@ Nombrilist :
Amha, ce genre de sondage ne veut absolument rien dire... dans la mesure où - de toute façon - le président des Etats-Unis n'est pas élu au suffrage universel direct, et dans la mesure où il faudrait en fait voir comment se ventilent - Etats par Etats - ces 45 à 50% déclarés.
Sinon, il est vrai que ces chiffres sont étonnants. Vu la situation économique des Etats-Unis, l'état de délabrement d'un parti républicain actuellement en pleins déchirements et ce que l'on sait ici de la situation aux Etats-Unis, c'est tout de même assez surprenant de voir les candidats républicains aussi haut dans un tel sondage.
La primaire républicaine peine à susciter l'enthousiasme
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El Fredo
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Re: La primaire républicaine peine à susciter l'enthousiasme
Si le système du collège électoral US vous intéresse je vous conseille le site suivant :
http://www.electoral-vote.com/
Il a été créé par le célèbre professeur d'informatique Andrew Tanenbaum au moment des élections US de 2004. Il est constamment mis à jour avec les différents scrutins, dont les primaires, ainsi que les sondages, et contient des infos intéressantes sur le système électoral. Il faut savoir que tous les Etats n'ont pas les mêmes règles lorsqu'il s'agit de répartir les Grands Electeurs qui désigneront le Président. Certains choisissent le collège électoral à la proportionnelle, d'autres donnent toutes leurs voix au vainqueur. Ça peut avoir une influence cruciale pour le résultat final.
Ce système apparaît comme complexe et archaïque mais il a été mis en place afin que les petits Etats comme le Wyoming ne soient pas écrasés par les gros comme la Californie, ce qui mettrait en péril la nature fédérale de la nation.
http://www.electoral-vote.com/
Il a été créé par le célèbre professeur d'informatique Andrew Tanenbaum au moment des élections US de 2004. Il est constamment mis à jour avec les différents scrutins, dont les primaires, ainsi que les sondages, et contient des infos intéressantes sur le système électoral. Il faut savoir que tous les Etats n'ont pas les mêmes règles lorsqu'il s'agit de répartir les Grands Electeurs qui désigneront le Président. Certains choisissent le collège électoral à la proportionnelle, d'autres donnent toutes leurs voix au vainqueur. Ça peut avoir une influence cruciale pour le résultat final.
Ce système apparaît comme complexe et archaïque mais il a été mis en place afin que les petits Etats comme le Wyoming ne soient pas écrasés par les gros comme la Californie, ce qui mettrait en péril la nature fédérale de la nation.
If the radiance of a thousand suns were to burst into the sky, that would be like the splendor of the Mighty One— I am become Death, the shatterer of Worlds.
Re: La primaire républicaine peine à susciter l'enthousiasme
- Mitt Romney emporte largement la primaire à Porto Rico (d'après l'AFP) :
Selon les premiers résultats annoncés hier en soirée, le favori à l'investiture républicaine, Mitt Romney, était parti pour remporter une victoire écrasante lors de la primaire organisée, ce dimanche, à Porto Rico, avec apparemment plus de 80% des voix. Son rival, l'ultra-conservateur Rick Santorum, n'y obtenant moins de 10% des suffrages républicains, devant l'ancien président de la Chambre Newt Gingrich (2,1%) et Ron Paul (1,2%).
Mitt Romney attend ainsi le soutien de 20 délégués de plus pour obtenir l'investiture lors de la convention républicaine prévue fin août, en Floride, où le candidat désigné par le parti devra rassembler 1.144 délégués.
Républicain modéré, Mitt Romney disposerait actuellement de 500 à 520 délégués, mais il doit aujourd'hui encore composer avec le chrétien conservateur Rick Santorum (235 à 255 délégués) dont les succès récents l'ont empêché d'empocher rapidement l'investiture. Ses autres rivaux - Newt Gingrich et Ron Paul - disposant respectivement du vote de 135-140 et 50-66 délégués.
A noter que Mitt Romney avait déjà obtenu, fin janvier, le soutien du gouverneur de Porto Rico, Luis Fortuno, qui fait campagne pour que l'île - Etat associé aux Etats-Unis - devienne le 51e Etat américain (option qui sera soumise à référendum, le 6 novembre prochain, jour même de la présidentielle américaine...). Il est vrai que les Portoricains sont citoyens américains mais n'ont pas le droit de vote à la présidentielle et n'ont pas d'élus au Congrès.
Enfin, juste rappeler que la primaire de Porto Rico (20 délégués) se déroule deux jours avant celle de l'Illinois (qui envoit 54 délégués à la Convention républicaine).
(Cf. http://actu.orange.fr/une/etats-unis-le ... 32942.html ).
Selon les premiers résultats annoncés hier en soirée, le favori à l'investiture républicaine, Mitt Romney, était parti pour remporter une victoire écrasante lors de la primaire organisée, ce dimanche, à Porto Rico, avec apparemment plus de 80% des voix. Son rival, l'ultra-conservateur Rick Santorum, n'y obtenant moins de 10% des suffrages républicains, devant l'ancien président de la Chambre Newt Gingrich (2,1%) et Ron Paul (1,2%).
Mitt Romney attend ainsi le soutien de 20 délégués de plus pour obtenir l'investiture lors de la convention républicaine prévue fin août, en Floride, où le candidat désigné par le parti devra rassembler 1.144 délégués.
Républicain modéré, Mitt Romney disposerait actuellement de 500 à 520 délégués, mais il doit aujourd'hui encore composer avec le chrétien conservateur Rick Santorum (235 à 255 délégués) dont les succès récents l'ont empêché d'empocher rapidement l'investiture. Ses autres rivaux - Newt Gingrich et Ron Paul - disposant respectivement du vote de 135-140 et 50-66 délégués.
A noter que Mitt Romney avait déjà obtenu, fin janvier, le soutien du gouverneur de Porto Rico, Luis Fortuno, qui fait campagne pour que l'île - Etat associé aux Etats-Unis - devienne le 51e Etat américain (option qui sera soumise à référendum, le 6 novembre prochain, jour même de la présidentielle américaine...). Il est vrai que les Portoricains sont citoyens américains mais n'ont pas le droit de vote à la présidentielle et n'ont pas d'élus au Congrès.
Enfin, juste rappeler que la primaire de Porto Rico (20 délégués) se déroule deux jours avant celle de l'Illinois (qui envoit 54 délégués à la Convention républicaine).
(Cf. http://actu.orange.fr/une/etats-unis-le ... 32942.html ).
Re: La primaire républicaine peine à susciter l'enthousiasme
Même si le casting républicain n'est que modérément attractif, il semble que les USA en ont réellement marre du président le plus crétin de son histoire, et de sa fâcheuse manie de rater tout ce qu'il touche.
L'américain est avant tout pragmatique, et les effets spéciaux genre "profil de médaille", "multiculturalité", etc, ils s'en sont vite lassés. "Facts" ... et là, le bilan est lamentable.
L'homme providentiel n'est même pas arrivé à fermer Guantanamo, c'est dire !
L'américain est avant tout pragmatique, et les effets spéciaux genre "profil de médaille", "multiculturalité", etc, ils s'en sont vite lassés. "Facts" ... et là, le bilan est lamentable.
L'homme providentiel n'est même pas arrivé à fermer Guantanamo, c'est dire !
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
Re: La primaire républicaine peine à susciter l'enthousiasme
- Primaires républicaines : Romney facile dans l'Illinois (LCI / TF1).
Le représentant de la tendance "centriste" du parti républicain a largement remporté mardi la primaire de l'Illinois face à Rick Santorum. Ce succès confirme son statut de favori dans une bataille qui traîne en longueur.
Sans surprise dans cet Etat plutôt libéral qui convient mieux à ses thèses centristes que les Etats conservateurs du centre du pays, Mitt Romney, le favori de la course à l'investiture républicaine, s'est facilement imposé mardi soir dans l'Illinois.
L'ancien gouverneur du Massachusetts a obtenu environ 47% des suffrages, soit douze points de plus que Rick Santorum, son principal rival conservateur. Les autres candidats encore en course, Newt Gingrich et Ron Paul, sont très loin derrière...
(Cf. http://lci.tf1.fr/monde/amerique/primai ... 81688.html ).
(Cf. http://lci.tf1.fr/elections-usa/primair ... 82815.html ).
Le représentant de la tendance "centriste" du parti républicain a largement remporté mardi la primaire de l'Illinois face à Rick Santorum. Ce succès confirme son statut de favori dans une bataille qui traîne en longueur.
Sans surprise dans cet Etat plutôt libéral qui convient mieux à ses thèses centristes que les Etats conservateurs du centre du pays, Mitt Romney, le favori de la course à l'investiture républicaine, s'est facilement imposé mardi soir dans l'Illinois.
L'ancien gouverneur du Massachusetts a obtenu environ 47% des suffrages, soit douze points de plus que Rick Santorum, son principal rival conservateur. Les autres candidats encore en course, Newt Gingrich et Ron Paul, sont très loin derrière...
(Cf. http://lci.tf1.fr/monde/amerique/primai ... 81688.html ).
(Cf. http://lci.tf1.fr/elections-usa/primair ... 82815.html ).
Re: La primaire républicaine peine à susciter l'enthousiasme
Louisiane : l'ultraconservateur Rick Santorum remporte la primaire républicaine... et fait durer le suspense (avec l'AFP)
L'ultraconservateur Rick Santorum a remporté, ce samedi dernier, la primaire républicaine de Louisiane : donnant là un coup d'accélérateur à sa campagne face à Mitt Romney, qui reste néanmoins favori pour affronter Barack Obama en novembre prochain...
Selon des projections diffusées après la fermeture des bureaux de vote, l'ancien sénateur de Pennsyvlanie, grand défenseur des valeurs chrétiennes et familiales (adversaire résolu du mariage homosexuel, de l'avortement et de la contraception), y aurait remporté près de 40% des suffrages, contre 30% au multimillionnaire Romney. Engrangeant ainsi un 11e Etat dans la course à l'investiture républicaine pour la Maison Blanche (mais compte toujours à son actif deux fois moins de victoires que son rival modéré...). MM. Santorum et Romney ont également largement devancé les deux autres candidats en lice : l'ancien président de la Chambre des représentants Newt Gingrich (qui doit se contenter de 20% des voix selon les sondages sortie des urnes) et le candidat "libertarien" Ron Paul (5%).
La victoire de M. Santorum, largement anticipée par les sondages, n'est pas une surprise dans cet Etat conservateur du "Vieux Sud" qu'est la Louisiane. Néanmoins M. Romney reste favori pour obtenir l'investiture de son parti lors de la convention républicaine prévue, fin août prochain, à Tampa (Floride). M. Santorum est en effet considéré comme trop à droite pour espérer convaincre les électeurs centristes. Dans cette course à l'investiture républicaine, M. Romney garde donc une avance confortable sur ses concurrents (avec plus de 560 délégués acquis lors des différentes primaires organisées, Etat par Etat, depuis le début de l'année : soit plus de deux fois plus de délégués que M. Santorum). Le vainqueur sera celui qui remportera 1.144 délégués (Nb : en Louisiane, 46 délégués étaient en jeu...).
Décidément cette primaire républicaine traîne en longueur, puisqu'aucun des candidats ne parvenant à susciter un consensus au sein d'un parti profondément divisé. Et ce, pour le plus grand plaisir des démocrates de Barack Obama...
Les prochains scrutins devraient cependant être plus favorables à M. Romney, et lui permettre de conforter son avance sur ses rivaux : ils auront lieu le 3 avril prochain dans le Wisconsin (Nord), dans le Maryland (Est) et à Washington D.C.
(Cf. http://actu.orange.fr/une/etats-unis-l- ... 40678.html ).
L'ultraconservateur Rick Santorum a remporté, ce samedi dernier, la primaire républicaine de Louisiane : donnant là un coup d'accélérateur à sa campagne face à Mitt Romney, qui reste néanmoins favori pour affronter Barack Obama en novembre prochain...
Selon des projections diffusées après la fermeture des bureaux de vote, l'ancien sénateur de Pennsyvlanie, grand défenseur des valeurs chrétiennes et familiales (adversaire résolu du mariage homosexuel, de l'avortement et de la contraception), y aurait remporté près de 40% des suffrages, contre 30% au multimillionnaire Romney. Engrangeant ainsi un 11e Etat dans la course à l'investiture républicaine pour la Maison Blanche (mais compte toujours à son actif deux fois moins de victoires que son rival modéré...). MM. Santorum et Romney ont également largement devancé les deux autres candidats en lice : l'ancien président de la Chambre des représentants Newt Gingrich (qui doit se contenter de 20% des voix selon les sondages sortie des urnes) et le candidat "libertarien" Ron Paul (5%).
La victoire de M. Santorum, largement anticipée par les sondages, n'est pas une surprise dans cet Etat conservateur du "Vieux Sud" qu'est la Louisiane. Néanmoins M. Romney reste favori pour obtenir l'investiture de son parti lors de la convention républicaine prévue, fin août prochain, à Tampa (Floride). M. Santorum est en effet considéré comme trop à droite pour espérer convaincre les électeurs centristes. Dans cette course à l'investiture républicaine, M. Romney garde donc une avance confortable sur ses concurrents (avec plus de 560 délégués acquis lors des différentes primaires organisées, Etat par Etat, depuis le début de l'année : soit plus de deux fois plus de délégués que M. Santorum). Le vainqueur sera celui qui remportera 1.144 délégués (Nb : en Louisiane, 46 délégués étaient en jeu...).
Décidément cette primaire républicaine traîne en longueur, puisqu'aucun des candidats ne parvenant à susciter un consensus au sein d'un parti profondément divisé. Et ce, pour le plus grand plaisir des démocrates de Barack Obama...
Les prochains scrutins devraient cependant être plus favorables à M. Romney, et lui permettre de conforter son avance sur ses rivaux : ils auront lieu le 3 avril prochain dans le Wisconsin (Nord), dans le Maryland (Est) et à Washington D.C.
(Cf. http://actu.orange.fr/une/etats-unis-l- ... 40678.html ).
Re: La primaire républicaine peine à susciter l'enthousiasme
En l'emportant ainsi dans les Etats du "Sud profond" (Alabama, Louisiane, Mississippi, Tennessee, Oklahoma...), Rick Santorum ressemble de plus en plus - idéologiquement, et électoralement parlant - à un candidat de type "dixiecrat" (i.e : populiste conservateur).
(Cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Dixiecrat ).
Comme - en leurs temps - Strom Thurmond (gouverneur de la Caroline du sud et candidat "dixiecrat", en 1948), George Wallace (gouverneur de l'Alabama et candidat "dixiecrat", en 1968) ou Barry Goldwater (sénateur de l'Arizona, candidat "républicain" en 1964), voire les fameux "petits" candidats à la candidature républicaine de 1992 : le "paléo-conservateur" Pat Buchanan (de Virginie) et le "white suprémacist" David Duke (de Louisiane).
(Cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Strom_Thurmond ).
(Cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Barry_Goldwater ).
(Cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/George_Wallace ).
(Cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Pat_Buchanan ).
(Cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/David_Duke ).
Des candidatures qui auront alors - à chaque fois - fait un tort considérable au parti républicain en divisant son électorat potentiel. En revanche, depuis la période des années "1948" => "1964-1968", les démocrates sont beaucoup moins pénalisés par cette dispersion des votes des "petits blancs" du sud...
En tout cas, à chaque fois qu'un candidat "dissident" fortement typé de ce genre est apparu à la Droite du paysage politique étasunien (qu'il soit au départ affilé au parti républicain, ou qu'il soit au départ affilié au parti démocrate avant d'en faire dissidence...), cela s'est quasi systématiquement traduit par la perte des grands électeurs des Etats du "Sud profond" pour le GOP et - en définitive, sauf en 1968 - par une défaite du candidat officiel du parti républicain.
(Cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Dixiecrat ).
Comme - en leurs temps - Strom Thurmond (gouverneur de la Caroline du sud et candidat "dixiecrat", en 1948), George Wallace (gouverneur de l'Alabama et candidat "dixiecrat", en 1968) ou Barry Goldwater (sénateur de l'Arizona, candidat "républicain" en 1964), voire les fameux "petits" candidats à la candidature républicaine de 1992 : le "paléo-conservateur" Pat Buchanan (de Virginie) et le "white suprémacist" David Duke (de Louisiane).
(Cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Strom_Thurmond ).
(Cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Barry_Goldwater ).
(Cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/George_Wallace ).
(Cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Pat_Buchanan ).
(Cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/David_Duke ).
Des candidatures qui auront alors - à chaque fois - fait un tort considérable au parti républicain en divisant son électorat potentiel. En revanche, depuis la période des années "1948" => "1964-1968", les démocrates sont beaucoup moins pénalisés par cette dispersion des votes des "petits blancs" du sud...
En tout cas, à chaque fois qu'un candidat "dissident" fortement typé de ce genre est apparu à la Droite du paysage politique étasunien (qu'il soit au départ affilé au parti républicain, ou qu'il soit au départ affilié au parti démocrate avant d'en faire dissidence...), cela s'est quasi systématiquement traduit par la perte des grands électeurs des Etats du "Sud profond" pour le GOP et - en définitive, sauf en 1968 - par une défaite du candidat officiel du parti républicain.
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El Fredo
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Re: La primaire républicaine peine à susciter l'enthousiasme
Oui c'est ce que je pense aussi. Et c'est plutôt une bonne nouvelle pour les USA quand on voit ce que fait et propose le GOP.
If the radiance of a thousand suns were to burst into the sky, that would be like the splendor of the Mighty One— I am become Death, the shatterer of Worlds.
Re: La primaire républicaine peine à susciter l'enthousiasme
- Début avril : Mitt Romney renforce son statut de favori.
En ce début avril, le candidat à la candidature républicaine Mitt Romney semblait enfin prendre le large face à ses concurrents dans la course à l’investiture républicaine après ses victoires, mardi 3 avril, dans trois nouveaux Etats : le Wisconsin, le Maryland et à Washington DC, portant désormais à 20 son nombre d'Etats remportés lors de ces élections primaires républicaines.
A chaque fois, l’ancien gouverneur du Massachussetts, désormais favori pour affronter le président sortant Barack Obama en novembre, a devancé son rival ultraconservateur Rick Santorum, qui ne s’avoue néanmoins toujours pas vaincu. Celui-ci s’est dit "prêt à rebondir dès sa sortie des vestiaires pour la deuxième mi-temps du match", rapporte le "LA Times". Selon Rick Santorum, cette "deuxième mi-temps" débutera le 24 avril, chez lui, en Pennsylvanie. Affaire à suivre...
(Cf. http://www.courrierinternational.com/br ... -de-favori ).
En ce début avril, le candidat à la candidature républicaine Mitt Romney semblait enfin prendre le large face à ses concurrents dans la course à l’investiture républicaine après ses victoires, mardi 3 avril, dans trois nouveaux Etats : le Wisconsin, le Maryland et à Washington DC, portant désormais à 20 son nombre d'Etats remportés lors de ces élections primaires républicaines.
A chaque fois, l’ancien gouverneur du Massachussetts, désormais favori pour affronter le président sortant Barack Obama en novembre, a devancé son rival ultraconservateur Rick Santorum, qui ne s’avoue néanmoins toujours pas vaincu. Celui-ci s’est dit "prêt à rebondir dès sa sortie des vestiaires pour la deuxième mi-temps du match", rapporte le "LA Times". Selon Rick Santorum, cette "deuxième mi-temps" débutera le 24 avril, chez lui, en Pennsylvanie. Affaire à suivre...
(Cf. http://www.courrierinternational.com/br ... -de-favori ).
Re: La primaire républicaine peine à susciter l'enthousiasme
Un calendrier complet des primaires républicaines, sur le site du JDD :
(Cf. http://www.lejdd.fr/International/USA/A ... le-486312/ ).
Quant au décompte des délégués républicains, visiblement - à l'heure actuelle - on en est là :
=> Pour Mitt Romney : 655.
=> Pour Rick Santorum : 278.
=> Pour Newt Gingrich : 135.
=> Pour Ron Paul : 51.
(Cf. http://www.lejdd.fr/International/USA/A ... le-486312/ ).
Quant au décompte des délégués républicains, visiblement - à l'heure actuelle - on en est là :
=> Pour Mitt Romney : 655.
=> Pour Rick Santorum : 278.
=> Pour Newt Gingrich : 135.
=> Pour Ron Paul : 51.
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Nombrilist
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Re: La primaire républicaine peine à susciter l'enthousiasme
C'est plié donc. Mais il y a une sacrée dispersion des voix.
Promaires répulicaines : Rick Santorum jette l'éponge
Coup de théâtre dans la course à l'investiture républicaine : à quelques semaines à peine de primaires en Pennsylvanie (Etat dont il avait été sénateur entre 1995 et 2007) que l'on disait décisives pour la suite de opérations, Rick Santorum jette finalement l'éponge et laisse la voie libre à Mitt Romney.
Vers une réconciliation à la tête du parti républicain pour tenter de battre Obama ?!
(Cf. http://www.20minutes.fr/monde/914271-pr ... or=RSS-145 ).
(Cf. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/ ... etrait.php ).
Vers une réconciliation à la tête du parti républicain pour tenter de battre Obama ?!
(Cf. http://www.20minutes.fr/monde/914271-pr ... or=RSS-145 ).
(Cf. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/ ... etrait.php ).
Modifié en dernier par Bocian le 10 avr. 2012, 21:02:14, modifié 1 fois.
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Nombrilist
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Re: La primaire républicaine peine à susciter l'enthousiasme
C'est pas vraiment un coup de théâtre. Perso, je m'y attendais, c'est pareil tous les 4 ans. J'espère qu'ils n'arriveront pas à recoller les morceaux.
Re: La primaire républicaine peine à susciter l'enthousiasme
On commence donc à voir plus clair, mais l'affaire ne deviendra intéressante qu'une fois les deux challengers dans l'arêne.
Romney semble avoir une sérieuse carrure, de l'expérience, et les USA ont été fort déçus par leur joueur de poker professionnel ...
Mais l'échéance est encore lointaine, et tout reste possible.
Romney semble avoir une sérieuse carrure, de l'expérience, et les USA ont été fort déçus par leur joueur de poker professionnel ...
Mais l'échéance est encore lointaine, et tout reste possible.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
Re: La primaire républicaine peine à susciter l'enthousiasme
L'analyse de ''Courrier international'' à la suite du retrait de Rick Santorum (compilation d'informations tirées de la presse britannique et américaine).
- Santorum s'en va et laisse un lourd héritage à Romney :
Le candidat républicain Rick Santorum, champion des causes ultraconservatrices, a finalement jeté l'éponge le 10 avril au soir, laissant un boulevard à son rival Mitt Romney. Mais sa campagne acharnée n'aura pas été inutile et sa carrière politique est loin d'être terminée.
(Cf. http://www.courrierinternational.com/re ... e-a-romney ).
La décision de Rick Santorum de se retirer vient mettre un terme à la course à l'investiture républicaine, faisant de Mitt Romney le plus que probable candidat des républicains. Désormais, les choses sont désormais claires : la véritable bataille pour la présidence des Etats-Unis peut commencer, avec d'un côté le premier président noir, ébranlé après trois ans et demi de crise économique mais toujours debout ; et, de l'autre, le candidat qui a l'ambition d'être le premier homme d'affaires et le premier mormon à la Maison-Blanche.
Pour autant, l'incursion de Rick Santorum dans la course à la Maison-Blanche n'aura pas été vaine. La presse américaine s'accorde à dire que la campagne "improbable" menée par l'ancien sénateur de Pennsylvanie a eu un véritable impact sur le Parti républicain, en particulier sur les questions sociales, en particulier à propos du droit à l'avortement.
Mais la candidature de Rick Santorum aura également obligé Mitt Romney à dépenser du temps et de l'argent qu'il aurait pu utiliser pour faire campagne contre Obama, affaiblissant Mitt Romney en le dépeignant comme trop proche d'Obama sur de nombreux sujets, en particulier sur la question de la réforme de la santé.
En tout cas, une chose est sûre, "Rick Santorum quitte la course en bien meilleure posture qu'il ne l'avait commencée. Considéré au départ comme un has-been, il a su se muer en véritable leader pour l'aile évangélique et les cols bleus du Parti républicain. Sa carrière politique de l'ancien sénateur est loin d'être finie. "A 53 ans, c'était le plus jeune des candidats républicains en lice cette année. Il peut désormais se concentrer sur les échéances électorales de 2016 et 2020 ...
- Santorum s'en va et laisse un lourd héritage à Romney :
Le candidat républicain Rick Santorum, champion des causes ultraconservatrices, a finalement jeté l'éponge le 10 avril au soir, laissant un boulevard à son rival Mitt Romney. Mais sa campagne acharnée n'aura pas été inutile et sa carrière politique est loin d'être terminée.
(Cf. http://www.courrierinternational.com/re ... e-a-romney ).
La décision de Rick Santorum de se retirer vient mettre un terme à la course à l'investiture républicaine, faisant de Mitt Romney le plus que probable candidat des républicains. Désormais, les choses sont désormais claires : la véritable bataille pour la présidence des Etats-Unis peut commencer, avec d'un côté le premier président noir, ébranlé après trois ans et demi de crise économique mais toujours debout ; et, de l'autre, le candidat qui a l'ambition d'être le premier homme d'affaires et le premier mormon à la Maison-Blanche.
Pour autant, l'incursion de Rick Santorum dans la course à la Maison-Blanche n'aura pas été vaine. La presse américaine s'accorde à dire que la campagne "improbable" menée par l'ancien sénateur de Pennsylvanie a eu un véritable impact sur le Parti républicain, en particulier sur les questions sociales, en particulier à propos du droit à l'avortement.
Mais la candidature de Rick Santorum aura également obligé Mitt Romney à dépenser du temps et de l'argent qu'il aurait pu utiliser pour faire campagne contre Obama, affaiblissant Mitt Romney en le dépeignant comme trop proche d'Obama sur de nombreux sujets, en particulier sur la question de la réforme de la santé.
En tout cas, une chose est sûre, "Rick Santorum quitte la course en bien meilleure posture qu'il ne l'avait commencée. Considéré au départ comme un has-been, il a su se muer en véritable leader pour l'aile évangélique et les cols bleus du Parti républicain. Sa carrière politique de l'ancien sénateur est loin d'être finie. "A 53 ans, c'était le plus jeune des candidats républicains en lice cette année. Il peut désormais se concentrer sur les échéances électorales de 2016 et 2020 ...
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