fiable ou pas pour soigner ?
Dans la revue "Santé de A à Z" :
Les Français, chefs de file de l'aromathérapie scientifique contemporaine, ont identifié plus de 80 propriétés s'appliquant à l'une ou l'autre ou à plusieurs des quelque 40 huiles essentielles courantes - d'antalgique à vermifuge en passant par hypotenseur et stimulant gastrique32. Il n'y a toutefois que peu ou pas de confirmations de ces effets par la voie des recherches cliniques; la plupart des études ont été faites en laboratoire ou sur des animaux.
Pour l’instant, les résultats d’études cliniques soulignent surtout les effets relaxants de l’aromathérapie, qui permettent, par exemple, de réduire l’anxiété ou l’agitation. La difficulté d’établir des études à l’aveugle, puisque la présence d’huile essentielle se détecte par l’odeur1, crée un problème méthodologique important.
[url=http://javascript:popupWindowLienInterne%28%27../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm%27,%20%27Popup%27,%20600,%20400%29][/url] Réduire l’anxiété. Selon une revue systématique réalisée en 2000 incluant six études cliniques randomisées totalisant 456 participants, l’aromathérapie semble avoir un effet bénéfique sur la réduction à court terme de l’anxiété1.
l'aromathérapie
- keserasera
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Pour la "bobothérapie", certes, je suis pour. Mais il y a des affections et des maladies qui hélas sont insensibles à de tels traitements, et qui nécessitent l'emploi "des grands moyens" !
Certes je suis le premier certain que l'abus des antibiotiques à fortes doses dans les années 60 a contribué à rendre nos agresseurs microscopiques de plus en plus insensibles et que nous en payons aujourd'hui les effets pervers, mais la recherche dans ce domaine s'oriente vers le renforcement de nos défenses imunitaires, sans le recours à des moyens "externes" destructeurs.
Certes je suis le premier certain que l'abus des antibiotiques à fortes doses dans les années 60 a contribué à rendre nos agresseurs microscopiques de plus en plus insensibles et que nous en payons aujourd'hui les effets pervers, mais la recherche dans ce domaine s'oriente vers le renforcement de nos défenses imunitaires, sans le recours à des moyens "externes" destructeurs.
"je me suis souvent demandé et me le demande souvent encore, ce qui peut bien différencier une mauvaise bronchite d'une bonne" Pierre Dac
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