Souvent avec des dépassements d'honoraires qui eux ne sont pas remboursés, et puis bon, va trouver une clinique qui s'emmerdera à prendre ce genre de client.
Pour moi qu'une personne impose qu'une femme ne le touche pas est une excellente raison pour refuser des soins que l'établissement soit publique ou privé, qu'elle que soit l'état de santé de la personne, à elle de décider si elle veut vivre ou non.
La RATP à l'épreuve du communautarisme musulman
- Baltorupec
- Messages : 13912
- Enregistré le : 13 juil. 2011, 00:00:00
Re: La RATP à l'épreuve du communautarisme musulman
“Tout ce que tu peux régler pacifiquement, n’essaie pas de le régler par une guerre ou un procès.” Jules Mazarin
Re: La RATP à l'épreuve du communautarisme musulman
Cela fait longtemps que je dénonce ces revendications communautaires qui perturbent le fonctionnement des services publics et même des entreprises : salariés qui refusent d'accomplir telle ou telle tâche pour un motif religieux, salariés qui s'absentent de leur travail pour aller prier, patients qui refusent de se faire soigner par certaines personnes, patients qui refusent de suivre tel ou tel traitement qui ne serait pas conforme aux prescriptions halals, horaires séparés dans les piscines, etc.
Et le problème, c'est que nous n'osons pas dire non à toutes ces demandes, parce que nous avons peur de "discriminer", de "stigmatiser", parce que nous nous demandons si un tel refus ne violerait pas la liberté religieuse, etc. Nous ne sommes pas au clair sur nos principes, sur la question de savoir ce que nous devons accepter ou non. Et toute la difficulté vient de là.
Je persiste aussi à penser qu'il y a un vide juridique, que le pouvoir politique et les hauts responsables de l'administration se refusent à combler, si bien que les fonctionnaires et chefs d'entreprises confrontés sur le terrain à de telles revendications ne savent pas comment les traiter.
Prenons le fameux exemple de la crèche Baby Loup : le licenciement de la salariée qui mettait son voile était-il abusif ou pas ? La réponse n'était pas évidente, les magistrats n'étaient eux-mêmes pas d'accord entre eux, puisqu'il y a eu des décisions de justice contradictoires, et il a fallu attendre une décision de la Cour de cassation pour trancher le débat.
Les fonctionnaires et chefs d'entreprises confrontés sur le terrain à de telles revendications ne savent pas comment les traiter, parce que la loi n'est pas claire, parce qu'ils n'ont pas de consignes claires, et parce qu'ils restent à la merci d'interprétations subjectives de la part des magistrats qui pourraient être saisis de leur dossier.
C'est pour cela que je milite pour une modification législative, tout simplement afin de combler un vide juridique. Je souhaite que la loi dise clairement aux fonctionnaires comment ils doivent faire dans telle ou telle situation, ce qu'ils doivent accepter ou refuser, et qu'elle permette clairement aux chefs d'entreprises de licencier un salarié qui refuserait de faire son boulot pour motifs religieux. Tant que nous ne serons pas au clair sur nos principes, tant que nous nous refuserons à tout éclaircissement législatif, alors les dérives continueront.
Et le problème, c'est que nous n'osons pas dire non à toutes ces demandes, parce que nous avons peur de "discriminer", de "stigmatiser", parce que nous nous demandons si un tel refus ne violerait pas la liberté religieuse, etc. Nous ne sommes pas au clair sur nos principes, sur la question de savoir ce que nous devons accepter ou non. Et toute la difficulté vient de là.
Je persiste aussi à penser qu'il y a un vide juridique, que le pouvoir politique et les hauts responsables de l'administration se refusent à combler, si bien que les fonctionnaires et chefs d'entreprises confrontés sur le terrain à de telles revendications ne savent pas comment les traiter.
Prenons le fameux exemple de la crèche Baby Loup : le licenciement de la salariée qui mettait son voile était-il abusif ou pas ? La réponse n'était pas évidente, les magistrats n'étaient eux-mêmes pas d'accord entre eux, puisqu'il y a eu des décisions de justice contradictoires, et il a fallu attendre une décision de la Cour de cassation pour trancher le débat.
Les fonctionnaires et chefs d'entreprises confrontés sur le terrain à de telles revendications ne savent pas comment les traiter, parce que la loi n'est pas claire, parce qu'ils n'ont pas de consignes claires, et parce qu'ils restent à la merci d'interprétations subjectives de la part des magistrats qui pourraient être saisis de leur dossier.
C'est pour cela que je milite pour une modification législative, tout simplement afin de combler un vide juridique. Je souhaite que la loi dise clairement aux fonctionnaires comment ils doivent faire dans telle ou telle situation, ce qu'ils doivent accepter ou refuser, et qu'elle permette clairement aux chefs d'entreprises de licencier un salarié qui refuserait de faire son boulot pour motifs religieux. Tant que nous ne serons pas au clair sur nos principes, tant que nous nous refuserons à tout éclaircissement législatif, alors les dérives continueront.
Re: La RATP à l'épreuve du communautarisme musulman
Le patron de la CGT dénonce les dérives islamistes à la RATP et à Air France
Invité ce mercredi matin sur France Info, Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT, a dénoncé des «dérives» islamistes à la RATP et à Air France....
suite
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré