Je n'en sais rien. Je suppose que les prêteurs appellent les garanties des parents. Je vous rappelle qu'il est difficile de nos jours d'obtenir des prêts sans poser une garantie (bien hypothéqué, lettre de garantie).Pascale a écrit :Merci politicien..
mais florian, en attendant, tous ces jeunes qui se retrouvent en fin d études et ne bossent pas pour rembourser, on fait quoi ?
C est ce que je dis à mes gamins ... Un métier manuel qui permettra de bosser n importe où.
Prêts étudiants aux Etats-Unis : les nouveaux "subprimes" ?
Re: Prêts étudiants aux Etats-Unis : les nouveaux "subprimes" ?
- Baltorupec
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Re: Prêts étudiants aux Etats-Unis : les nouveaux "subprimes" ?
Mais il faut avouer que c'est vraiment le bordel en terme d'études publiques en France. Si les BTS me semblent s'en tirer un peu mieux, la FAC est une catastrophe, combien de personnes qui font une fac d'anglais, de psycho ou d'histoire sans réel plans d'études. Les BTS de communication fleurissent alors que le secteur est bouché. Bref, il faudrait remettre un peu d'ordre dans tout ça, me semble t-il.
Peut être serait il intelligent aussi de demander aux élèves de se construire des véritable projet d'études dès la terminale : avec prospection des écoles possibles, des débouchés dans le secteur...
Peut être serait il intelligent aussi de demander aux élèves de se construire des véritable projet d'études dès la terminale : avec prospection des écoles possibles, des débouchés dans le secteur...
Déjà que les étudiants issu de milieux modestes ont du mal à s'insérer dans ce milieu, ce serait renforcé ces inégalités.Je n'en sais rien. Je suppose que les prêteurs appellent les garanties des parents. Je vous rappelle qu'il est difficile de nos jours d'obtenir des prêts sans poser une garantie (bien hypothéqué, lettre de garantie).
“Tout ce que tu peux régler pacifiquement, n’essaie pas de le régler par une guerre ou un procès.” Jules Mazarin
Re: Prêts étudiants aux Etats-Unis : les nouveaux "subprimes" ?
Tu rêves Balto, tu rêves. Le marché commande. Il y a trop de diplômés aux USA (études coûteuses) et trop en France (études moins coûteuses sauf les Sup de Co et les écoles d'ingénieurs privées).
La main d'oeuvre obéit aux lois du marché tout simplement. Concernant la France, il y a longtemps qu'on sait que beaucoup de facs de lettres, arts, psycho, socio, STAPS sont des machines à produire des chômeurs, de même que des BTS et DUT tertiaires comme ceux que tu cites, et que certaines facs de sciences.
Pour moi, le problème est simple, il faut faire du numerus clausus (on ferait bien d'élargir les quotas pour les toubibs notamment spécialistes) sur ces filières là, sur base d'études de marché.
Enfin, en terme d'inégalités, il ne sert à rien de rêver. Donner l'accès à la fac ou au BTS n'amène rien en terme de réduction des inégalités s'il n'y a pas d'emplois derrière. Un plombier ou boulanger trouve lui du boulot. Ce n'est nullement une déchéance que d'être artisan ou commerçant.
La main d'oeuvre obéit aux lois du marché tout simplement. Concernant la France, il y a longtemps qu'on sait que beaucoup de facs de lettres, arts, psycho, socio, STAPS sont des machines à produire des chômeurs, de même que des BTS et DUT tertiaires comme ceux que tu cites, et que certaines facs de sciences.
Pour moi, le problème est simple, il faut faire du numerus clausus (on ferait bien d'élargir les quotas pour les toubibs notamment spécialistes) sur ces filières là, sur base d'études de marché.
Enfin, en terme d'inégalités, il ne sert à rien de rêver. Donner l'accès à la fac ou au BTS n'amène rien en terme de réduction des inégalités s'il n'y a pas d'emplois derrière. Un plombier ou boulanger trouve lui du boulot. Ce n'est nullement une déchéance que d'être artisan ou commerçant.
- Baltorupec
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Re: Prêts étudiants aux Etats-Unis : les nouveaux "subprimes" ?
Je suis tout à fait d'accord sur ce que tu dis. Mais on peut être d'origine modeste et être d'avantage taillé pour faire des études intellectuelles plutôt que manuel. L'intelligence est diverse.
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Re: Prêts étudiants aux Etats-Unis : les nouveaux "subprimes" ?
Comme je le disais, il faut rendre les écoles professionnalisantes gratuites. Une école de pâtissier ou de journaliste, c'est 8000 euros par an.
- Baltorupec
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Re: Prêts étudiants aux Etats-Unis : les nouveaux "subprimes" ?
Vu le nombre de débouchés en journalisme, ce n'est pas un grand drame.
Mais il existe des CAP pâtisserie non ?
Mais il existe des CAP pâtisserie non ?
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Re: Prêts étudiants aux Etats-Unis : les nouveaux "subprimes" ?
Nombrilist parlait de Lenôtre ou semblable. Et bien c'est une connerie, il faut 0.1% de grands chefs et 99.9% de bons pros et on peut faire une formation plus modeste chez un honnête commerçant/artisan, apprendre à bosser et se mettre à son compte.
Par contre, plutôt que de trainer la rue, il faut que le jeune gratte ses cours, travaille la compta et l'anglais en sus d'apprendre à fabriquer des Paris-Brest.
Par contre, plutôt que de trainer la rue, il faut que le jeune gratte ses cours, travaille la compta et l'anglais en sus d'apprendre à fabriquer des Paris-Brest.
- Nombrilist
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Re: Prêts étudiants aux Etats-Unis : les nouveaux "subprimes" ?
J'ai une nièce de 14 ans qui voulait se lancer dans la pâtisserie. Première de sa classe avec 17 de moyenne générale en 3ème. Elle voulait faire une école de pâtisserie. Sélection sur dossier, elle était prise. Plusieurs milliers d'euros par an à payer. Papa au SMIC, maman au chômage. La gosse a du faire une croix dessus.
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Re: Prêts étudiants aux Etats-Unis : les nouveaux "subprimes" ?
Bonjour,
qu'en pensez vous ?Le montant des prêts étudiants, qui inquiète la Fed, dépasse les PIB de l’Irlande, de la Nouvelle-Zélande et de l’Australie réunis.
Selon les statistiques publiées, mardi, par la Réserve fédérale (Fed), le total des prêts étudiants américains s’élèverait à 1 160 milliards de dollars (1 000 milliards d’euros) au 31 décembre, soit plus que les PIB de l’Irlande, de la Nouvelle-Zélande et de l’Australie réunis. C’est ce que rapporte le site d’information Quartz, qui se base sur les statistiques de la Réserve fédérale américaine, publiées le 17 février.
1 160 milliards de dollars : la dette étudiante américaine flambe
Il y a aujourd’hui environ 40 millions d’Américains qui ont souscrit un prêt étudiant. Celui-ci s’élève en moyenne à 30 000 dollars. Du fait de l’explosion des frais de scolarité, qui ont augmenté de 440% en vingt-cinq ans, selon le magazine Forbes, près des trois quarts des étudiants diplômés ont été obligés de contracter un crédit. Aujourd’hui, les droits peuvent aller de 6 000 et 50 000 dollars, y compris dans des établissements de milieu ou de queue de classement.
(...)
http://www.liberation.fr/monde/2015/02/ ... be_1205753
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Re: Prêts étudiants aux Etats-Unis : les nouveaux "subprimes" ?
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