La succession de Dominique Strauss-Kahn à la tête du Fonds monétaire international est déjà discutée en coulisses, sachant qu'il lui reste moins de trois mois à la tête de l'institution s'il vise l'élection présidentielle en France.
Le conditionnel reste de mise: "DSK" démissionnerait de son poste d'ici au 13 juillet s'il briguait l'investiture du Parti socialiste. Mais le FMI et son directeur général ont beau esquiver toute question sur le sujet, les préparatifs d'un retour à Paris sont de plus en plus voyants.
Depuis quelques semaines, la presse du monde entier spécule moins sur la question du départ du directeur général du FMI que sur le nom de son remplaçant.
http://www.lepoint.fr/politique/fmi-la- ... -discutee-…
L'hypothèse d'une démission en juin deviendrait donc probable.