Les Etats-Unis perdent leur triple A

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El Fredo
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Message non lu par El Fredo » 08 août 2011, 12:16:00

Tiens, qu'est-ce que je disais :

http://www.latribune.fr/actualites/econ ... 8trib00064…
Le yuan à son plus haut face à un dollar pénalisé par S&P

Après la dégradation de la note américaine par S&P, la monnaie chinoise a atteint un nouveau plus haut historique face au dollar, ce lundi. Le cours "spot" du yuan a touché un plus haut à 6,4268, contre 6,4404 son cours de clôture de vendredi.
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wesker
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Message non lu par wesker » 08 août 2011, 13:53:00

Les craintes, excessives, sur la capacité de remboursement des Etats Unis pèsent sur les marchés mais c'est les tensions sur l'économie réelle qui sont autrement préoccupante. La consommation des Etats Unis ne fonctionne essentiellement que par l'endettement, or une hausse des taux d'intérêts, possible à la suite de la dégradation de la note, aurait des conséquences sur l'économie mondiale, fortement intégré à celles des Etats Unis. Dès lors, l'austérité qui est la seule voie envisagée de remboursement des dettes présentent des risques conséquents. L'autre alternative est une austérité moins dure, étalée dans le temps et la réorientation des économies pour mettre fin au mondialisme qui ruine les économies. Retrouver aussi le long terme comme horizon économique en taxant les mouvements spéculatifs de court terme afin d'inciter les investisseurs à s'engager sur une durée de détention des titres d'une part et de s'impliquer davantage dans les stratégies d'entreprises d'autres part.

C'est aussi par l'implication des actionnaires qu'on évite de confier la gestion des entreprises à des managers qui ne visent qu'à satisfaire, la spéculation à court terme.

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mps
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Message non lu par mps » 08 août 2011, 16:12:00

Mdrf.

"les USA ne fonctionnent que par l'endettement"'  icon_biggrin icon_biggrin icon_biggrin

Jamais l'épargne n'a été aussi élevée aux USA !

http://lecercle.lesechos.fr/node/31038
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Message non lu par Nombrilist » 08 août 2011, 16:13:00

Et jamais l'endettement aussi faible !

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El Fredo
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Message non lu par El Fredo » 08 août 2011, 16:25:00

mps a écrit :Mdrf.

"les USA ne fonctionnent que par l'endettement"'  icon_biggrin icon_biggrin icon_biggrin

Jamais l'épargne n'a été aussi élevée aux USA !

http://lecercle.lesechos.fr/node/31038
Trappe à liquidités = taux d'intérêts faibles et épargne élevée. Et épargne des ménages élevée = consommation faible = capacités sous-utilisées = trésorerie des entreprises élevée = investissements faibles = économie bloquée.
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Cobalt

Message non lu par Cobalt » 08 août 2011, 17:14:00

El Fredo a écrit :
mps a écrit :Mdrf.

"les USA ne fonctionnent que par l'endettement"'  icon_biggrin icon_biggrin icon_biggrin

Jamais l'épargne n'a été aussi élevée aux USA !

http://lecercle.lesechos.fr/node/31038
Trappe à liquidités = taux d'intérêts faibles et épargne élevée. Et épargne des ménages élevée = consommation faible = capacités sous-utilisées = trésorerie des entreprises élevée = investissements faibles = économie bloquée.
Donc c'est pas bon ?

Parce que je n'ai rien compris à ton message sur le Yuan...

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mps
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Message non lu par mps » 09 août 2011, 08:09:00

Trappe à liquidités = taux d'intérêts faibles et épargne élevée. Et épargne des ménages élevée = consommation faible = capacités sous-utilisées = trésorerie des entreprises élevée = investissements faibles = économie bloquée.


Taux d"intérêts faibles = vol des intérêts légitimes (taux sous l'inflation) mais disponibilités pour les investissements.

Epargne élevée = importantes disponibilités pas chères pour ces investissements.

Donc, aucune envie pour les entreprises de garder une trésorerie élevée et de réfréner leurs investissements.

Un peu moins de conso des particuliers, mais une stabilité financière accrue.
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politicien
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Message non lu par politicien » 09 août 2011, 08:43:00

Bonjour,


 
Le président américain, tenu d'intervenir après un week-end de doutes, a néanmoins reconnu que la question des déficits était désormais cruciale. Image


Trois jours après la perte du AAA attribué par l'agence Standard & Poor's, les Américains se sont réveillés sous le choc lundi de ce qu'ils perçoivent comme une véritable humiliation nationale tandis que les deux partis se rejettent la faute.
(...)
«Les États-Unis mériteront toujours le AAA», a- t-il déclaré, en y voulant pour preuve que les investisseurs avaient continué à acheter de la dette du Trésor, lundi. Citant Warren Buffett, le célèbre investisseur, il estime même que «les États-Unis méritent un quadruple A!».

Une arme politique 
Pour autant, Barack Obama a reconnu que la question des déficits était désormais cruciale et a assuré qu'il ferait des propositions pour y répondre dans les prochaines semaines. Il a réitéré sa volonté de réformer le système fiscal américain, ce qui nécessitera une hausse des impôts pour les plus riches, et consenti à amender, à la marge, sa réforme de la sécurité sociale (medcare) jugée trop coûteuse par bon nombre d'économistes. Il a également appelé tour à tour Silvio Berlusconi, le chef du gouvernement italien, et José Luis Zapatero, le premier ministre espagnol, pour évoquer la nécessité d'une action coordonnée afin d'éviter un ralentissement de l'économie mondiale.
(...)

«Cette dégradation, c'est celle du Tea Party, parce qu'une minorité de gens est allée contre la volonté de la majorité des républicains», a asséné le sénateur démocrate John Kerry.
Côté républicain, on a rejeté la faute sur Barack Obama. «Je reconnais qu'il y a des dysfonctionnements, mais ils viennent en grande partie de l'échec du président à diriger le pays. Les républicains ne contrôlent qu'un tiers du gouvernement», a indiqué le sénateur John McCain.
L'ancien directeur de la Réserve fédérale, Alan Greenspan, a offert sa propre lecture, dimanche sur la chaîne NBC. «Ce n'est pas une question d'évaluation des agences de notation. Il y a zéro chance que les États-Unis tombent en défaut de paiement (…). Ce que S & P a fait, c'est toucher une corde sensible. Il heurte la fierté de l'Amérique», a-t-il déclaré.

Retrouvez l'intégralité de cet article sur Le Figaro.fr => http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011 ... G00483-pou…
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Message non lu par El Fredo » 09 août 2011, 09:30:00

mps a écrit :Taux d"intérêts faibles = vol des intérêts légitimes (taux sous l'inflation) mais disponibilités pour les investissements.

Epargne élevée = importantes disponibilités pas chères pour ces investissements.

Donc, aucune envie pour les entreprises de garder une trésorerie élevée et de réfréner leurs investissements.

Un peu moins de conso des particuliers, mais une stabilité financière accrue.
Ton modèle est faux puisque les entreprises US accumulent des montagnes de cash, au point que la Bank Of New York Mellon envisage de taxer leurs dépots icon_mrgreen
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Message non lu par wesker » 09 août 2011, 10:34:00

L'épargne des entreprises est mauvais signe puisqu'elle reflète l'absence d'investissements de ces dernières. Or l'investissement est un des piliers fondateurs de la croissance. Par ailleurs, mps, que tu le veuilles ou non, les ménages américains bénéficient du crédit facile pour soutenir la consommation, une hausse des taux d'intérêt se traduirait mécaniquement par un ralentissement de la consommation.
Privé de consommation et d'investissement des entreprises qui épargnent, les Etats Unis entreront alors en récession avec des conséquences pour l'économie mondiale que les bourses de ce matin commencent à anticiper, certes avec exagération.

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Message non lu par mps » 09 août 2011, 11:35:00

En vrac : le sccop du jour, c'est Obama qui nie la dégradation des USA par une profession de foi ne reposant sur rien. Normal, il a fait sa carrière comme joueur de poker, ne l'oublions pas.

Les montagnes de cash des entreprises indiquent d'abord qu'elles font des bénéfices, ce qui est excellent.
 
Leurs investissements leur semblent suffisants pour l'instant, et elles se réservent une marge d'action importante.

Excellente gestion.

Si nos Etats avaient fait pareil, tout baignerait dans l'huile ...
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Message non lu par wesker » 09 août 2011, 13:09:00

L'Etat français géré durant 8 ans par l'UMP aurait dû être gérée comme une entreprise selon toi mais un Etat ne se gère pas ainsi. Un Etat finance des investissements que le privé n'est pas en mesure de réaliser, un Etat impulse une dynamique économique indispensable à l'activité mais doit aussi être doté d'une orthodoxie budgétaire et de plan de desendettement, ce que les gouvernants n'ont jamais voulu faire durant plus de 30 ans et plus particulièrement ces 10 dernières années....

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Message non lu par mps » 10 août 2011, 08:43:00

Et Marine fera mieux ... icon_biggrin icon_biggrin icon_biggrin
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)

Cobalt

Message non lu par Cobalt » 10 août 2011, 08:58:00

Personne ne fera mieux,elle ,elle fera juste pire,avant il suffisait de détricoté ceux qu'un président avait fait,maintenant allez détricoter ceux qu'a fait le monde....

Cobalt

Message non lu par Cobalt » 10 août 2011, 09:33:00

 
La stratégie chinoise du yuan ruine les finances en Occident
Point de vue | Image
par Antoine Brunet, président de AB Marchés






Mi-2007 éclatait la crise des pays occidentaux. Mi-2009, ceux-ci sortaient de leur récession mais ne se débarrassaient pas pour autant de la crise qui restait la leur. Mi-2011, leur situation vient même de rebondir sous forme d'une crise conjointe de leurs finances publiques qui menace maintenant de les faire rechuter en récession...

En face, la Chine manifeste une santé insolente : trente-troisième année d'affilée sans récession, une croissance du produit intérieur brut (PIB) à 10 % l'an depuis vingt ans, un chômage qui ne cesse de reculer, des réserves de change, qui, tout compté, dépassaient déjà 4 500 milliards de dollars (3 165 milliards d'euros) à la fin du mois de juin 2011...
Ce contraste s'explique par l'énorme sous-évaluation du yuan infligée par la Chine à ses partenaires et rivaux. Grâce à un contrôle des changes draconien qui n'est accessible qu'aux Etats totalitaires, la Chine maintient le yuan à 0,15 dollar et à 0,11 euro, quand, selon le Fonds monétaire international (FMI) et l'ONU, il devrait valoir 0,25 dollar et 0,21 euro !
Les pays occidentaux sont restés totalement passifs face au cours du yuan que leur dicte la Chine. Depuis que, en 2001, ils ont admis la Chine à l'Organisation mondiale du commerce (OMC), armée de son contrôle des changes, ils se sont privés, il est vrai, de la seule arme qui pourrait la faire céder : les représailles douanières.
Il en a résulté à la fois une désindustrialisation majeure des pays occidentaux et une industrialisation intense de la Chine.
La main-d'oeuvre en Chine étant la moins chère au monde, les entreprises qui y sont basées s'emparent de parts croissantes du marché mondial tandis que les multinationales occidentales viennent concentrer leurs investissements productifs sur le territoire chinois. Ce qui renforcera encore les parts du marché mondial captées par la Chine...
Dans les pays occidentaux, le processus de croissance s'est enrayé. Leur commerce extérieur est devenu fortement déficitaire et le montant de l'investissement des entreprises sur leurs territoires ralentit fortement. De ce fait, depuis 2001, les économies occidentales sont exposées à subir une récession prolongée (parce que structurelle et due au yuan).
A deux reprises pourtant, en 2002 puis en 2008, les mêmes dirigeants occidentaux qui restaient passifs sur le yuan ont prétendu découvrir une parade qui leur permettrait de maintenir une croissance honorable et durable. Ces parades successives étaient en réalité des artifices qui leur ont explosé à la figure.
Entre 2002 et 2006, l'apprenti sorcier Alan Greenspan, alors président de la Réserve fédérame (Fed), opta pour une politique prolongée de taux bas pour décourager les ménages de l'épargne et les inciter à l'achat de logement à crédit.
Expédient désastreux ! Pendant quatre ans, le PIB et l'emploi dans les pays occidentaux furent certes tirés par un secteur immobilier devenu euphorique. Mais, après ce succès limité et momentané, l'euphorie induisit des excès qui aboutirent, comme on le sait, à un redoutable effet boomerang. A compter de mi-2007 éclatent, aux Etats-Unis et en Europe, une triple crise immobilière, bancaire et boursière, une récession et une explosion du chômage qui s'avérèrent d'une ampleur historique. Au total, des dégâts très supérieurs à l'avantage initial... Un premier fiasco absolu.
Fin 2008, après avoir rétabli la confiance par quelques mesures exceptionnelles dans le secteur bancaire, les dirigeants occidentaux renoncèrent une nouvelle fois à extraire de la Chine la forte réévaluation du yuan, ce qui était pourtant la seule vraie solution pour redresser durablement leur commerce extérieur, leur PIB et leur emploi.
D'autres apprentis sorciers surgirent, proposant une nouvelle parade. Après la première réunion du G20 de novembre 2008, Timothy Geithner, secrétaire américain au Trésor, et Ben Bernanke, le président de la Fed, optèrent pour une politique de relance budgétaire massive (déficit aux Etats-Unis autour de 10 % du PIB en 2009, 2010 et 2011) assortie de taux courts et de taux longs maintenus très bas.
Les autres pays occidentaux se livrèrent eux aussi à une relance massive, en 2009, qu'ils ne modérèrent que très peu en 2010 et en 2011.
Le succès fut de courte durée. Cette relance sortit certes les pays occidentaux de leur récession franche à compter de l'été 2009. Mais, dès l'été 2010, il s'avéra que cette relance n'induisait qu'une reprise trop molle pour que la croissance s'auto-entretienne.
Désormais, il est vrai, la croissance n'était plus seulement pénalisée par le commerce extérieur et l'investissement des entreprises mais aussi par l'investissement immobilier et par une hausse inopportune de l'épargne des ménages due à un chômage durablement élevé.
Mais il y a pire. Cette relance budgétaire longtemps trop forte a fini par enclencher une crise des finances publiques occidentales. L'étincelle qui mit le feu a surgi en Grèce après les élections d'octobre 2009. Mais le Portugal et l'Irlande, l'Espagne et l'Italie, la Belgique, l'Autriche, la France et par ailleurs le Japon, le Royaume-Uni et les Etats-Unis partagent tous en réalité avec la Grèce une même configuration : une dynamique très inquiétante de leurs finances publiques et une croissance très modeste de leur PIB.
Cette configuration a fait déraper leurs ratios dette publique/PIB. Ceux-ci approchent les seuils qui inquiètent les agences de notation quant à la remboursabilité de la dette publique. Les investisseurs se portent vendeurs des obligations d'Etat. Cela fait baisser leurs cours et monter leurs rendements.
Une crise de confiance dans les signatures souveraines occidentales vient de s'enclencher. Une fois encore, l'effet boomerang final s'avère très supérieur à l'avantage initial. Un deuxième fiasco absolu.
Le moment est venu de tirer le bilan. La Chine capitalise la stratégie qu'elle a amorcée en 1989, et elle se réjouit de nous avoir déstabilisés sur tous les plans : commercial, économique, social, financier, monétaire, technologique, militaire, diplomatique... Notre capitulation face à elle aboutit maintenant à notre déstabilisation.
Les politiques compensatoires successives ont échoué lamentablement et ont en réalité accentué gravement notre déstabilisation. Preuve est ainsi faite que le pacifisme monétaire face à la Chine est une impasse totale.
Pour que la crise de 2007 ne devienne pas une nouvelle crise de 1929, il faut maintenant renverser le jeu. Il faut se mobiliser pour faire céder la Chine sur sa politique du yuan. Il suffit pour cela de préparer sérieusement et collectivement des représailles douanières à son encontre.
Faute d'une telle initiative, les pays occidentaux s'enfermeront rapidement dans une spirale de déclin économique et financier qui les amènera à se retrouver chacun durablement asservi à la Chine et au Parti communiste qui la dirige depuis 1949.

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