La mise en place progressive du dispositif des ZFE suscite de plus en plus de protestations dans les villes concernées, à tel point que les métropoles compétentes modulent, chacune à leur façon, le calendrier et les modalités d'entrée en vigueur, au risque de nuire à a cohérence globale du projet :Pollution : les zones à faibles émissions partagent les automobilistes
Des épisodes de pollution aux particules fines sont à l'origine de la création des zones à faibles émissions. Parmi elles, Toulouse qui était en alerte pollution, lundi 13 février. Mais sur place, la mesure suscite de plus en plus de réticences.
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Le problème, c'est qu'il faut savoir ce qu'on veut : on ne peut pas, d'un côté, se lamenter sur les méfaits de la pollution (des milliers de morts chaque année à cause des particules et des Nox), et de l'autre, protester quand les pouvoirs publics mettent en place un dispositif destiné à réduire cette pollution...Zones à faibles émissions : à Lyon, Nice, Bordeaux… des dérogations et beaucoup de contradictions
La métropole de Lyon vient d’annoncer, ce mardi 14 février, « l'assouplissement » du calendrier de la mise en place de sa zone à faibles émissions (ZFE), quand d’autres agglomérations tentent de faire passer la pilule en instaurant des dérogations. Problème : l'ensemble peine parfois à afficher une certaine cohérence. Florilège.
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