Dette : l’économie US au bord du gouffre

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El Fredo
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Message non lu par El Fredo » 18 juil. 2011, 22:04:00

mps a écrit :Les USA ont de la capacité, à commencer par brider les dépenses faramineuses et insouciantes du plus mauvais président qu'ils aient jamais eu .
Tu parles bien entendu de George W. Bush icon_mrgreen
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Message non lu par mps » 19 juil. 2011, 10:01:00

Au fait tu n'aimes pas Obama parce qu'il est noir c'est çà ? Et pas un blanc ultrareligieux comme GWB ?

A cette remarque d'une grande finesse, je ne peux répondre que par une autre question : un c.. est-il moins c.. s'il est noir ?

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Message non lu par El Fredo » 19 juil. 2011, 11:01:00

Dans ce cas, GWB est-il meilleur ou pire qu'Obama à tes yeux ?
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Message non lu par politicien » 19 juil. 2011, 11:45:00

Bonjour,


 
Dette américaine: le Sénat travaille à un "plan B"

La guerre de tranchées sur le relèvement du plafond de la dette américaine se poursuit cette semaine au Congrès où des élus travaillent à un "plan B" pour contourner le blocage et éviter un défaut de paiement des Etats-Unis après le 2 août.
L'impasse politique demeurait lundi malgré des avertissements la semaine dernière des agences de notation, des pressions de la Chine, des mises en garde de l'administration contre une apocalypse en cas de factures impayées par l'Etat fédéral. Lundi matin, le secrétaire américain au Trésor, Timothy Geithner, a pourtant assuré qu'un accord serait signé. "Personne ne va jouer aux imbéciles sur ce sujet", a-t-il assuré sur la chaîne CNBC, affirmant une nouvelle fois qu'un défaut de paiement serait "catastrophique" pour le pays.

Au Sénat, le chef de la majorité démocrate, Harry Reid, a pris la question au sérieux lundi en décrétant que la chambre haute resterait en session "chaque jour, y compris les samedis et dimanches, (...) jusqu'à ce que le Congrès adopte un projet de loi qui empêche les Etats-Unis de se dérober à ses obligations".
Face au blocage, M. Reid et son collègue républicain Mitch McConnell tentent une opération de la dernière chance pour parvenir à une formule acceptable par les deux bords. Ce "plan B" accorderait au président le pouvoir d'augmenter en trois fois le plafond de la dette de 2.500 milliards de dollars d'ici l'année prochaine. Mais elle lui laisserait seul la responsabilité -et le risque politique- d'un relèvement du plafond de la dette.

Le plan du Sénat pourrait aussi comporter des réductions de dépenses à hauteur de 1.500 milliards de dollars sur 10 ans, des mesures sur lesquelles les deux camps sont d'accord. La mouvance ultraconservatrice du "tea party", très influente à la Chambre, a toutefois condamné ce plan de repli.
De son côté, le porte-parole de la Maison Blanche, Jay Carney, a assuré que le président continuait à "appeler au plus large accord possible". Mais, selon M. Carney, le président souhaite s'assurer qu'il existe "un plan de repli" tel que celui du sénateur McConnell, même si ce plan n'est pas sa préférence. Cette solution pourrait être examinée dès le milieu de la semaine.

Mais avant cela, mardi, la Chambre des représentants se prononcera sur la dernière proposition des républicains, intitulée: "Réduire, plafonner, équilibrer". Ce texte symbolique, qui devrait être rejeté par le Sénat à majorité démocrate, imposerait notamment un amendement à la Constitution pour que le budget fédéral soit à l'équilibre, ainsi que de fortes réductions budgétaires.
L'échec programmé de ce plan ne fera que souligner le fossé entre les démocrates, qui réclament une politique de réduction des déficits axée sur davantage de recettes fiscales, et les républicains, qui ne veulent pas entendre parler de hausses d'impôts mais seulement de réductions budgétaires draconiennes. La Maison Blanche a enfoncé le clou lundi en prévenant que M. Obama opposerait son veto à ce texte, dans le cas hautement improbable où le Sénat l'approuverait.

Le républicain John Boehner s'est dit "déçu" lundi dans un communiqué au sujet de la menace du président, en accusant la Maison Blanche de manquer de "sérieux" et d'éviter les décisions difficiles. "Nous faisons des progrès", a toutefois affirmé le président Obama lundi lors d'une brève entrevue avec la presse.
Selon un sondage CBS News publié lundi, 71% des Américains désapprouvent la façon dont les républicains du Congrès mènent les négociations. Les démocrates enregistrent eux un score négatif de 58%. Depuis la mi-mai, la dette fédérale américaine, à 14.294 milliards de dollars, a atteint le maximum autorisé, un problème que le Trésor ne parvient à contourner que grâce à des tours de passe-passe de courte durée.

L'express
 
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Message non lu par wesker » 19 juil. 2011, 13:38:00

mps a écrit : icon_biggrin  Le Président, c'est "après nous les mouches". Il ne calcule rien du tout que sa prochaine campagne.

Comme le nôtre alors ?
Pourquoi dénigrer une politique américaine au seul prétexte qu'elle ne te convient pas. Les Etats Unis doivent affronter la pire crise de leur histoire et les difficultés économiques se répandent sur le monde non protégé économiquement.

Alors, au lieu de critiquer l'équipe américaine, commence par te montrer aussi critique sur certaines orientations. TU n'as pas la compétence pour juger des choix des ministres américains, c'est ce que tu reproches aux autres qui peuvent, démocratiquement exprimer des réserves ou des critiques sur les choix gouvernementaux. Tu admets donc que les gouvernants peuvent aussi faire de mauvais choix, jamais tu n'aurais dit cela si cela avait été un Président dont la couleur politique te convient.

Cesses donc tes couinements !
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Message non lu par mps » 19 juil. 2011, 16:23:00

Et gnagna gni et gnagagan ...

Je ne reproche pas à Obamoche sa politique, mais son absence totale de politique.

Cette marionnette pastronne, mais n'a aucune ligne directrice et ne fédère personne.
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Message non lu par wesker » 20 juil. 2011, 13:25:00

Ce sont des couinements sans intérêts.

Obama doit gérer une situation économique de crise, tout comme l'Europe et la France doivent faire face aux dangers de la récession et du surdenttement.

Obama et son équipe ont des experts, une banque centrale qui veille etc...même si l'agitation est moins importante que celles de nos dirigeants.

Les Etats Unis parviendront à relever ce défi tandis que nous persisterons à nous enfoncer dans la crise, par conséquent, au lieu de me soucier des ententes que les politiciens américains parviennent à nouer ou pas, je préfère me concentrer sur des solutions sur lesquelles, en tant que citoyen, j'ai un droit de regard.

La situation de la dette est préoccupante et justifierait la cessation de dépenses inutiles, c'est tout le contraire qui se fait, ici comme la bas.
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Message non lu par mps » 20 juil. 2011, 17:26:00

Obama fera ce que décide le Congrès, point barre.

Ses petites menaces, tout le monde s'en tape. Il faut sauver les USA, avant de faire la campagne de ce farfelu éthéré.
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Message non lu par wesker » 21 juil. 2011, 13:19:00

Encore l'expression d'une défiance à l'encontre de la classe politique.

Ce qui est intéressant est de savoir si les Républicains et les démocrates ont réussi à trouver un acords pour relever le plafond de la dette ou s'ils préfèrent prendre le risque évoqué par le Gouvernement et les agences de notation de voir leur note de capacité de remboursement dégrader.

Très objectivement, cette question de l'endettement américain trasncende les clivages entre ceux qui veulent éviter une plongée dans l'abyme et de l'autre ceux qui refusent de poursuivre sur la voie de l'inconséquence budgétaire.
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Message non lu par mps » 21 juil. 2011, 16:53:00

Laisse faire le Congrès, qui s'orientera évidemment vers une option moins dichotomique.
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Message non lu par politicien » 21 juil. 2011, 21:34:00

Bonjour,


 
 
Pendant que l'Europe tente de trouver une issue à la crise, les négociations sur la dette américaine sont au point mort. La Maison Blanche a déclaré jeudi n'avoir "pas de progrès à annoncer" dans les négociations pour relever le plafond de la dette américaine, après des informations de presse affirmant qu'un accord était proche entre le président Barack Obama et ses adversaires républicains.
"Il n'y a aucun progrès à annoncer (...) nous ne sommes pas proches d'un accord", a dit le porte-parole de Barack Obama, Jay Carney, tout en estimant qu'un accord restait possible à 12 jours de la date butoir du 2 août, après laquelle les Etats-Unis risquent un défaut de paiement.
De son côté, le bureau de John Boehner a également démenti tout accord à l'heure actuelle. "Si les lignes de communication restent ouvertes (avec la Maison Blanche), il n'y a pas d'accord ni de progrès à annoncer", a indiqué un porte-parole.
Challenges
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Message non lu par mps » 22 juil. 2011, 12:33:00

Heureusement que la Congrès cadre la situation.

Obama ne connait que la planche à billets et son bon plaisir.
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Message non lu par wesker » 22 juil. 2011, 13:20:00

Certes, mais ne rêve pas, les ministres compétents et l'opposition raisonnable finiront par trouver un accords pour éviter l'enlisement. LEs conséquences économiques étant considérables, y compris en période électorale, je doute qu'aucune des forces en présence ne souhaitent en prendre la responsabilité.

En revanche, ils chercheront aussi le moyen de faire prévaloir les compromis obtenus afin de préserver leur électorat.
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Message non lu par politicien » 23 juil. 2011, 13:52:00

Bonjour,


 
 
Barack Obama et les représentants républicains n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur un plan de réduction de la dette américaine. A onze jours d'une échéance cruciale, chacun fait monter la pression.
La menace d'un défaut de paiement américain s'est brusquement aggravée, vendredi soir, quand les républicains de la Chambre des réprésentants ont claqué la porte des négociations avec Barack Obama, qui a immédiatement convoqué une réunion d'urgence ce samedi.

Dans une lettre à ses collègues, le président de la Chambre, le républicain John Boehner, a annoncé qu'il mettait fin à ses discussions avec le président américain, faute d'avoir pu trouver un terrain d'entente avec lui en raison de "visions différentes pour notre pays". 
Au cours d'une conférence de presse convoquée à la hâte, Barack Obama a confirmé, ouvrant un nouvel épisode dans le conflit qui oppose plusieurs semaines la Maison Blanche et le Congrès
Les traits crispés par une colère froide, il a annoncé qu'il convoquait les responsables du Congrès ce samedi matin à la présidence, pour une énième séance de négociations. "Il va falloir qu'ils m'expliquent la façon dont nous allons éviter un défaut de paiement", a-t-il grondé.

Malgré l'aggravation brutale de la situation, le président a répété qu'il restait "confiant dans le fait que nous aurons un relèvement du plafond de la dette" avant la date butoir du 2 août, évoquée par le Trésor. 
Déterminé à éviter cette extrémité, Barack Obama a assuré qu'il était prêt à prendre seul la responsabilité politique de relever le plafond de la dette. 
Mais il a aussi exigé que ce relèvement soit suffisant pour ne pas avoir à être renouvelé avant 2013, c'est à dire après la présidentielle de novembre 2012 à laquelle il est candidat. 
"Je ne pense pas que cela soit assez. Je pense que nous devrions faire plus", a-t-il toutefois regretté. 
Un haut responsable de la Maison Blanche, s'exprimant sous couvert de l'anonymat, a ensuite souligné le danger que la dette fédérale faisait courir aux Etats-Unis.

"Il existe une perspective très réelle de voir la note (de la dette) des Etats-Unis abaissée (par les agences de notation), non pas à cause de l'échec d'un relèvement du plafond de la dette, mais parce que nous échouerions à prendre des mesures sérieuses pour contrôler notre déficit", a-t-il prévenu. 
En outre, Barack Obama a averti le Congrès que "Wall Street allait ouvrir lundi et que nous ferions mieux de trouver des réponses dans les prochains jours". "Les Américains sont excédés" par l'incapacité du Congrès à agir, a-t-il lancé. 
Le président a assuré que le marché qu'il avait proposé aux républicains était "extraordinairement juste". Il a insisté sur la nécessité d'augmenter les recettes fiscales, alors que ses adversaires républicains ne voulaient entendre parler que de coupes. 
"Le président est catégorique sur la nécessité d'augmenter les impôts. En tant qu'ancien patron d'une PME, je sais que les augmentations d'impôts détruisent les emplois", lui avait répondu à l'avance John Boehner, dans son courrier. 
Mais le chef républicain n'a pas fermé la porte à toute négociation. Il a assuré qu'après avoir mis fin aux pourparlers avec le président, il allait entamer "des discussions avec les leaders du Sénat en vue de trouver une solution". 
Il s'est, lui aussi, dit "convaincu" que les Etats-Unis ne se retrouveraient pas en défaut de paiement de leur dette dans 11 jours.

John Boehner a ensuite déploré que le président Obama ait "insisté sur des augmentations d'impôts". Pour lui, un accord était conclu sur la question des recettes. Mais "le président a demandé 400 milliards supplémentaires" en augmentations fiscales. 
Avant ces développements, vendredi, le secrétaire au Trésor Tim Geithner et le président de la banque centrale des Etats-Unis (Fed) Ben Bernanke se sont rencontrés "pour discuter des implications pour l'économie américaine si le Congrès n'agit pas", selon le ministère. 
Les responsables s'étaient toutefois dit "convaincus que le Congrès relèvera le plafond de la dette bientôt". 
La présidente brésilienne Dilma Rousseff a quant à elle considéré vendredi qu'il était "absurde" de penser que les Etats-Unis puissent se retrouver en défaut de paiement, tout en se disant attentive et prête à prendre des "mesures drastiques" si nécessaire.



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Message non lu par wesker » 23 juil. 2011, 14:30:00

Je pense que les Etats Unis finiront par trouver un accords car l'onde de choc d'un défaut de paiement ou d'une dégradation de la note auraient des conséquences sur l'économie mondiale et pénaliserait gravement l'économie américaine.

En revanche, ce que je trouve inquiètant est la situation et la persévérance des élites dans le système mondialiste qui répand et mutualise des faiblesses. IL faut en revenir aux nations, aux partenariats, c'est ce qui permettra, certes à certains de se gaver un peu moins mais à l'ensemble de vivre mieux.
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