Je tombe inopinément sur un reportage portant sur l'économie éthiopienne.
Un des pays les plus pauvres du monde qui, grâce à un gouvernement libéral et honnête (autant que faire se peut sous ces climats) connaît une croissance supérieure à 10% depuis des années.
Du coup, le pays, en plein boom, voit surgir des habitations plus que confortables, des entreprises prospères, émerger une importante classe moyenne, se créer des dizaines de milliers d'emplois. Et surtout rentrer au pays tout l'argent de la diaspora.
Mais bien entendu, notre journaliste est dressé au politiquement correct. Il se croit obligé de gémir sur l'éternel "riches plus riches et pauvres plus pauvres" (sans l'ombre d'un élément pour le déterminer) et va chercher, dans les replis de la montagne, une vieille femme qui vit dans la misère .
Une telle malhonnêteté intellectuelle me cloue. Un pays qui, déjà, propose un avenir à l'ensemble de ses citoyens, et sort du sous-développement après 40 ans de communisme, est un véritable miracle économique. Et il est clair quil faut un degré certain de prospérité pour pouvoir aider des indigents totalement isolés, dans un pays énorme.
Mais, le petit doigt à la couture du pantalon, le journaliste prend le ton éclairé de sous-entendus des parfaits abrutis doctrinaux. Pas étonnant que les bons peuples imaginent que tout va horriblement mal icon_evil
Ethiopie : les medias malades de gauchisme.
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