De Vienne à Rome, l'Europe au défi de la vague populiste

[Jeff Van Planet]

une idée décente est une idée qui n'a pas été mise en place 100 fois en étant 100 fois un échec.

[johanono]

déjà mon cher ami, euro-mondialiste n'a absolument aucuns sens. Soit tu es pro Europe, soit pro monde.
Comme quoi tu es dans l'insulte.

La construction européenne n'étant que le Cheval de Troie de la mondialisation, l'emploi du terme "euro-mondialiste" est tout à fait cohérent.

Je veux bien, je recommence:

Les populistes sont des politicards véreux qui promettent au peuple d'apporter des solutions. Sauf qu'à y regarder deux minutes de plus près, ces politicards là n'apportent aucunes solutions, juste des vieux truques totalement inefficaces qui n'ont jamais marchés nulles part.
Comme le replis sur soit qui à aggravé la crise des années 30, ou financer le déficit budgétaire par la planche à billets, ça n'a apporté que misère partout ou une politique aussi foireuse à été mise en place.
Bref, le populiste est un clown qui promets d'apporter des solutions qui sont en faite des vrais problèmes.

Ce que je constate, c'est que le libre-échange, en ce qu'il expose nos producteurs à la concurrence étrangère déloyale, favorise les délocalisations, la désagrégation de notre tissu industriel, donc le sous-emploi. Inversement, des pays comme la Chine et les États-Unis n'hésitent pas à faire du protectionnisme, et s'en sortent plutôt bien.

Ce que je constate, c'est que les politiques d'austérité menées en Europe ne font qu'alimenter le cercle vicieux de la récession. La Grèce est l'exemple le plus frappant. Au demeurant, on notera que les courbes de croissance économique européenne et américaine se sont éloignées à partir de 2012, c'est-à-dire quand les Européens se sont mis en tête d'appliquer un pacte de stabilité.

Ce que je constate, c'est que notre appartenance à l'euro nous interdit de mener une politique économique alternative, fondée sur la monétisation. Inversement, des pays comme la Chine, les États-Unis et la Suède, qui ont conservé leur indépendance monétaire, s'en sortent très bien.

Donc oui, affirmer que le protectionnisme et l'indépendance monétaire n'ont jamais marché nulle part est une contre-vérité assez scandaleuse. Et qualifier de "populistes" ceux qui osent défendre le protectionnisme et l'indépendance monétaire est une façon d'affirmer un point de vue de façon péremptoire en se dispensant d'argumenter.

[Jeff Van Planet]

tu arrives à ontinuer à répondre après modération?


En ce qui concerne ta concurrence déloyale. Rien que le terme est biaisé. il n'y a rien de déloyale là dedans. Comme tu accuses de déloyauté, c'est à toi de la prouver. bonne chance.