L'expulsion des clandestins se heurte à des problèmes juridi

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johanono
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Message non lu par johanono » 11 mars 2011, 13:49:00

Le Conseil d'État statue sur le sort des immigrés clandestins

Les Sages doivent trancher sur l'impossibilité de reconduite aux frontières.

Déjà reporté à deux reprises cette semaine, l'arrêt que doit rendre en principe le Conseil d'État vendredi en matière d'immigration est capital. Les sages du Palais-Royal ont été saisis à la mi-janvier par le tribunal administratif de Montreuil (Seine-Saint-Denis). Et leur décision éclairera les conséquences que pourrait avoir le retard du vote de la loi Besson, défendue vendredi à l'Assemblée par le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant.

En bonne logique, ce texte aurait dû être voté avant la fin de l'année dernière. Car il transpose notamment dans notre droit interne une directive européenne de 2008, baptisée «directive retour», qui devait être appliquée de façon effective par Paris «au plus tard le 24 décembre 2010».

Des avocats spécialisés dans la défense des immigrés se sont engouffrés dans la brèche. Depuis le début de l'année 2011, ils ont formé des recours qui, tous ou presque, de Paris à Lille, Toulouse, Rouen, Lyon ou Nice, se sont soldés par une défaite des autorités. Les tribunaux administratifs ont en effet estimé que le droit communautaire primait sur le droit national. Conséquence : les clandestins concernés devaient être remis en liberté.

Des milliers d'autres pourraient bénéficier de cette faille juridique si une solution transitoire n'est pas trouvée. Car la loi Besson ne sera pas applicable dans les faits avant la fin mai, eu égard aux délais des éventuels recours constitutionnels et de publication des décrets.

«Il faut tenir pendant trois mois», résume un haut fonctionnaire, Place Beauvau. D'où les espoirs fondés par le ministère dans une décision favorable du Conseil d'État ce vendredi. La question à trancher peut se résumer ainsi : les dispositions prévues par la «directive retour» européenne sont-elles suffisamment «précises» et «inconditionnelles» pour être opposables à l'administration française ? Claude Guéant et ses équipes estiment que non. Le tribunal de Montreuil attend sa réponse.

«Directive retour»

En tout état de cause, même si une solution transitoire est trouvée, elle ne s'imposera qu'au juge administratif. Mais pas aux juges des libertés et de la détention (JLD) qui interviennent également dans le contentieux des étrangers.

À Nice, par exemple, sur la centaine de clandestins majoritairement tunisiens restés à la charge de la France, entre le 14 et le 28 février, 40 ont été remis en liberté par le juge administratif et 52 par le JLD.

«Le Conseil d'État est en quelque sorte invité à coller une rustine sur un pneu qui fuit. Mais il peut décider de laisser l'air s'échapper», se risque un haut fonctionnaire pour expliquer la situation.

Pour éviter un rejet systématique de leurs arrêtés de reconduite à la frontière, les préfets sont invités par leur ministre à s'assurer que, durant sa garde à vue, le clandestin s'est bien vu signifier qu'il avait le droit de rentrer dans son pays par ses propres moyens. Car c'est le sens même de la «directive retour». Désormais, le clandestin aura entre 7 et 30 jours pour rentrer de lui-même. L'éloignement immédiat et contraint deviendra l'exception.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france ... estins.php

On remarquera, une fois de plus, l'impéritie du gouvernement, incapable de lutter efficacement contre le phénomène de l'immigration clandestine, et le rôle néfaste de l'UE, qui nous interdit de mener des politiques d'expulsions efficaces.

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El Fredo
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Message non lu par El Fredo » 11 mars 2011, 14:44:00

Enfin, en l'occurrence ici la faute incombe entièrement au gouvernement qui n'est pas foutu de transposer les directives UE en temps et en heure (trop occupé à faire des lois sur le port du nez de clown en récidive, sans doute). Sachant que l'UE est parfaitement compétent dans ce domaine, l'immigration étant contrôlée aux frontières et la directive retour étant justement conçue pour améliorer les procédures et éviter les imbroglios juridiques. De ce point de vue l'UE n'interdit absolument pas de "mener des politiques d'expulsions efficaces". Chacun pourra juger du laxisme éventuel de cette directive :

http://www.20minutes.fr/article/237933/ ... ective-ret…
If the radiance of a thousand suns were to burst into the sky, that would be like the splendor of the Mighty One— I am become Death, the shatterer of Worlds.

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johanono
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Message non lu par johanono » 25 mars 2011, 18:17:00

Voici un autre article qui permet de mieux comprendre les données du problème :
Etrangers: comment Sarkozy et Guéant ont rendu les expulsions impossibles

Par manque de moyens ou de volonté, le gouvernement avait déjà du mal à remplir ses quotas d’expulsions. Et tous ses manœuvres pour faire accélérer les choses ont été retoquées. La fermeté affichée du chef de l'Etat risque de n'être que du vent.

Un accroc de plus dans la politique migratoire du gouvernement. Basé sur des quotas quasi-impossibles à respecter, sans vision d’ensemble, ni connaissance des flux, elle est en plus faillible juridiquement. Et dans ce domaine, l’enjeu n’est plus seulement national mais européen. En effet, une directive européenne dite « directive retour », adoptée en 2008, impose aux Etats-membres de fixer un délai de retour volontaire de 7 à 30 jours avant de pouvoir expulser de force un clandestin. Depuis le 24 décembre dernier, les Etats-membres n’ont plus aucune excuse pour ne pas avoir transposé cette disposition dans leur droit national, faute de quoi un sans-papier peut invoquer le texte européen devant la justice administrative pour faire annuler son expulsion. En effet, lorsqu’une directive européenne contient des dispositions très claires et précises, ce qui est le cas ici, elles s'appliquent directement dans les Etats membres.

C’est le cas en France, la directive retour n’étant pas encore transposée. Une projet de loi à ce sujet est actuellement en discussion au Parlement. Pour l’heure, les arrêtés préfectoraux de reconduites à la frontière (APRF) ne sont assortis d’aucun délai pour un retour volontaire, sans coercition ni passage en rétention. De ce fait, ces arrêts sont contestables devant la justice administrative au nom de la directive retour. Serge Slama, juriste au Gisti, estime, dans Libération, qu’il existe déjà des « centaines » de cas d’expulsions qui ont été ainsi retoquées. Et partout en France, des tribunaux ont ainsi annulé des décisions préfectorales concernant notamment des Tunisiens venus de Lampedusa. Tant pis pour les discours offensifs du chef de l'Etat à ce sujet.

C’est le Conseil d’Etat qui a donné le coup de grâce à Guéant et Sarkozy. Le 21 mars, saisi par le Tribunal administratif de Montreuil, il a confirmé que les APRF, tels que délivrés par les autorités, étaient bien contraires à la directive retour. « Il résulte clairement de l’article 7 de la directive du 16 décembre 2008 qu’une décision de retour doit indiquer le délai, approprié à chaque situation, dont dispose le ressortissant d’un pays tiers pour quitter volontairement le territoire national », explique l’avis.Toutefois, le Conseil d'Etat précise bien qu'un sans-papier coupable de fraude ou de trouble à l’ordre public ne pourra pas bénéficier de ce délai. Mais ces personnes ne seront pas pour autant de retour dans leur pays au lendemain de leur arrestation, il faut toujours un délai pour préparer le retour de l’intéressé. En fait, l’avis du Conseil va plutôt influer sur les personnes qui seront immédiatement susceptibles d'être placés ou non en rétention en vue d’une expulsion forcée.

Failles juridiques

Sur ce plan, une belle faille juridique vient de s’ouvrir, une faille qui met à bas les discours dits «sécuritaires» de Guéant et Sarkozy. En effet, sur un point particulier, la directive retour laisse une marge de manœuvre aux Etats membres pour expulser de force sans délai (et donc pouvoir placer en rétention) un sans-papier en cas de « risque de fuite ». Mais la définition de ce qu’est ce « risque de fuite » n’était pas précisé par le texte européen qui renvoie cette responsabilité aux Etats membres.

Le problème est qu’en France, il n’existe pas encore de définition précise de ce « risque de fuite », la loi sur l’immigration étant toujours en discussion. Un vide juridique  s'est donc créé au détriment des envolées du chef de l'Etat. En effet, sans définition précise, le « risque de fuite » ne peut être invoqué pour expulser de force un sans-papier. Ce dernier pourra toujours de ce fait bénéficier d'un délai pour le retour volontaire et donc échapper à la rétention. Cette faille ne pourra être comblée que lorsque le texte sur l'immigration s’appliquera (peut-être en juin). Par son inertie, le gouvernement a donc lui-même mis en place les freins à sa politique migratoire.

On imagine facilement l’impact au quotidien. En 2009, 40 116 APRF avaient été délivrés. Si chacun se met à contester son arrêté, les tribunaux administratifs, qui n’ont pas besoin de ça, risquent d’être surchargés. La faille a bien sûr été exploitée par Marine Le Pen qui a dénoncé, dans un communiqué, l'« amateurisme déconcertant » du pouvoir. Face à cela, le Ministère de l’Intérieur a promis de faire passer des « instructions précises » aux préfets pour que les APRF mentionnent bien un délai de retour volontaire, probablement d’un mois comme le prévoit la future loi sur l’immigration. Par chance, l’avis du Conseil d’Etat n’affecte pas les Obligations de quitter  le territoire français (OQTF), une autre procédure (40 191 en 2009) qui prévoit déjà un délai d’un mois pour que le sans-papier quitte la France de lui-même. Lorsque la loi sur l’immigration entrera en vigueur, tout devrait rentrer dans l’ordre. Enfin théoriquement.

Juges surchargés

En effet, cette loi prévoit, entre autres, que le délai maximal de rétention passe de 32 à 45 jours pour donner plus de marge aux autorités pour expulser les sans-papiers. La fin de la durée maximale de rétention est souvent un obstacle au renvoi au pays, la procédure pouvant être longue et compliquée. Pour exemple, 70% des décisions d’expulsions n’ont pas été exécutées en 2009. C'est notamment l'obtention d'un laissez-passer consulaire de la part du pays d’origine, document qui permet à l''intéressé de passer la frontière, qui peut poser problème. Selon un rapport de la députée UMP Béatrice Pavy, 34% de ces non-exécutions étaient dues à la non-délivrance durant le délai de rétention de ce document suite à l'absence de représentation consulaire, à un retard ou même à un refus pour et simple du pays concerné.

Car derrière, ces mesures, il y a un défi politique. Le gouvernement ayant eu du mal l’année dernière à remplir ses quotas d’expulsions, tous les artifices législatifs sont bons à prendre, même les plus tordus. D’un autre côté, mener une politique du chiffre, tout en baissant les effectifs de police et en pondant des textes de loi bourrées de failles est une chose peu aisée. Le problème est que maintenir plus longtemps les sans-papiers en rétention jouera naturellement sur leur population au risque de les surcharger. Le nombre de places en CRA devrait atteindre 2063 cette année, leur taux d’occupation était en moyenne de 69% en 2009.

Autre mesure pour remplir les promesses démesurées du chef l’Etat : retarder l’intervention du juge des libertés et de la détention (JLD). Ce dernier libère souvent des sans-papiers en centre de rétention administrative (CRA), empêchant ainsi toute expulsion par la force (le JLD n’annulant le principe du retour vers le pays d’origine). Ce sont 27% des décisions d’expulsions non exécutées en 2009 qui étaient dues à l’intervention du JLD. La loi sur l’immigration a donc prévu une mesure pour le contrer. Désormais, le JLD interviendra au bout de cinq jours et non plus de deux, et c’est donc le juge administratif qui interviendra en premier dans le contentieux. A la base, le juge administratif est censé seulement la décision d’expulsion en elle-même, mais vu qu'il intervient désormais en premier, il pourra aussi juger le maintien en rétention via un référé-liberté.

Usine à gaz

La mesure est une usine à gaz. Les juges administratifs arguent qu’ils seront surchargés par les procédures, sachant qu’ils devront se prononcer 72 heures après avoir été saisis. Auparavant, c’était plutôt sur le JLD que pesait le contentieux en la matière. Selon l’Union syndicale des magistrats administratifs, les JLD s’occupent en moyenne de 40 000 dossiers d’immigration par an contre 10 000 pour les juges administratifs. Inverser leur ordre d’intervention risque naturellement d’inverser cette tendance. Autre problème : la loi sera sûrement examinée par le Conseil Constitutionnel qui pourrait considérer que le report de l’intervention du JLD nuit aux droits de la défense. Bref, encore une mesure d’affichage vouée à faire du chiffre et risquant de n’avoir aucun effet concret.

Même exemple avec la Loppsi. Toujours dans l’optique d’accélérer les expulsions, le texte initial prévoyait que le JLD puisse statuer au sein même des centres de rétention. C'était autant de temps de transport gagné. En 2006, le gouvernement avait déjà aménagé des salles d’audience à l’intérieur de plusieurs CRA, mais, en 2008, la Cour de Cassation avait déclaré ces installations illégales au motif que la loi en vigueur n’autorisait que les salles d'audience « à proximité immédiate » des CRA et non en leur sein. La Loppsi était censée réparer cette petite subtilité juridique. Mais le 10 mars, le gouvernement a été retoqué par le Conseil Constitutionnel. Ce dernier a censuré cette mesure estimant qu’elle méconnaît « les règles du procès équitable et les exigences de publicité des débats ». Plus que l’indécence, c’est donc l’incompétence qui caractérise la politique de Guéant et Sarkozy.
http://www.marianne2.fr/Etrangers-comme ... 7.html?com

Une preuve supplémentaire (s'il en était besoin) qu'avec Sarkozy, les discours de fermeté sont rarement suivis d'actes.

Cobalt

Message non lu par Cobalt » 27 mars 2011, 17:02:00

Vote FN !

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Lucas
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Message non lu par Lucas » 27 mars 2011, 17:10:00

S'il te plait cobalt ne met pas le Fn a toute les sauces, et je ne crois pas que johanono soit un fan du FN, il dénonce des choses à tord ou à raison.

Sinon Johanono cela ressemble plus à des erreurs que quelque chose de volontaire, enfin c'est ce que je pense.

lambertini
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Message non lu par lambertini » 27 mars 2011, 17:55:00

je vote FN justement, pour que les lois sur les expulsion soient revue,
les clandestins doivent etre  emprisonnées a leurs arrestation,  car ils sont délinquants, on entre pas dans un pays sont autorisation
la caravane passe et les chiens aboient

Emmanuel
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Message non lu par Emmanuel » 28 mars 2011, 11:12:00

lambertini a écrit :je vote FN justement, pour que les lois sur les expulsion soient revue, les clandestins doivent etre  emprisonnées a leurs arrestation,  car ils sont délinquants, on entre pas dans un pays sont autorisation


Il ne faut pas être aussi directifs en matière d'immigration...
Les clandestins viennent avant tout car ils ont vécu la misère auparavant... Pourquoi les emprisonnés alors qu'ils sont juste à la recherche d'un meilleur mode de vie. Ils ne sont pas tous délinquants : ==> les plus gros délinquants de notre pays ne sont pas les immigrés mais majoritairement les Français (de nationalité Française) vivant dans la misère, la banlieue, les ghettos, ne trouvant pas d'emploi, et préférant devenir délinquant car il ne voit cette solution que comme seul moyen de survie...
Alors pas d'amalgames. Les clandestins viennent en France, et vivent souvent encore plus miséreux...
Je ne soutiens pas leur action, mais il faut essayer de les raisonner, les reconduire dans leur pays si besoin, ou en faire des citoyens responsables en offrant des cours de Français, des stages, des cours sur leurs droits et devoirs en France, pour ceux qui se montrent volontaire d'une réelle insertion dans notre pays.

Le vote FN n'est sans doute pas la bonne solution.

Cobalt

Message non lu par Cobalt » 28 mars 2011, 11:19:00

Vous n'entendez et n'écoutez rien,vous parlez sans savoir,nous sommes le pays qui a connu le plus de natalité en Europe en 30 ans ce qui va constituer un atout majeur,pour la France d'ici quelques années,et ce sont les populations immigrés qui ont le plus d'enfant,marine ne passera JAMAIS présidente,et ne pourrait de toute façon pas mettre en oeuvre la politique qu'elle vous fait miroiter,mais ,mais les promesses rendent les enfants joyeux....

Qui plus est Mitterand avait dit qu'il serait le dernier président de la France qu'ensuite il n'y aurait que des comptables et il savait de quoi il parlait,et c'est exact notre destin passe par celui de l'Europe et même si ce n'est pas fameux il faut essayer encore et aller jusqu'au bout,cela finira par fonctionner,et si ce n'est pas le cas,et bien on n'est mal....

Emmanuel
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Message non lu par Emmanuel » 28 mars 2011, 11:24:00

Mais que faire alors avec la population d'immigrés ?

Cobalt

Message non lu par Cobalt » 28 mars 2011, 12:12:00

Mais rien,il faut les traités comme n'importe lequel des citoyens pas plus de sévérité pas moins en cas de méfait,interdire les prières dans la rue,le niqab,le voile et touti quanti c'est tout.

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lucifer
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Message non lu par lucifer » 28 mars 2011, 12:59:00

Si tu fais appliquer les lois à un français, c'est normal.
Si tu fais de même avec un immigré, c'est de la discrimination raciale.
A toi de choisir icon_confused
Maintenant que j'habite en province, je suis devenu peace and love. Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ( surtout les descendants d'immigrés des cités que j'adore dorénavant )

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Message non lu par El Fredo » 28 mars 2011, 14:03:00

N'imp'.
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lucifer
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Message non lu par lucifer » 28 mars 2011, 16:22:00

C'était juste pour critiquer gratuitement icon_cool
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Message non lu par El Fredo » 28 mars 2011, 16:32:00

Gros vilain de toi, va ! icon_mrgreen
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Message non lu par Lucas » 29 mars 2011, 17:22:00

Définition de clandestin : Personne qui est en situation illégale. Ex Un passager clandestin, un travailleur clandestin.

Immigré : désigne l'entrée, dans un pays, de personnes étrangères qui y viennent pour y séjourner et y travailler

Alors Cobalt il ne faut pas confondre immigré et clandestin, car un clandestin c'est quelqu'un dans l'illégalité, pas un immigré.

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