Italie : le président va-t-il démissionner cinq ans avant la fin de son mandat ?

[politicien]

Bonjour,

En avril 2013, Giorgio Napolitano avait accepté à contre-cœur d'effectuer un second mandat pour aider le pays à sortir d'une grave crise politique. Il avait alors averti qu'il n'effectuerait pas la totalité de son mandat de sept ans.

Un second mandat écourté. Le président italien Giorgio Napolitano, 89 ans, pourrait démissionner en janvier, cinq ans avant la fin de son mandat, selon plusieurs spécialistes de la vie politique italienne. L'annonce pourrait être faite lors des vœux du Nouvel An, au soir du 31 décembre, avancent même certains commentateurs de la presse italienne. Le palais présidentiel n'a pas réagi à ces déclarations.

En avril 2013, Giorgio Napolitano avait accepté à contre-cœur d'effectuer un second mandat pour aider le pays à sortir d'une grave crise politique. Il avait alors averti qu'il n'effectuerait pas la totalité de son mandat de sept ans.

(...)

Parmi les successeurs possibles au poste de chef de l'État italien, qui peut nommer le président du Conseil, dissoudre le Parlement et décider des élections anticipées, figurent l'ancien chef du gouvernement et ex-président de la Commission européenne Romano Prodi et l'ancien président du Conseil Giuliano Amato. Tous deux ont été candidats à la magistrature suprême par le passé.

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Qu'en pensez vous ? Racaille en septembre parlait de M. Draghi à la présidence de l'Italie, y croyez-vous ?

[Ramdams]

L'Italie a retrouvé son rythme de croisière et sa stabilité avec Mario Monti. Giorgio Napolitano peut donc partir de la présidence (qui est presque symbolique en Italie) de manière sereine. Pour le remplacer, j'opterais plutôt pour une personnalité non clivante. À ce titre, Mario Draghi serait un mauvais choix même si malheureusement il paraît probable. Romano Prodi s'était présenté en 2013 mais son âge (75 ans) risque de jouer en sa défaveur s'il se présente de nouveau.

[Nombrilist]

Racaille, c'est le Nostradamus d'actu-po. Si il l'a dit, c'est que ça va arriver.

[albert]

Une chose est sûre : le président de la BCE a beaucoup plus de pouvoirs que le président de l'Italie.
Prodi et Amato sont deux chevaux de retour de la politique qui n'ont pas laissé de bons souvenirs aux Italiens.