans toute la France.
Tu ne dois être sans savoir que dans les pays les plus pauvres, la majorité des populations vivent en bordure des mers et des océans, et c'est des millions d'être humains qui arriveront comme immigrés dans nos pays occidentaux.
Tu dis "quelques terres seront immergée". Renseigne toi c'est déjà commencé un pays comme le Bingladésh a vu dans les 5 dernieres années environ 5% de son territoire disparaître sous les eaux.
Tu ne dois être sans savoir que dans les pays les plus pauvres, la majorité des populations vivent en bordure des mers et des océans, et c'est des millions d'être humains qui arriveront comme immigrés dans nos pays occidentaux.
Tu dis "quelques terres seront immergée". Renseigne toi c'est déjà commencé un pays comme le Bingladésh a vu dans les 5 dernieres années environ 5% de son territoire disparaître sous les eaux.
mps, quand la mer monte, est ce que tu as honte ??
http://www.dailymotion.com/video/x6yeam ... onte_music
:lol: :lol: :lol:
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:lol: :lol: :lol:
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