Les États-Unis foncent-ils dans le "mur budgétaire" ?

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Nombrilist
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Re: Les États-Unis foncent-ils dans le "mur budgétaire" ?

Message non lu par Nombrilist » 04 oct. 2013, 22:21:40

L'Obamacare, il est au point et il a été voté. Donc, maintenant, ce que font les républicains, c'est de l'obstruction.

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Jeff Van Planet
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Re: Les États-Unis foncent-ils dans le "mur budgétaire" ?

Message non lu par Jeff Van Planet » 05 oct. 2013, 11:19:11

çà c'est du non sens.
Toutes les dépenses ont étaient votées par le passé, pas seulement l'obamacare, mais voilà il faut en couper quelques unes.
Tous çà pour dire que les choses ne sont pas aussi simple que "gauche VS droite" avec d'un coté les gentil contre les méchants.
Le grand problème de notre système démocratique c'est qu'il permet de faire démocratiquement des choses non démocratiques.
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Re: Les États-Unis foncent-ils dans le "mur budgétaire" ?

Message non lu par freeze » 05 oct. 2013, 11:43:53

pas de gauche aux states !!!
droite molle et forte ^^

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Jeff Van Planet
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Re: Les États-Unis foncent-ils dans le "mur budgétaire" ?

Message non lu par Jeff Van Planet » 05 oct. 2013, 11:50:27

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Re: Les États-Unis foncent-ils dans le "mur budgétaire" ?

Message non lu par freeze » 05 oct. 2013, 11:51:49

tu cites du wikipedia maintenant ?
ravi de te voir changer d'optique ^^
http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion ... ts-Unis%29
Distinction

Si on se limite aux 2 grands partis, la gauche n'existe pas aux Etats-Unis, comme dans de nombreux pays dans le monde ! La gauche est un concept de la vieille Europe (avec des exceptions) bien représenté par les pays où le communisme a joué un rôle majeur à un moment de l'Histoire, et également présent en Amérique du Sud avec l'affirmation des communautés écartées des pouvoirs du pays. Le Parti Démocrate est un parti libéral : il n'est ni communiste, ni socialiste, ni écologiste, il n'est donc pas "de gauche" (d'après la conception française de la politique).

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Re: Les États-Unis foncent-ils dans le "mur budgétaire" ?

Message non lu par Jeff Van Planet » 05 oct. 2013, 14:51:52

Ton lien est très intéressant, lis bien la partie(plus ou moins en milieux de page) qui porte le titre "Gauche et droite".
Juste avant ce que tu cite, et qui est beaucoup moins exacte.
Le grand problème de notre système démocratique c'est qu'il permet de faire démocratiquement des choses non démocratiques.
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Re: Les États-Unis foncent-ils dans le "mur budgétaire" ?

Message non lu par freeze » 05 oct. 2013, 14:55:06

je lis tout ce que je mets en lien
^^
Le parti démocrate a été un parti réactionnaire ou/puis populiste jusqu'à la présidence de Roosevelt. Entre 1968 et 1992, il a dérivé plus vers la gauche (sans jamais devenir socialiste) mais s'est recentré au centre-centre droit avec Clinton.

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Re: Les États-Unis foncent-ils dans le "mur budgétaire" ?

Message non lu par Jeff Van Planet » 05 oct. 2013, 14:58:06

Gauche et droite[modifier le code]

Situer le parti démocrate à gauche et le parti républicain à droite est inexact. En fait les deux partis ne se situent pas à gauche ou à droite mais ce sont ces dernières qui agissent au sein des deux partis et selon les époques, la gauche et la droite y sont plus ou moins forts.
Le parti démocrate a été un parti réactionnaire ou/puis populiste jusqu'à la présidence de Roosevelt. Entre 1968 et 1992, il a dérivé plus vers la gauche (sans jamais devenir socialiste) mais s'est recentré au centre-centre droit avec Clinton.
Les républicains, à l'origine le parti des Yankees puritains, des industriels et de la bourgeoisie, ont dérivé vers le conservatisme et la droite depuis 1964 (hormis la période 1989-1993).
même source.

ÉDITE:
en plus on est carrément HS là
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Re: Les États-Unis foncent-ils dans le "mur budgétaire" ?

Message non lu par freeze » 05 oct. 2013, 15:05:11

oui et alors ?

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Re: Les États-Unis foncent-ils dans le "mur budgétaire" ?

Message non lu par Jeff Van Planet » 05 oct. 2013, 17:14:08

Bref, pour revenir au sujet et en guise de conclusion:
c'est autant les démocrates que le républicains qui bloquent le processus.
Le grand problème de notre système démocratique c'est qu'il permet de faire démocratiquement des choses non démocratiques.
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Re: Les États-Unis foncent-ils dans le "mur budgétaire" ?

Message non lu par El Fredo » 05 oct. 2013, 23:46:16

Jeff Van Planet » 05 Oct 2013, 17:14 a écrit :Bref, pour revenir au sujet et en guise de conclusion:
c'est autant les démocrates que le républicains qui bloquent le processus.
Bis repetita placent : c'est typique de la non-pensée centriste. Si on kidnappe ta fille, que les kidnappeurs refusent de la libérer pour moins de 1 million de dollars, et que tu refuses de payer (ou que tu en es incapable), doit-on dire que les torts sont partagés dans le blocage de la situation ?

La vérité c'est qu'il y a d'un côté un exécutif démocrate qui a sans cesse fait des compromis bipartisans ces 5 dernières années, au point de perdre son aile gauche, et de l'autre une chambre républicaine prisonnière de sa base extrémiste qui a sans cesse de nouvelles exigences quelles que soient les concessions déjà accordées par l'exécutif, et pour laquelle la lutte de principe contre toute décision de l'exécutif fait office de programme politique. On ne peut pas mettre les deux parties dans le même sac et leur attribuer les torts à égalité, même si c'est le travers d'une grande partie de la presse outre-Atlantique.
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Re: Les États-Unis foncent-ils dans le "mur budgétaire" ?

Message non lu par freeze » 06 oct. 2013, 09:17:18

jeff le fait pertinemment je crois

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Re: Les États-Unis foncent-ils dans le "mur budgétaire" ?

Message non lu par Jeff Van Planet » 06 oct. 2013, 09:45:43

El Fredo » 05 Oct 2013, 23:46:16 a écrit :
Jeff Van Planet » 05 Oct 2013, 17:14 a écrit :Bref, pour revenir au sujet et en guise de conclusion:
c'est autant les démocrates que le républicains qui bloquent le processus.
Bis repetita placent : c'est typique de la non-pensée centriste. Si on kidnappe ta fille, que les kidnappeurs refusent de la libérer pour moins de 1 million de dollars, et que tu refuses de payer (ou que tu en es incapable), doit-on dire que les torts sont partagés dans le blocage de la situation ?
çà c'est n'importe quoi.
La situation ressemble plus à cela:
Vous êtes DRH, vous négociez les hausses de salaires. Vous dites + 2%(et c'est votre maximum pour que l'entreprise soit viable) les syndicats disent +5%. Il rajoutent qu'ils bloqueront l'entreprise temps que vous ne cédez pas.
Là vous vous retrouvez devant la situation suivante: soit l'entreprise coule par ce que vous donnez 5%¨soit l'entreprise coule par ce qu'elle est bloquée.

Dit au passage, le centrisme est la démocratie, l'extrémisme et le partisanisme(qui émane de vos propos) n'en est pas.
La vérité c'est qu'il y a d'un côté un exécutif démocrate qui a sans cesse fait des compromis bipartisans ces 5 dernières années, au point de perdre son aile gauche, et de l'autre une chambre républicaine prisonnière de sa base extrémiste qui a sans cesse de nouvelles exigences quelles que soient les concessions déjà accordées par l'exécutif, et pour laquelle la lutte de principe contre toute décision de l'exécutif fait office de programme politique. On ne peut pas mettre les deux parties dans le même sac et leur attribuer les torts à égalité, même si c'est le travers d'une grande partie de la presse outre-Atlantique.
Voilà on touche le fond du sujet!
<<La vérité c'est qu'il y a d'un côté un exécutif démocrate qui a sans cesse fait des compromis bipartisans ces 5 dernières années, au point de perdre son aile gauche>>
C'est ce que je dis depuis le début: les démocrates bloquent pour faire plaisir à leurs extrémistes, autant que les républicains bloquent pour plaire à leurs extrémistes.

Mais je note que pour vous les républicains sont "prisonniers" de leurs extrémistes, alors que les républicains ont "une aile gauche" icon_mrgreen

La vérité est que vous vous reconnaissez dans les extrémistes Démocrates mais pas dans les extrémistes Républicains, vous concluez donc que les Républicains sont "méchants". Les choses ne sont pas aussi simple. Mais bon si ce n'est ni manichéen ni simple, c'est de la non pensée centriste.
Et notez au passage, que les partis US ne sont pas les Partis Français: les élus ont plus d'autonomie pour voter les lois et budgets.
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Re: Les États-Unis foncent-ils dans le "mur budgétaire" ?

Message non lu par El Fredo » 06 oct. 2013, 11:25:53

Faut arrêter le bédo, il n'y a pas d'extrémistes démocrates (ou alors ils n'ont aucun poids politique), alors que le GOP en est plein. Pour ce que je désigne par "non-pensée centrisme", nul histoire de positionnement politique dans cette affaire, c'est seulement la propension à vouloir trouver à tout prix une position médiane entre deux parties, et à leur attribuer des torts partagés. Ce n'est pas une position absolue mais relative. Si Hitler veut exterminer les Juifs alors que Staline veut seulement les déporter, la non-pensée centriste consiste à dire qu'il faut en tuer la moitié pendant le voyage. Je ne pense pas que François Bayrou soit d'accord.

Je rappelle au passage, pour tous ceux qui n'ont pas suivi l'histoire de près ces derniers mois et la découvrent aujourd'hui sans la comprendre, qu'avant d'aboutir à cette situation ubuesque les démocrates ont accumulé les concessions pour satisfaire aux demandes républicaines, et que ces derniers ont au contraire toujours refusé de se réunir avec eux pour discuter du budget, alors que désormais ils exigent que de telles réunions soient tenues comme préalable à tout déblocage. Ils exigent désormais ce qu'ils ont toujours refusé et essaient de faire passer ça pour de la bonne volonté et une porte de sortie offerte au camp démocrate ! Dans le but bien évidemment de faire passer l'exécutif pour intransigeant et leur attribuer tous les torts dans la situation actuelle alors qu'ils en sont les seuls responsables. Et le plus triste c'est que ça fonctionne, chez certains membres de ce forum visiblement, mais aussi et surtout dans la presse politique US contaminée par ce que je désigne depuis le début par la "non-pensée centriste" : on coupe la poire en deux par habitude faute de vouloir analyser la situation et la responsabilité respective des deux camps. Ce qu'on désigne là-bas par "Views differ on the shape of Earth" : "Les avis divergent au sujet de la forme de la Terre". Les éditocrates (il y en a là-bas aussi) partisans de cette "non-pensée centriste" pensent sans doute se placer au-dessus de la mêlée afin de passer pour de sages qui délivrent des analyses pertinentes, mais en réalité ils passent pour des guignols qui perpétuent le consensus dominant. Ce sont les mêmes "very serious people" qui ont soutenu mordicus toutes les politiques d'austérité responsables de la perpétuation inutile de la crise actuelle.

http://krugman.blogs.nytimes.com/2013/1 ... st-nation/
Governing the World’s Greatest Nation

From the Times, on John Boehner’s position:
The overarching problem for the man at the center of the budget fight, say allies and opponents, is that he and his leadership team have no real idea how to resolve the fiscal showdown.

They are only trying to survive another day, Republican strategists say, hoping to maintain unity as long as possible so that when the Republican position collapses, they can capitulate on two issues at once — financing the government and raising the debt ceiling — and head off any internal party backlash.
But remember, both sides are equally at fault. Isn’t that what we’re supposed to say under all circumstances?
Même Karl Rove est effrayé par le jusqu'au-boutisme de ses amis :

http://www.motherjones.com/kevin-drum/2 ... sophy-life
We Are Witnessing a Destruction Test of P.T. Barnum's Philosophy of Life

So Republicans have settled on their messaging, and it's this: Democrats are refusing to negotiate. We keep offering compromise after compromise, but Democrats won't listen to any of them.

Will this work? The truth of a proposition has little or nothing to do with its pyschodynamics,1 so I suppose it has a chance. But it certainly shows a considerable contempt for the intelligence of the voting public. After six months of (a) refusing to meet with Senate Democrats to discuss the budget and (b) gleefully telling anyone who would listen that the shutdown and/or debt ceiling would be their ultimate leverage to force President Obama to agree to their laundry list of demands, you'd think it would be a hopeless task to pretend it was Democrats who wanted this fight all along. Add to that the fact that Democrats have already given in completely to Republican demands on spending levels, and you'd think it would be flatly impossible to pretend that Democrats were the ones refusing to negotiate.

But you never know. The fact that this is a cynical ploy doesn't mean it won't work. Ironically, given that Karl Rove is opposed to this strategy, it reminds me of his well-known—and frequently successful—tactic of turning an opponent's strong points against him. Republicans are pretty universally known as the party of instransigent zealots, so let's claim that it's really Democrats who are the intransigent zealots! And we'll do it by continually offering the same concession—i.e., nothing—in return for an ever-changing set of demands and pretending that this represents a sincere search for compromise. It's so crazy it could work!

1Bonus points if you can name the fictional character who said this. No googling!
http://www.nytimes.com/2013/10/05/opini ... logue.html
Now Republicans Want a ‘Dialogue’

Republicans are now simply flailing. Because they lack any plausible explanation for their irresponsible conduct in creating and prolonging the government shutdown, they are inventing new demands by the hour.

“Defund Obamacare!” they cried at the beginning, stating their condition for reopening the government. Then they moved to delaying health care reform, delaying the individual mandate and repealing one of the health care law’s taxes. Then they started talking about another grand bargain on the budget, tax reform and entitlement cuts. When nothing worked, they simplified their ransom note, saying President Obama and the Democrats had to sit down with them and negotiate something, or anything.

“All we’re asking for is to sit down and have a discussion,” Speaker John Boehner said Friday morning at a news conference. Cathy McMorris Rodgers, chairwoman of the House Republican Conference, put it even more broadly, asking for the beginning of a “dialogue.” The real goal of these demands, however, is not an agreement but instead the perception that it is Mr. Obama who is being intransigent, not the House.

The variety of demands at the news conference demonstrated the incoherence of the Republican message, which is now more about saving face than about any specific policy change. On Thursday, Mr. Boehner told some Republicans privately he would never let the Treasury default on its obligations, but on camera Friday, he tied raising the debt ceiling to some unspecified budget cuts. “We ought to do something about our spending problem and the lack of economic growth in our country,” he said.

House leaders apparently expect to find answers to the most intractable economic issues facing the country while the government is closed and within days of reaching the borrowing limit.

A “dialogue,” now? With 800,000 federal employees furloughed, vital government services cut off and the economy slowing?

This is a moment for immediate action to reopen government’s doors, not the beginning of a conversation that Republicans spurned when they lacked the leverage of a shutdown. They have refused to negotiate over the Senate’s budget, they have refused to negotiate over the president’s budget, and they have refused to negotiate to make the health law more efficient, insisting only on its demise.

That’s why Democrats have no interest in the Republicans’ sudden, blatantly insincere interest in discussing what is good for the country’s future. The two sides will eventually have to reach a reckoning on long-term economic issues, but the time to do so is not while dangling over an abyss.
Le GOP se contrefout d'équilibrer le budget ou de soutenir l'économie. Tout ce qu'ils veulent c'est détruire la réforme majeure de leur adversaire, quels que soient les dégâts sur le pays et le reste du monde. C'est de la politique du chaos, et comme pour tous les radicaux, ce qui importe n'est pas le résultat mais le combat.
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Re: Les États-Unis foncent-ils dans le "mur budgétaire" ?

Message non lu par Pascale » 10 oct. 2013, 20:12:28

Vers une sortie de crise ? Le président républicain de la Chambre des représentants, John Boehner, a proposé ce jeudi un relèvement du plafond de la dette "temporaire" afin de parer à un défaut de paiement américain. "Nous entendons proposer au président aujourd'hui la capacité d'avancer - une augmentation temporaire du plafond de la dette, et un accord pour une commission bicamérale sur le budget - en échange de sa volonté de s'asseoir et de discuter avec nous de la façon d'avancer pour rouvrir l'Etat fédéral et commencer à s'attaquer aux problèmes urgents de l'Amérique", a-t-il déclaré.
- Tu sais qui je suis ?
- Une débauchée, luxurieuse, corrompue, déréglée, voluptueuse, immorale, libertine, dissolue, sensuelle, polissonne, baiseuse, dépravée, impudique, vicieuse...
Louis Calaferte

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