Guillaume Sarkozy : « Il faut réinventer la protection sociale »

[Nico37]

Guillaume Sarkozy : « Il faut réinventer la protection sociale »Laura Fort | 31/08

Université d'été du Medef - Suivez les temps forts de l'événement avec latribune.fr, à travers les débats et dans les coulisses de l'événement.

Guillaume Sarkozy, directeur générale de Malakoff Médéric, s'attelle à définir ce qu'est une entreprise exemplaire : « Comment faire accepter à la société française les ressorts de la rentabilité ? L'entreprise est couverte d'obligations de moyens, doublées d'obligations de résultats. Il faut des politiques sur l'égalité hommes-femmes, sur le handicap, sur les minorités visibles, l'entreprise n'y arrive pas. Il faut qu'elle ait le choix.

(...)

[Nombrilist]

Malakoff-Médéric, entreprise exemplaire si il en est, qui presse ses employés comme des citrons au point que les plus faibles partent en dépression.

[Golgoth]

Traduction : il faut privatiser la protection sociale pour engranger plus de bénefs.

[mps]

Agréable discours qui détonne des imbécilités habituelles.

Les français vivent un conte de fée où les entreprises sont nécessairement très riches et sans soucis, dont les patrons ne songent qu'à jouer au golf, et dont les salariés agonisent dans des culs de basse fosse, tandis qu'un tambour fixe leur rythme.

Alors, on les submerge de normes, de règles disctatoriales, on leur fourre des femmes, des handicapés, des "jeunes en difficulté", des alzeimers, on leur fait procès si un chien cuit dans un micro-ondes, on les rend responsable du moindre chewing-gum jeté par un sous-traitant, on les taxe à mort et on leur promet pire, puis on s'étonne de les voir s'essoufler.

Vaches à lait, haltes garderies pour incasables, brebis expiatoires, puis on s'étonne de leur manque de performance ...

[Cobalt]

C'est un poil exagéré,mais un poil seulement

[Nico37]

Agréable discours qui détonne des imbécilités habituelles.

Les français vivent un conte de fée où les entreprises sont nécessairement très riches et sans soucis, dont les patrons ne songent qu'à jouer au golf, et dont les salariés agonisent dans des culs de basse fosse, tandis qu'un tambour fixe leur rythme.

Alors, on les submerge de normes, de règles disctatoriales, on leur fourre des femmes, des handicapés, des "jeunes en difficulté", des alzeimers, on leur fait procès si un chien cuit dans un micro-ondes, on les rend responsable du moindre chewing-gum jeté par un sous-traitant, on les taxe à mort et on leur promet pire, puis on s'étonne de les voir s'essoufler.

Vaches à lait, haltes garderies pour incasables, brebis expiatoires, puis on s'étonne de leur manque de performance ...

C'est un poil exagéré,mais un poil seulement

Oui juste un poil...
C'est méconnaître totalement les performances des entreprises adaptées par ex. qui sous-traitent les entreprises et collectivités locales et servent (en théorie) de tremplin pour leur personnel...