Cette annonce a suscité quelques réactions politiques :L’EPR de Flamanville accuse un nouveau retard
Préalable à tout essai de fonctionnement, la date de chargement du combustible dans la cuve du futur réacteur est « décalée de fin 2022 au second trimestre 2023 », a annoncé EDF.
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Force est de constater qu'EDF ne maîtrise pas cette technologie. C'est pour ça que les contre-temps et les surcoûts s'accumulent sur tous les chantiers EPR déjà engagés. A mon avis, il y a un vrai problème de savoir-faire. En conséquence, la question de savoir s'il faut engager de nouveaux chantiers EPR doit être posée. Il y a là un gros risque économique.Présidentielle : Jean-Luc Mélenchon et Yannick Jadot fustigent le « fiasco » de Flamanville
Après l'annonce par EDF de nouveaux retards et surcoûts sur son EPR normand, les candidats écologiste et Insoumis, tous deux farouchement opposés au nucléaire, ont fustigé la politique énergique d'Emmanuel Macron et de leurs autres rivaux.
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Le nucléaire ne doit pas être rejeté par principe. Bien au contraire. Le nucléaire doit au contraire être préservé, et développé. Mais avec autre chose que l'EPR.