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par wesker » 04 juin 2018, 18:45:05
Un commissaire allemand, faisant suite à d'autres déclarations confirmaient qu'aucun résultat démocratique ne sauraient remettre en cause l'architecture et le cadre des traités européens, or en démocratie, ce qu'un peuple décide, un peuple doit pouvoir aussi décider, librement de nouvelles orientations.
Concernant les réactions moinétaires, elles paraissent être l'exécution d'un refus de discussion avec la nouvelle équipe gouvernementale pas davantage qu'une acceptation de la nouvelle majorité, or, en économie on doit fonder son jugement sur les perspectives présentées pas sur les idées défendues. Prétendre que seul le maintien dans lesz politiques contenues dans les traités seraient susceptibles d'apporter des résultats et agir afin que l'alternative ne puisse y aboutir relève d'un dogmatisme qui ne s'est vu qu'en Union soviétique à l'encontre de pays satellites qui, pourtant reprirent leur liberté car c'est cet attachement qui finit par prévaloir.
L'Italie reste un pays considérable et son poids politique ne pourra accepter qu'elle subisse les mêmes sanctions qui furent appliquées à la Grèce. Si tel devait être le cas, c'est l'Europe entière qui entrerait dans de sérieuses difficultés, non par la responsabilité de la nouvelle majorité mais par le non respect démocratique des dirigeants européens, dont la plupart, rappellons le, restent nommés. Alors lorsque les scrutins valident les orientations européens, nous devons nous y soumettre au nom des principes démocratiques, j'avoue ne pas bien comprendre les raisons pour lesquelles nous devrions refuser un résultat qui se prononcerait en défaveur de ces dernières.