Quand la Chine s'éveillera

Venez parler ici de l'actualité étrangère et européenne
Cobalt

Message non lu par Cobalt » 24 oct. 2010, 20:54:00

Golgoth a écrit :Zut je vais devoir rendre mon ordi et mon routeur, plus de forum icon_mrgreen
icon_biggrin ça m'étonnerait que tu ne te donnes pas la peine,ou alors je me trompe icon_biggrin
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Invité

Message non lu par Invité » 26 oct. 2010, 20:24:00

Bon,j me suis trompée !

enterrons la Chine...
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Cobalt

Message non lu par Cobalt » 29 oct. 2010, 14:48:00

La Chine revendique la première place du classement mondial des superordinateurs
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Le superordinateur Tianhe-1.Nvidia





Dans la course aux performances des super-calculateurs, la Chine a vraisemblablement détrôné, jeudi 28 octobre, les Etats-Unis. Conçu par deux cents ingénieurs, le Tianhe-1A ("voix lactée") est un superordinateur hébergé au National Center for Supercomputing, dans la ville de Tianjin, dans le nord-est de la Chine.
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Le système a une capacité de 2,507 pétaflops par seconde, soit l'équivalent de 2,5 millions de milliards d'opérations par seconde. Jusqu'à présent, c'était le système Jaguar, du département de l'énergie américain, qui disposait de la plus grande puissance de calcul, avec 1,75 pétaflops par seconde.
Le supercalculateur Tianhe-1A peut être utilisé dans de nombreux domaines, de la météorologie, à la recherche médicale. Il dispose de microprocesseurs Intel, de processeurs graphiques Nvidia, et de nouveaux processeurs conçus par les ingénieurs chinois, baptisés "FeiTeng-1000".
Avec ce nouveau superodinateur, la Chine se place pour la première fois devant les Etats-Unis. Cette course à la puissance est d'ailleurs devenue une priorité nationale, avec le lancement d'un vaste plan pour les technologies innovantes lancé en 2006 par les autorités chinoises.

NOUVEAU CLASSEMENT EN NOVEMBRE

Dans le classement mondial des cinq cents ordinateurs les plus puissants paru au mois de juin, la Chine avait déjà beaucoup progressé au niveau mondial, plaçant une de ses machines en deuxième position. Mis au point dans le centre national de Shenzhen, dans le sud de la Chine, Nebulae est utilisé pour des calculs scientifiques et le séquençage de gènes.
En juin, la Chine compte vingt-quatre machines dans le top 500, dont deux aux dix premières places. Et, si les Etats-Unis ne sont plus en tête, ils étaient largement présents, avec deux cent quatre-vingt-deux systèmes. Ces machines utilisent majoritairement des systèmes d'exploitation Linux.
Le prochain classement doit être dévoilé au mois de novembre.
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mps
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Message non lu par mps » 29 oct. 2010, 16:04:00

Chic, j'ai appris un mot : petaflops !  On dirait des bonbons sûrs ... Et angé goulument, puisqu'on les compte à la seconde icon_confused

Pour le reste, ceux qui pensent encore à la chine d'il y a 30 ans, produisant du junk, devraient se remettre à l'heure.  Et savoir qu'avec l'Inde, elle caracole en tête dans un  nombre croissant de hautes technologies.
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C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)

Cobalt

Message non lu par Cobalt » 08 nov. 2010, 06:38:00

WASHINGTON (Reuters) - Dans une décision historique, le conseil d'administration du Fonds monétaire international (FMI) a décidé d'augmenter les droits de vote des grandes économies émergentes et de faire de la Chine sa troisième puissance.

"Cet accord historique est le plus important changement dans l'histoire du FMI depuis 65 ans et la plus importante reconnaissance du rôle des marchés émergents dans l'économie mondiale", a commenté Dominique Strauss-Kahn, directeur général du FMI, lors d'une conférence de presse.

Aux termes de cet accord, six pour cent des droits de vote seront transférés des Etats développés vers les pays émergents "dynamiques".

Cela signifie que la Chine va désormais disposer au sein du FMI d'une influence supérieure à celle de la France, de la Grande-Bretagne et de l'Allemagne qui se partageaient la troisième place derrière le Japon et les Etats-Unis.

Cette modification va accroître l'influence des puissances comme l'Inde, le Brésil et la Russie et elle traduit un bouleversement de l'ordre économique mondial par rapport à celui hérité de la Seconde guerre mondiale.

Les Etats membres du FMI vont voter sur ce projet dans les prochaines semaines avec un taux d'approbation qui doit être supérieur à 85% et qui pour certains pays comme les Etats-Unis exige un vote législatif.

RECUL DE L'INFLUENCE EUROPÉENNE

L'adoption de la mesure quelques jours avant l'ouverture du sommet du G20 à Séoul possède une portée symbolique et elle traduit le recul de l'influence de l'Europe qui va devoir céder deux des huit ou neuf sièges dont elle dispose

Strauss-Kahn a indiqué qu'il ne pensait pas que le résultat des élections de mi-mandat cette semaine aux Etats-Unis soient de nature à modifier l'approbation de la réforme par Washington.

Les tensions demeurent fortes entre les Etats-Unis et la Chine avant l'ouverture du sommet du G20. Washington estime que le yuan demeure sous-évalué dans les échanges commerciaux et la Fed a annoncé qu'elle allait procéder à une politique monétaire offensive pour soutenir l'économie américaine.

Les observateurs estiment que l'administration Obama pourrait attendre que Pékin fasse un geste pour réévaluer le yuan avant de soumettre la réforme du FMI pour approbation au Congrès.

"Je pense que les réformes du FMI peuvent avoir une influence sur le comportement des autorités chinoises", a commenté Strauss-Kahn. "Ils souhaitent cette position. Ils souhaitent être mieux représentés au sein du FMI, ce qui confirme qu'ils sont attentifs aux relations multilatérales. Je souhaite qu'ils aient conscience de l'importance de leur rôle et qu'ils agissent en conséquences", a-t-il ajouté.

Lesley Wroughton, Pierre Sérisier pour le service français
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Message non lu par mps » 08 nov. 2010, 09:17:00

Ces réajustements sont tout à fait normaux.
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C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)

Cobalt

Message non lu par Cobalt » 08 nov. 2010, 10:04:00

On peut dire que tu t'y entends en monnaie !
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Message non lu par mps » 08 nov. 2010, 16:03:00

Je ne parlais pas de monnaies, mais de glissement du centre de gravité du monde vers des nouveaux venus coe lachine, l'Inde ou le Brésil.

L'Europe devra faire bien des effots pour rester à niveau, et les pays qui la composent, pris individuellement, ne représentent plus grand chose.
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C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)

Cobalt

Message non lu par Cobalt » 08 nov. 2010, 16:48:00

Tu en fais un brave de centre de gravité toi,non je rigole,c'est une expression de chez moi,et puis j'ai beaucoup lu Gionot ! Image
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Message non lu par FIFE » 08 nov. 2010, 17:09:00

Tu l'as lu sans même retenir l'orthographe de son nom ?
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Cobalt

Message non lu par Cobalt » 08 nov. 2010, 17:24:00

C'est tout ce que tu me trouves comme défaut,vai te coja ! icon_biggrin
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Message non lu par politicien » 08 nov. 2010, 18:35:00

Bonjour,

Merci de revenir au sujet, une fois de plus Cobalt, peux tu arrêter ces petites phrases, cela fait déjà 2 fois que je te le demande aujourd'hui, cela serait pas mal de répondre aux arguments d'autant que c'est toi qui a relancé le sujet.

A plus tard,
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Message non lu par Nombrilist » 10 nov. 2010, 16:28:00

Que dit Hu Jintao à ses collègues de retour en Chine ?

"On restait deux jours de plus, et on délocalisait la France !"
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Cobalt

Message non lu par Cobalt » 30 nov. 2010, 18:49:00

Le Pirée, porte d'entrée de la Chine en Europe07 juillet 2010 The Daily Telegraph Londres
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Embarcadère, Port du Pirée, Grèce.
AFP




Avec la récente signature d’un contrat de concession à 3,3 milliards d’euros dans le port du Pirée, la Chine a commencé à établir ses positions en Europe. Le Daily Telegraph a enquêté sur la stratégie d’investissement de l’Empire du Milieu dans des économies européennes qui cherchent à sortir de la crise.

Harriet Alexander

Golfis Yiannis demeure impassible sur le quai du port du Pirée, indifférent aux nuages de poussière que soulèvent des camions vrombissant ou au fracas des chariots élévateurs déchargeant d’immenses cargos. "C’est le nouveau Chinatown de l’Europe", lâche-t-il en pointant du doigt l’embarcadère à côté de lui. "Ce qui est sûr, c’est que nous avons vendu notre âme aux Chinois". L’embarcadère n°2, où Yiannis, 48 ans, travaille depuis 22 ans, est la copie conforme de l’embarcadère n°1, plus vaste, certes, mais flanqué des mêmes bateaux géants et recouvert des mêmes piles de conteneurs, semblables à d’énormes briques de Lego. Et pourtant, l’embarcadère n°1 est grec alors que l’embarcadère n°2 est chinois.

En juin, le géant public chinois Cosco a conclu un contrat de 3,3 milliards d’euros pour obtenir l’autorisation d’exploiter l’embarcadère n°2 pour les 35 prochaines années, s’engageant en échange à investir 564 millions d’euros dans la modernisation des équipements portuaires, la construction d’un troisième embarcadère et le quasi triplement de ses capacités de gestion des marchandises. Le port marchand, situé juste à côté de l’embarcadère où des milliers de touristes empruntent le ferry pour aller dans les îles, peut actuellement charger et décharger jusqu’à 1,8 million de conteneurs par an, soit 5 000 par jour.
Leur objectif : construire un port plus grand que celui de Rotterdam
 

A l’heure où bon nombre d’investisseurs fuient ce pays européen en déroute, la Chine y voit une occasion de renforcer sa présence en Europe et achète des actifs à bas prix dans des secteurs clés, s'ouvrant ainsi une porte d’entrée sur le marché européen. La stratégie des Chinois consiste à mettre en place un réseau de ports, de centres logistiques et de voies ferrées – version moderne de la Route de la Soie – pour distribuer leurs produits dans toute l’Europe, accélérer les échanges commerciaux entre l’Orient et l’Occident et profiter d’infrastructures hautement rentables sur le continent. Leur objectif : créer un port marchand plus important que celui de Rotterdam, aujourd’hui le plus grand d’Europe.
"Les Chinois veulent une porte d’entrée en Europe, explique Theodoros Pangalos, vice-Premier ministre grec. Ils ne sont pas comme les types de Wall Street qui n’investissent que sur le papier. Les Chinois sont dans le concret et leur présence va aider l’économie réelle du pays". Ce n’est pas la première fois que le malheur des uns fait le bonheur de la Chine. Forts d’une croissance économique inégalée et de la surévaluation du Yuan, les Chinois ont réalisé toute une série d’investissements controversés dans le secteur minier et certaines infrastructures en Afrique. D’après les critiques, ces opérations leur permettent d’extraire de précieuses matières premières avec peu de bénéfice pour l’économie locale.

Sur le port, les travailleurs s’inquiètent des conséquences à long terme de ce contrat de concession : la Chine a profité d’un moment de faiblesse de l’économie nationale pour s’y tailler une part importante dans un secteur vital. Depuis son bureau avec vue sur le port et la forêt de tours qui recouvrent les collines du Pirée, Georges Nouhoutides, le président du syndicat des dockers, juge ce contrat "catastrophique". "Quand un contrat est conclu entre un pays riche et un pays surendetté, qui, selon vous, est en position de dicter ses conditions ? La Chine veut faire du 'made in Europe' avec des exemptions d’impôts, des conditions privilégiées et tant pis pour les intérêts grecs".
Nouhoutides, qui est né à deux pâtés de maisons du port et y a travaillé pendant 34 ans, ajoute : "Ils sont malins, ils ont 1,5 milliard d’esclaves et de l’argent à ne plus savoir qu’en faire, évidemment qu’ils veulent s’implanter sur nos marchés. C’est une catastrophe pour tous les travailleurs, pas seulement les Grecs". Katinka Barysch, vice-présidente du Centre for European Reform, un centre de réflexion basé à Londres, ne juge pas les investissements chinois aussi "prédateurs". " Il y a peu de risque que Cosco se comporte en Grèce comme certaines entreprises chinoises dans l’industrie minière ou pétrolière en Afrique, explique-t-elle. La Grèce fait partie de l’Union européenne, les cadres juridiques y sont beaucoup plus contraignants. Il y a des limites claires à ce que les investisseurs étrangers peuvent et ne peuvent pas faire"
La première strate d'une vaste stratégie d'implantation sur les marchés européens
Les investissements chinois dans le port du Pirée ne sont que la première strate d’une vaste stratégie d’implantation sur les marchés européens. A l’heure où certains pays comme l’Espagne, le Portugal et l’Irlande se débattent avec leur dette publique, la Chine lorgne sur ces opportunités d’investissement potentiellement irrésistibles. Ce mois-ci, un groupe d’entrepreneurs chinois espère obtenir l’autorisation de développer un projet de 48 millions d’euros à Athlone, dans le centre de l’Irlande, afin de construire un centre de production d’articles chinois comprenant des appartements, des écoles, des transports ferrés et des usines. Le projet prévoit de faire venir 2 000 travailleurs chinois pour ériger le site - déjà surnommé le "Pékin sur Shannon" - où devraient également travailler 8 000 Irlandais.

Le port du Pirée ne marque peut-être que le début des ambitions chinoises en Grèce. D’ici la fin de l’année, la Chine devrait faire une proposition conjointe avec une entreprise grecque afin de créer un centre logistique de 200 millions d’euros à Attica, non loin du port du Pirée, destiné à distribuer les produits venant de Chine vers la région des Balkans et le reste du continent. Les Chinois négocient également pour entrer au capital de la compagnie ferroviaire publique en difficulté. La position stratégique du port du Pirée, proche du Bosphore, en fait également une voie d’accès sur les pays de la mer Noire, l’Asie centrale et la Russie.
Si les Chinois se mêlent incontestablement des affaires grecques, leur présence physique n’en reste pas moins limitée. Dans le quartier immigré d’Omonia, en bas de la colline, où des supermarchés chinois vendent des bijoux en plastique d’un goût douteux, des produits pour la maison et des vêtements en nylon, les rares Chinois que l’on croise dans la rue affirment n’avoir jamais entendu parler de Cosco avant de prendre la poudre d’escampette. Dans les bureaux de Cosco surplombant le terminal passager des bateaux de croisière, les 45 membres du personnel expliquent que seul le président et le directeur financier sont chinois. Dans les bureaux du terminal portuaire, sur les 250 employés, seuls 10 cadres de l’administration et du management sont chinois.

Les Chinois n’en prennent pas moins leurs quartiers en Europe. Et à en juger par la masse de capitaux qu’ils détiennent, ainsi que leur soif d’ambition, il est probable qu’ils réussissent. Récemment interviewé par une chaîne de télévision grecque, le PDG de Cosco, Wei Jiafu, a déclaré : "Je suis venu redonner au port du Pirée sa position d’antan. J’espère en faire le port marchand le plus important de Méditerranée d’ici un an. Il y a un dicton en chinois qui dit : 'Construis le nid de l’aigle et l’aigle viendra'. Nous avons construit ce nid dans votre pays pour attirer les aigles chinois. C’est le cadeau de la Chine à la Grèce".

la Chine en plus de se payer la Grèce fait venir une main d'oeuvre étrangère payé 40 euros par jour,d'autre docker juste en face n'ont plus de travail et ne veulent pas travailler pour les chinois au vu du salaire,proposé ainsi que des normes de sécurité douteuse,le salaire quotidien d'un docker Grec et de 80 euros !

Alors dans 50 ans nous serons chinois ou pas ?
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GIBET
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Message non lu par GIBET » 01 déc. 2010, 02:20:00

Nombrilist a écrit : Cobalt, c'est beaucoup trop long. Si tu pouvais résumer en 10 lignes, ce serait parfait.
:D :D :D plutôt 12 lignes quand même ...c'est la Chine :mrgreen:
Modifié en dernier par GIBET le 28 oct. 2010, 19:21:00, modifié 1 fois.
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