La "bedaine" serait-elle davantage nocive que l'obésité ?

[johanono]

La bedaine plus dangereuse pour le cœur que l'obésité

Contre toute attente, la santé des personnes avec un poids normal mais avec trop de graisse abdominale serait moins bonne que celle des individus obèses, selon une étude américaine présentée lors du congrès de la société européenne de cardiologie.

Avoir de la «bedaine» est mauvais pour la santé, ça n'est pas une nouveauté. Associé à l'hypertension ou à un excès de sucres dans le sang, l'embonpoint abdominal expose au diabète et aux maladies cardiaques, c'est ce que l'on appelle le syndrome métabolique. Beaucoup plus surprenant, une personne au poids normal, mais avec un estomac bedonnant serait plus à risque qu'un obèse, d'après une étude d'envergure menée aux États-Unis et dévoilée lundi au congrès de la société européenne de cardiologie à Munich. Des résultats qui pourraient modifier en profondeur la prise en charge des maladies cardiovasculaires.

suite

[mps]

Le problème est surtout celui de la sangle abdominale, qui a vocation d'équilibrer la circulation sanguine.

Un animal familier n'en a pas : le lapin !

Il suffit de maintenir un lapin "debout" pour que son sang descende, que sa pompe cardiaque se mette à caviter, et qu'il décède.

Ajoutons encore qu'une faiblesse de la musculation abdominale pousse le ventre en avant, au détriment de la colonne vertébrale, et entraine des lombalgies parfois sévères.

Très difficile à corriger chez les adultes, cette faiblesse vient généralement d'un manque de musculation chez les gosses. Avec les heures de PC et autres gadgets, le phénomène ne fera qu'empirer.

[Nico37]

Pour maigrir plus facilement, dormez bien Delphine Chayet - 21/09

Plusieurs études ont illustré l'importance du sommeil dans la lutte contre l'obésité.
Chacun sait que l'exercice physique, combiné avec un régime alimentaire faible en calories, constitue la clé de la lutte contre l'obésité. Au prix d'un apparent paradoxe, deux chercheurs canadiens soulignent cependant qu'un patient en surpoids a plus de chance de maigrir s'il fait de longues nuits de sommeil. A contrario, ceux qui dorment moins de six heures ont tendance à prendre du poids. Bien qu'il s'agisse d'une activité plutôt sédentaire, Jean-Philippe Chaput et Angelo Tremblay estiment donc que « le sommeil devrait à l'avenir être intégré dans un ensemble de recommandations qui se concentrent d'ordinaire sur le régime et l'activité physique » .

(...)

[mps]

C'est sans fdoute parce qu'ils ne bouffent pas en dormant :-)

[artragis]

en même temps c'est aussi surtout parce que plus de la moitié de nos calories sont perdues pendant le sommeil. Après tout, la partie la plus irriguée de notre corps, le cerveau, a un gain d'activité énorme pendant le sommeil.

[mps]

en même temps c'est aussi surtout parce que plus de la moitié de nos calories sont perdues pendant le sommeil. Après tout, la partie la plus irriguée de notre corps, le cerveau, a un gain d'activité énorme pendant le sommeil.

Il est certain que, durant certaines phases de sommeil, le cerveau est fort actif.

Mais tu sembles avouer qu'il ne fonctionne pas pendant l'éveil ? icon_biggrin icon_biggrin icon_biggrin

[Nico37]

Obésité : les femmes de plus en plus touchées H.G. - 16/10

Le chiffre est alarmant. En France, près de sept millions d’adultes sont obèses, soit 15% des plus de 18 ans. Ce constat est dressé par la 6e édition de l’étude ObEpi-Roche réalisée auprès de 25 000 adultes. Parmi les nombreuses tendances qu’elle fournit, les différences entre les sexes retiennent l’attention. En effet, il apparaît que, depuis neuf ans, l’obésité progresse plus rapidement chez les femmes. De fait, 15,7% d’entre elles sont touchées par l’obésité, contre 14,3% des hommes. Si l’on regarde uniquement les 18-25 ans, la différence est encore plus nette. Pour cette classe d’âge, l’obésité féminine a augmenté de 89,2% en quinze ans, alors que l’obésité masculine n’a augmenté que de 62,5%.

(...)